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annereporter94
50 abonnés
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3,5
Publiée le 13 janvier 2015
Film étonnant, loin de ce que je m'attendais à voir. Nous sommes dans une comédie? Pas vraiment. Nous sommes face à une enquète policière? Pas vraiment. En fait, Pascal Thomas mélange tout et plutôt avec succès...
Un joli film qu il faut regarder avec légèreté recul et insouciance..... Car le cadre , l ambiance décrit dans ce film est celle d un immeuble qui me semble caricaturer , croquer par un dessinateur.... Tous ces personnages si différents les uns des autres qui cohabitent et font semblant... Chacun avec sa vision nombrilisme du monde.... Pour cela le film est intéressant car les personnages secondaires sont bien plus intéressant que la trame principale peu intense. L histoire de Valentin ce bobo parisien voyageur utopiste qui fait craquer les voisines est pas tres crédibles ..... Qui est avec une nympho au mari violent.... Bon mouais ..... L enquête passe aussi au second plan elle n apparaît vraiment que sur la fin.
Non je pense réellement que l intérêt réside dans sa fraîcheur sa gaieté , ses histoires de paliers et ce voyeurisme affirmé, ses caricatures de personnages.... Sa jolie musique aussi qui renforce le côté bohème fraîcheur .....
Il reste cependant simple et sans réel trait de génie ou surprise dans son scénario.
C'est mou, c'est long, c'est plat... c'est le zéro étoile de l'année. Il ne se passe rien dans ce film, ennuyeux et mal joué (pour certains). C'est une catastrophe. ----Février 2016----
Un joli petit film frais comme sait si bien les faire Pascal Thomas. Des personnages attachants, les actrices féminines sont au top, surtout Marie Gillain et Marilou Berry.Le scénario n'est pas exceptionnel, car il s'agit de la chronique d'un immeuble, mais les personnages sont bien profilés. De l'humour et la fantaisie. La petite intrigue avec la voisine chinoise rajoute du piment. A noter la très bonne apparition de Christian Morin.
Un film avec une atmosphère loufoque. On y suit le quotidien d'un immeuble et des ses habitants tous différents les uns des autres : la mamie alcoolique, la gardienne sensuelle et son pervers de mari, les 3 jeunes étudiantes en coloc,et Valentin le dernier arrivé, un jeune homme romantique qui fait craquer toute la gente féminine du quartier sans le savoir et sans le vouloir. il y a également le pavillon en face avec des chinois intrigants ce qui pimente un peu le film, car on se demande ce qu'ils fabriquent et surtout on est choquée de la condition de la jeune fille liu mei. Sinon la trame de l'histoire est très mince mais c'est le jeu des acteurs et l'originalité des personnages qui nous tient en haleine. Pour ma part j'ai trouvé vincent rottiers très bon dans ce rôle à contre emploi, cela le change de ses rôles habituels. Un film poétique mais qui ne peut pas plaire à tout le monde I
Un peu fade.... je m'attendais à quelque chose de bien meilleur vu les bonnes critiques presse mais personnellement, je n'ai jamais accroché, attendant que le film décolle et s'emballe un peu... En vain... Une histoire pas inintéressante sur le papier, un casting alléchant, de bonnes critiques presse etc... il y avait de quoi espérer pourtant! Mais la mise en scène est bien trop plate, l'interprétation trop fade, sans enthousiasme pour réussir à bien rentrer dans le film, s'attacher et s'intéresser au personnage de Valentin interprété par un Vincent Rottiers décevant... Les autres personnages, Marilou Berry et Marie Gillain en tête, en font beaucoup trop pour être crédibles. Tout n'est pas à jeter biensûr mais vous ne louperez pas grand chose si vous passez à côté... Dans le genre, on a vu mieux, beaucoup mieux!
Malgré un casting canon, quoique constitué d’un nombre record de « fils » et « fille de », cette adaptation d’un roman de Ruth Rendell ne parvient pas réellement à mettre en musique son ambition de film-chorale. La faute à une mise en place très artificielle des situations, d’un non-choix dans le genre du film qui le rend fouillis, avec une fin catastrophique, et d’un empilement de personnages auxquels le cinéaste ne parvient jamais à trouver une cohésion d’ensemble. Reste la présence fantomatique et fascinante d’une Geraldine Chaplin dans le rôle d’une voisine rongée par l’alcool – dans certaines scènes, on y décèle le triste visage de Charlot – et quelques séquences de comédie réussies.
