Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Tourné à merveille.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Thomas (...) le Léautaud du cinéma français, le plus lettré aussi, passé maître dans l'art de se détourner des polars pour en faire des comédies grinçantes, cocasses, tendrement désespérées, qui ont un charme fou.
Le Dauphiné Libéré
par La rédaction
Une comédie joliment interprétée, qui se colore de drame, en gardant la légèreté de touche propre à Pascal Thomas.
Libération
par Eric Loret
Mais paradoxalement, des adaptations de polars (Agatha Christie) signées Pascal Thomas, si elle est la plus désirante, Valentin Valentin est aussi la plus détraquée, violente, entre autres avec le personnage d’une voisine qui se tue à coups d’alcool. C’est aussi le plus décalé, par refus du décalage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
L'esprit enjoué et décalé, cher au cinéaste, fait toujours mouche, dans un cinéma emprunt de nostalgie.
Positif
par Jean A.Gili
Dans l'intelligence d'un récit où les apartés et les non-dits ramènent toujours à l'essentiel, l'amour et la mort rôdent et s'entremêlent selon la logique d'un collage fermement agencé.
Sud Ouest
par Sophie Avon
En adaptant Ruth Rendell, Pascal Thomas a concocté une intrigue imparable, adaptant le texte à ses obsessions amoureuses.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Empruntant au whodunit, au suspense Hitchcockien, à la comédie romantique bobo, voire rohmérienne, et même le temps d’une scène à la comédie musicale, Valentin Valentin synthétise tout le savoir-faire d’un auteur qui maîtrise parfaitement les codes du cinéma d’auteur qu’il transcende avec fraîcheur et jubilation.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par La Rédaction
Dans ce film plein de fraîcheur, un jeune homme insouciant, objet de toutes les attentions de son voisinage, se trouve embarqué dans un maëlstrom qui le dépasse.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Pascal Thomas façonne un puzzle attachant, foutraque, semé de bons mots.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télérama
par Jacques Morice
Ce qui l'intéresse, c'est la comédie très humaine avec sa part de chagrin, de vie plus ou moins ratée, de croyance malgré tout dans un certain art de la civilité. Ce n'est pas grand-chose et c'est beaucoup à la fois. Ce serait idiot de s'en priver.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) Le film de Pascal Thomas, situé dans un immeuble hitchcockien, accumule tant de personnages et d'intrigues secondaires qu'on se perd entre les étapes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Que ce soit dans la comédie (qui ne sécrète aucune jubilation) ou dans la noirceur sous-jacente du scénario (qui ne réserve aucun trouble), tout est confié aux situations et au typage des personnages.
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Hubert Lizé
Autant on aime quand Pascal Thomas revisite Agatha Christie avec cette loufoquerie vintage (...) autant la relecture du roman de Ruth Rendell La Maison du lys tigré, qu'il nous inflige dans "Valentin Valentin", tombe complètement à côté de la plaque.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Ce nouveau whodunit aligne sans passion les rebondissements de boulevard, mis en scène avec une nonchalance manifeste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Humanité
Tourné à merveille.
L'Obs
Thomas (...) le Léautaud du cinéma français, le plus lettré aussi, passé maître dans l'art de se détourner des polars pour en faire des comédies grinçantes, cocasses, tendrement désespérées, qui ont un charme fou.
Le Dauphiné Libéré
Une comédie joliment interprétée, qui se colore de drame, en gardant la légèreté de touche propre à Pascal Thomas.
Libération
Mais paradoxalement, des adaptations de polars (Agatha Christie) signées Pascal Thomas, si elle est la plus désirante, Valentin Valentin est aussi la plus détraquée, violente, entre autres avec le personnage d’une voisine qui se tue à coups d’alcool. C’est aussi le plus décalé, par refus du décalage.
Ouest France
L'esprit enjoué et décalé, cher au cinéaste, fait toujours mouche, dans un cinéma emprunt de nostalgie.
Positif
Dans l'intelligence d'un récit où les apartés et les non-dits ramènent toujours à l'essentiel, l'amour et la mort rôdent et s'entremêlent selon la logique d'un collage fermement agencé.
Sud Ouest
En adaptant Ruth Rendell, Pascal Thomas a concocté une intrigue imparable, adaptant le texte à ses obsessions amoureuses.
aVoir-aLire.com
Empruntant au whodunit, au suspense Hitchcockien, à la comédie romantique bobo, voire rohmérienne, et même le temps d’une scène à la comédie musicale, Valentin Valentin synthétise tout le savoir-faire d’un auteur qui maîtrise parfaitement les codes du cinéma d’auteur qu’il transcende avec fraîcheur et jubilation.
La Croix
Dans ce film plein de fraîcheur, un jeune homme insouciant, objet de toutes les attentions de son voisinage, se trouve embarqué dans un maëlstrom qui le dépasse.
Le Journal du Dimanche
Pascal Thomas façonne un puzzle attachant, foutraque, semé de bons mots.
Télérama
Ce qui l'intéresse, c'est la comédie très humaine avec sa part de chagrin, de vie plus ou moins ratée, de croyance malgré tout dans un certain art de la civilité. Ce n'est pas grand-chose et c'est beaucoup à la fois. Ce serait idiot de s'en priver.
Le Monde
(...) Le film de Pascal Thomas, situé dans un immeuble hitchcockien, accumule tant de personnages et d'intrigues secondaires qu'on se perd entre les étapes.
Cahiers du Cinéma
Que ce soit dans la comédie (qui ne sécrète aucune jubilation) ou dans la noirceur sous-jacente du scénario (qui ne réserve aucun trouble), tout est confié aux situations et au typage des personnages.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Parisien
Autant on aime quand Pascal Thomas revisite Agatha Christie avec cette loufoquerie vintage (...) autant la relecture du roman de Ruth Rendell La Maison du lys tigré, qu'il nous inflige dans "Valentin Valentin", tombe complètement à côté de la plaque.
Les Inrockuptibles
Ce nouveau whodunit aligne sans passion les rebondissements de boulevard, mis en scène avec une nonchalance manifeste.