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Romain Goupil signe son film le plus drôle avec cet autoportrait sans concession qui regarde avec finesse les années enfuies et l'époque telle qu'elle va.
D’agaçant au début, le film devient attachant et sympathique. Et d’attachant et sympathique, il se transforme en captivant questionnement sur ce qu’est une vie engagée dans l’époque, lorsqu’on a le sentiment qu’elle nous quitte.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Romain Goupil est fidèle à son ton si personnel et à son enthousiasme communicatif de cinéaste. Très réussi et enjoué, "Les jours venus" est traversé par la grâce.
Original, débridé, farfelu, intime, la dérision et l’humour noir y ont élu domicile ainsi que la comédie, l’autofiction, l’œuvre politico-socialo-familiale, le document et l’album de souvenirs, les anecdotes vraies ou apocryphes.
Contrairement à tant d'autres romanciers et cinéastes, Romain Goupil échappe (...) aux pièges de l'autofiction. Il y vadrouille, à l'aise, entre suffisance et liberté, à mi-chemin entre vérité et fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Il filme avec une grande autodérision toute sa famille, tous ses personnages et tous ses amis dans un joyeux foutoir, plein de vie, de colère et d’énergie
Le cinéaste a beau ridiculiser parfois son personnage d’ex-jeune donneur de leçons, faire sa propre caricature est aussi une forme de complaisance, qui si elle ne rend pas le film antipathique, finit de le rendre inoffensif.
La Croix
Romain Goupil signe son film le plus drôle avec cet autoportrait sans concession qui regarde avec finesse les années enfuies et l'époque telle qu'elle va.
20 Minutes
Aujourd'hui, le cinéaste a 63 ans et il est fort heureusement toujours vivant... puisqu'il est de retour avec Les jours venus, film réjouissant.
Elle
D’agaçant au début, le film devient attachant et sympathique. Et d’attachant et sympathique, il se transforme en captivant questionnement sur ce qu’est une vie engagée dans l’époque, lorsqu’on a le sentiment qu’elle nous quitte.
Franceinfo Culture
Romain Goupil est fidèle à son ton si personnel et à son enthousiasme communicatif de cinéaste. Très réussi et enjoué, "Les jours venus" est traversé par la grâce.
Le Journal du Dimanche
Original, débridé, farfelu, intime, la dérision et l’humour noir y ont élu domicile ainsi que la comédie, l’autofiction, l’œuvre politico-socialo-familiale, le document et l’album de souvenirs, les anecdotes vraies ou apocryphes.
Le Monde
L'histoire d'un mec qui a réussi un film un brin nostalgique et chaleureux.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Contrairement à tant d'autres romanciers et cinéastes, Romain Goupil échappe (...) aux pièges de l'autofiction. Il y vadrouille, à l'aise, entre suffisance et liberté, à mi-chemin entre vérité et fantaisie.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Les Fiches du Cinéma
Décousu, sympathique, “Les Jours venus...” ne convainc pas vraiment mais séduira les fans de Romain Goupil.
Les Inrockuptibles
Il filme avec une grande autodérision toute sa famille, tous ses personnages et tous ses amis dans un joyeux foutoir, plein de vie, de colère et d’énergie
Première
Le résultat est un patchwork un peu inégal mais stimulant, refusant l’esprit de sérieux, en particulier sur les sujets graves.
Cahiers du Cinéma
Le cinéaste a beau ridiculiser parfois son personnage d’ex-jeune donneur de leçons, faire sa propre caricature est aussi une forme de complaisance, qui si elle ne rend pas le film antipathique, finit de le rendre inoffensif.
Le Parisien
Quand le cinéma bobo se déchaîne, ça fait mal.