Si la bande-annonce laissait présager une comédie légère et pétillante, elle n’est en faite qu’une caricature de la comédie de quartier. Les acteurs représentants chacun un habitant d’immeuble, se croisent, se parlent, se connaissent et s’ignorent. Pourtant chacun a un secret plus ou moins inavouable. Sur le papier, l’histoire est tentante. Réalité, Pascal Thomas ne donne aucune profondeur à ses personnages. Seule Arielle Dombasle, pourtant présente de façon amicale, arrive à nous faire rire avec son snobitch habituel. Les autres ne sont que stéréotypes qui s’effleurent et qui ne vont pas au bout de leur jeu. Concrètement, Valentin Valentin est un échec cuisant à cause d’une mise en scène partielle et peu aboutie ainsi qu’un casting qui joue de façon théâtrale et qui ne donne aucune vie aux personnages. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Bien aimé ce film difficile à classer... je me posais la question .. triste ou comédie..... En tous cas, il est clair que le casting est excellent, et que certains et certaines trahissent ici leur fort potentiel - Marilou Berry et Vincent Rottiers bien entendu d'abord, mais aussi Marie Gillain en nymphomane "chiante", Christine Citti et François Morel déconcertant, sans oublier une Geraldine Chaplin en piteux état. Un film très fluide, très agréable .... sympathique !! **
Dès les premiers instants, le spectateur est averti qu’un drame va se jouer. Le film choral s’installe et nous permet de découvrir le quotidien d’un immeuble à travers les portraits des différents habitants. Tout cela n’est qu’un prétexte pour multiplier les pistes conduisant à ce crime et nous poussant à échafauder tous les mobiles et donc coupables imaginables ; atmosphère que connait bien Pascal Thomas pour avoir adapté quelques œuvres d’Agatha Christie. C’est cette fois le roman La maison du lys tigré de Ruth Rendell qui donne naissance à Valentin Valentin, un policier qu’on appréciera surtout pour son casting éclectique et dynamique. Malgré une conclusion décevante, on passe plutôt un bon moment.
Ce film est agréable à regarder, après quelques longueurs on arrive au dénouement sans s'ennuyer. La vie de l'immeuble parisien et du quartier environnant, avec son café, son parc et ses jardins, est traitée de façon vivante. Les portraits de toutes ces femmes, qui entourent le séduisant Valentin, sont comme des esquisses plus ou moins abouties. Mention très spéciale pour Arielle Dombasle qui campe une mère autocentrée très crédible. On ne s'ennuie pas, mais on peut s'en passer.
Le film se cache derrière un mystère élucidé dès la première seconde. Quel est l'intérêt alors ? Le style, oui. Cocasse et joviale, solaire et ronflant sur le la de la très douée Noor. La musique batifole et survole le film, donne un ton et exprime la seule bonne idée du film. Perdu dans la simplicité, il est rageant de voir des personnages qui semblent ne pas s'épanouir.
Adaptée du roman de Ruth Rendell, cette comédie dramatique interprétée par une très convaincante distribution ne manque pas d'un certain charme avec son scénario à la A. Christie mais se perd entre les étages à force de multiplier les intrigues secondaires. Divertissant et attachant malgré tout.
Je n’ai vraiment pas accroché à ce film d’une platitude sans nom, qu’à la fin, une pseudo enquête policière vient artificiellement relever. S’il suffisait de filmer un pâté de maisons et ses habitants pour faire un film, on aurait des millions de nouveaux cinéastes. Pourtant, « Fenêtre sur Cour » (Rear Window, 1955) d’Alfred Hitchcock m’avait beaucoup plu. Et, comme d’autres, j’aime voir Marie Gillain gambader nue. A relire mes critiques de « Mercredi, folle Journée ! » (2001) et « Le Grand appartement » (2006), les précédents films du réalisateur que j’avais vus, je comprends mieux pourquoi je n’aime pas ses films et les défauts que je remarque à chaque fois : absence de rythme, juxtaposition de saynètes plutôt qu’une vraie histoire. On ne m’y reprendra plus à voir un film de Pascal Thomas.
Je suis un peu ambivalent face à ce film. Ce mélange de légèreté, dont on se demande si cela ne voisine pas avec l'inconsistance me trouble. Chaque acteur incarne un personnage, qui existe et en même temps, on n'y croit pas vraiment. J'ai vu ce film avec une distance comme les films, que je regardais autrefois à la télévision le dimanche soir. Un grand bravo à Géraldine Chaplin dans son incarnation d'une alcoolique. Ce film voyage sur place, c'est étonnant. Que signifie ce titre avec le redoublement du prénom du héros ? Est-ce le refrain de la chanson? Un effet de miroir inversé, façon Don Juan et son double? Il y a du montré-caché dans cette intrigue policière. Le sexe est omniprésent, mais de manière troublée, inadéquate. En somme, je me retrouve dans une position de spectateur perplexe...