Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Dans le rôle de Martha, Marthe Keller rayonne au-delà de toute expression, au point de presque reléguer au second plan le soleil d’Ibiza, auquel pourtant les images de Luciano Tovoli, somptueuses, rendent justice.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Barbet Schroeder revient de façon sensible sur les lieux de “More” et sur les traces indélébiles de la guerre.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Barbet Schroeder met en place une mécanique théâtrale à la fois concrète et symbolique, intimiste et politico-historique, une pièce à feu doux qui explose quand arrivent les parents de Jo, et notamment son père.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clément Ghys
Cinéaste ayant montré qu’il dispose d’une gigantesque boîte à outils formels, il parvient ici à montrer l’impossibilité de la relation amoureuse entre Martha et Jo. Et dans le décor ensoleillé, il esquive tout mélo pour atteindre une forme d’épure.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
Passé un peu inaperçu en séance spéciale à Cannes – sans doute lui manquait-il John C. Reilly –, "Amnesia" offre pourtant une réflexion profonde et personnelle sur une question dont nombre de films cannois faisaient un gadget de plus : celle de la langue.
Gala
par Amélie de Menou
Magnifique mise en abîme des douleurs d’un peuple en mutation, les Allemands des années 1990, "Amnesia" porte un regard nouveau sur la cicatrisation (impossible ?) et la fuite, plus ou moins nécessaire, plus ou moins assumée.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Express
par Thierry Chèze
Un scénario cousu de fil blanc et une réalisation paresseuse confirment que, à l'image de Wim Wenders, Schroeder est plus à son aise dans le documentaire que dans la fiction.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
L’intrigue progresse essentiellement par les dialogues, à la façon d’une pièce de théâtre, mais les décors naturels – de magnifiques éperons rocheux au-dessus de la Méditerranée – ont leur importance : ils donnent l’illusion, trompeuse, que les deux voisins sont protégés du monde extérieur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce drame, au charme un brin suranné mais rehaussé d’une jolie photo, suscite une réflexion pertinente sur le poids du passé, et la façon dont chacun s’en accommode.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Si le destin et l’économie du cinéma français en avaient voulu autrement, Barbet Schroeder aurait adapté "L’instinct de mort", l’autobiographie de Jacques Mesrine. Il y a sûrement à tirer une morale que de cet échec soit né un film aussi résolument tourné vers la vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Une réflexion inaboutie mais ambitieuse sur la culpabilité, dans l'Ibiza splendide et emblématique des années 1990.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Pierre Fornerod
Barbet Schroeder retrouve la villa où il a tourné "More" en 1969. Mais pour un scénario à la fois abrupt et attendu. Mais heureusement, il y a Marthe Keller, très inspirée.
Positif
par Yann Tobin
Sur un sujet grave, énigmatique, passionnant, qui apparemment le hantait depuis longtemps, Schroeder développe une fable qui intéresse toujours, séduit souvent et achoppe parfois.
Première
par Isabelle Danel
Le premier long métrage de Barbet Schroeder, "Amnesia" suit deux voies. (...) Les deux parties cohabitent mal, mais la sincérité de l’ensemble est palpable.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Le film de Barbet Schroeder, retournant à Ibiza des décennies après son fulgurant More, n'est pas à la hauteur des promesses, évacuant trop vite son séduisant mystère dans des explications besogneuses. En mode mineur donc, il continue malgré tout de nous passionner pour toutes les connections qu'il récèle.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Pierre Murrat
On aime l'idée, presque hitchcockienne, de Barbet Schroeder, d'introduire avec lenteur le ver dans le fruit, de faire sourdre la noirceur du passé dans des lieux paisibles que la lumière de Luciano Tovoli rend encore plus somptueux. En revanche, sa tentative d'effacer les tourments du monde par la musique tourne court.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La rédaction
Une deuxième partie trop explicative. Reste le jeu subtil des deux acteurs.
aVoir-aLire.com
par Guillaume Louradour
Un film personnel qui souffre de quelques aspérités, de maladresses conceptuelles mais dont les questions soulevées résonneront encore longtemps dans notre esprit.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Touchant, mais trop désuet pour convaincre.
Critikat.com
par Morgan Pokée
À la vision de ce dernier opus, on reste pour le moins circonspect – pour ne dire embarrassé – devant le naufrage en règle qu’est le film tant celui-ci s’échoue irrémédiablement sur les rives de son décor insulaire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
Dans le rôle de Martha, Marthe Keller rayonne au-delà de toute expression, au point de presque reléguer au second plan le soleil d’Ibiza, auquel pourtant les images de Luciano Tovoli, somptueuses, rendent justice.
