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Ce double et sensible portrait féminin devient, peu à peu, un voyage authentique et émouvant, de zones industrielles en vergers bourdonnants. Une belle bouffée d’oxygène.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Un film d’auteur discret, qui risque hélas de passer inaperçu en raison de sa simplicité et de la ténuité de son propos. Il n’empêche que cette œuvre à la frange du documentaire est un charmant road-movie féminin, l’antithèse du tonitruant « Thelma et Louise » de Ridley Scott.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
(...) la force d’Il se passe quelque chose est de donner à voir, ou plutôt à ressentir, un territoire qui se caractérise non pas par son identité propre, mais pas les flux étrangers qui le traversent.
Faute de relier organiquement les différents êtres et paysages tout en rendant pleinement compte de leur singularité, la cinéaste accumule donc une série d’esquisses, belles ou plates, touchantes ou agaçantes, dans un film décousu et qu’on voudrait aimer plus tant son geste est bienveillant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
Ce double et sensible portrait féminin devient, peu à peu, un voyage authentique et émouvant, de zones industrielles en vergers bourdonnants. Une belle bouffée d’oxygène.
aVoir-aLire.com
Un road movie attachant qui croise avec singularité protagonistes de fiction et personnages de documentaire.
Cahiers du Cinéma
Il se passe quelque chose se défait immédiatement du pittoresque de l’imaginaire provençal, réinventant le territoire en filmant ses à-côtés.
L'Humanité
Un film d’auteur discret, qui risque hélas de passer inaperçu en raison de sa simplicité et de la ténuité de son propos. Il n’empêche que cette œuvre à la frange du documentaire est un charmant road-movie féminin, l’antithèse du tonitruant « Thelma et Louise » de Ridley Scott.
Le Monde
(...) la force d’Il se passe quelque chose est de donner à voir, ou plutôt à ressentir, un territoire qui se caractérise non pas par son identité propre, mais pas les flux étrangers qui le traversent.
Les Fiches du Cinéma
Malgré la fraîcheur de ses héroïnes, le film dévie de son sujet initial pour aborder, tardivement, et assez confusément, la figure du migrant.
Ouest France
Ce road-movie bucolique distille un charme entêtant.
Libération
Faute de relier organiquement les différents êtres et paysages tout en rendant pleinement compte de leur singularité, la cinéaste accumule donc une série d’esquisses, belles ou plates, touchantes ou agaçantes, dans un film décousu et qu’on voudrait aimer plus tant son geste est bienveillant.