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Thomas (...) le Léautaud du cinéma français, le plus lettré aussi, passé maître dans l'art de se détourner des polars pour en faire des comédies grinçantes, cocasses, tendrement désespérées, qui ont un charme fou.
Mais paradoxalement, des adaptations de polars (Agatha Christie) signées Pascal Thomas, si elle est la plus désirante, Valentin Valentin est aussi la plus détraquée, violente, entre autres avec le personnage d’une voisine qui se tue à coups d’alcool. C’est aussi le plus décalé, par refus du décalage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Dans l'intelligence d'un récit où les apartés et les non-dits ramènent toujours à l'essentiel, l'amour et la mort rôdent et s'entremêlent selon la logique d'un collage fermement agencé.
Empruntant au whodunit, au suspense Hitchcockien, à la comédie romantique bobo, voire rohmérienne, et même le temps d’une scène à la comédie musicale, Valentin Valentin synthétise tout le savoir-faire d’un auteur qui maîtrise parfaitement les codes du cinéma d’auteur qu’il transcende avec fraîcheur et jubilation.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dans ce film plein de fraîcheur, un jeune homme insouciant, objet de toutes les attentions de son voisinage, se trouve embarqué dans un maëlstrom qui le dépasse.
Ce qui l'intéresse, c'est la comédie très humaine avec sa part de chagrin, de vie plus ou moins ratée, de croyance malgré tout dans un certain art de la civilité. Ce n'est pas grand-chose et c'est beaucoup à la fois. Ce serait idiot de s'en priver.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) Le film de Pascal Thomas, situé dans un immeuble hitchcockien, accumule tant de personnages et d'intrigues secondaires qu'on se perd entre les étapes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Que ce soit dans la comédie (qui ne sécrète aucune jubilation) ou dans la noirceur sous-jacente du scénario (qui ne réserve aucun trouble), tout est confié aux situations et au typage des personnages.
Autant on aime quand Pascal Thomas revisite Agatha Christie avec cette loufoquerie vintage (...) autant la relecture du roman de Ruth Rendell La Maison du lys tigré, qu'il nous inflige dans "Valentin Valentin", tombe complètement à côté de la plaque.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Humanité
Tourné à merveille.
L'Obs
Thomas (...) le Léautaud du cinéma français, le plus lettré aussi, passé maître dans l'art de se détourner des polars pour en faire des comédies grinçantes, cocasses, tendrement désespérées, qui ont un charme fou.
Le Dauphiné Libéré
Une comédie joliment interprétée, qui se colore de drame, en gardant la légèreté de touche propre à Pascal Thomas.
Libération
Mais paradoxalement, des adaptations de polars (Agatha Christie) signées Pascal Thomas, si elle est la plus désirante, Valentin Valentin est aussi la plus détraquée, violente, entre autres avec le personnage d’une voisine qui se tue à coups d’alcool. C’est aussi le plus décalé, par refus du décalage.
Ouest France
L'esprit enjoué et décalé, cher au cinéaste, fait toujours mouche, dans un cinéma emprunt de nostalgie.
Positif
Dans l'intelligence d'un récit où les apartés et les non-dits ramènent toujours à l'essentiel, l'amour et la mort rôdent et s'entremêlent selon la logique d'un collage fermement agencé.
Sud Ouest
En adaptant Ruth Rendell, Pascal Thomas a concocté une intrigue imparable, adaptant le texte à ses obsessions amoureuses.
aVoir-aLire.com
Empruntant au whodunit, au suspense Hitchcockien, à la comédie romantique bobo, voire rohmérienne, et même le temps d’une scène à la comédie musicale, Valentin Valentin synthétise tout le savoir-faire d’un auteur qui maîtrise parfaitement les codes du cinéma d’auteur qu’il transcende avec fraîcheur et jubilation.
La Croix
Dans ce film plein de fraîcheur, un jeune homme insouciant, objet de toutes les attentions de son voisinage, se trouve embarqué dans un maëlstrom qui le dépasse.
Le Journal du Dimanche
Pascal Thomas façonne un puzzle attachant, foutraque, semé de bons mots.
Télérama
Ce qui l'intéresse, c'est la comédie très humaine avec sa part de chagrin, de vie plus ou moins ratée, de croyance malgré tout dans un certain art de la civilité. Ce n'est pas grand-chose et c'est beaucoup à la fois. Ce serait idiot de s'en priver.
Le Monde
(...) Le film de Pascal Thomas, situé dans un immeuble hitchcockien, accumule tant de personnages et d'intrigues secondaires qu'on se perd entre les étapes.
Cahiers du Cinéma
Que ce soit dans la comédie (qui ne sécrète aucune jubilation) ou dans la noirceur sous-jacente du scénario (qui ne réserve aucun trouble), tout est confié aux situations et au typage des personnages.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Parisien
Autant on aime quand Pascal Thomas revisite Agatha Christie avec cette loufoquerie vintage (...) autant la relecture du roman de Ruth Rendell La Maison du lys tigré, qu'il nous inflige dans "Valentin Valentin", tombe complètement à côté de la plaque.
Les Inrockuptibles
Ce nouveau whodunit aligne sans passion les rebondissements de boulevard, mis en scène avec une nonchalance manifeste.