Le Dauphiné Libéré
Barbet Schroeder revient de façon sensible sur les lieux de “More” et sur les traces indélébiles de la guerre.
Les Inrockuptibles
Barbet Schroeder met en place une mécanique théâtrale à la fois concrète et symbolique, intimiste et politico-historique, une pièce à feu doux qui explose quand arrivent les parents de Jo, et notamment son père.
Libération
Cinéaste ayant montré qu’il dispose d’une gigantesque boîte à outils formels, il parvient ici à montrer l’impossibilité de la relation amoureuse entre Martha et Jo. Et dans le décor ensoleillé, il esquive tout mélo pour atteindre une forme d’épure.
Cahiers du Cinéma
Passé un peu inaperçu en séance spéciale à Cannes – sans doute lui manquait-il John C. Reilly –, "Amnesia" offre pourtant une réflexion profonde et personnelle sur une question dont nombre de films cannois faisaient un gadget de plus : celle de la langue.
Gala
Magnifique mise en abîme des douleurs d’un peuple en mutation, les Allemands des années 1990, "Amnesia" porte un regard nouveau sur la cicatrisation (impossible ?) et la fuite, plus ou moins nécessaire, plus ou moins assumée.
L'Express
Un scénario cousu de fil blanc et une réalisation paresseuse confirment que, à l'image de Wim Wenders, Schroeder est plus à son aise dans le documentaire que dans la fiction.
La Croix
L’intrigue progresse essentiellement par les dialogues, à la façon d’une pièce de théâtre, mais les décors naturels – de magnifiques éperons rocheux au-dessus de la Méditerranée – ont leur importance : ils donnent l’illusion, trompeuse, que les deux voisins sont protégés du monde extérieur.
Le Journal du Dimanche
Ce drame, au charme un brin suranné mais rehaussé d’une jolie photo, suscite une réflexion pertinente sur le poids du passé, et la façon dont chacun s’en accommode.
Le Monde
Si le destin et l’économie du cinéma français en avaient voulu autrement, Barbet Schroeder aurait adapté "L’instinct de mort", l’autobiographie de Jacques Mesrine. Il y a sûrement à tirer une morale que de cet échec soit né un film aussi résolument tourné vers la vie.
Les Fiches du Cinéma
Une réflexion inaboutie mais ambitieuse sur la culpabilité, dans l'Ibiza splendide et emblématique des années 1990.
Ouest France
Barbet Schroeder retrouve la villa où il a tourné "More" en 1969. Mais pour un scénario à la fois abrupt et attendu. Mais heureusement, il y a Marthe Keller, très inspirée.
Positif
Sur un sujet grave, énigmatique, passionnant, qui apparemment le hantait depuis longtemps, Schroeder développe une fable qui intéresse toujours, séduit souvent et achoppe parfois.
Première
Le premier long métrage de Barbet Schroeder, "Amnesia" suit deux voies. (...) Les deux parties cohabitent mal, mais la sincérité de l’ensemble est palpable.
TF1 News
Le film de Barbet Schroeder, retournant à Ibiza des décennies après son fulgurant More, n'est pas à la hauteur des promesses, évacuant trop vite son séduisant mystère dans des explications besogneuses. En mode mineur donc, il continue malgré tout de nous passionner pour toutes les connections qu'il récèle.
Télérama
On aime l'idée, presque hitchcockienne, de Barbet Schroeder, d'introduire avec lenteur le ver dans le fruit, de faire sourdre la noirceur du passé dans des lieux paisibles que la lumière de Luciano Tovoli rend encore plus somptueux. En revanche, sa tentative d'effacer les tourments du monde par la musique tourne court.
Voici
Une deuxième partie trop explicative. Reste le jeu subtil des deux acteurs.
aVoir-aLire.com
Un film personnel qui souffre de quelques aspérités, de maladresses conceptuelles mais dont les questions soulevées résonneront encore longtemps dans notre esprit.
Studio Ciné Live
Touchant, mais trop désuet pour convaincre.
Critikat.com
À la vision de ce dernier opus, on reste pour le moins circonspect – pour ne dire embarrassé – devant le naufrage en règle qu’est le film tant celui-ci s’échoue irrémédiablement sur les rives de son décor insulaire.