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    Ghost In The Shell
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    727 critiques spectateurs

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    Guillaume C.
    Guillaume C.

    86 abonnés 182 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 avril 2017
    Pas un grand connaisseur du manga éponyme j’en connaissais tout de même les grandes lignes, suffisamment pour me donner envie d’aller voir cette adaptation.
    Résultat une cuisante déception. « Ghost in the shell » prend le parti de se concentrer uniquement sur l’action et le passé du Major retirant toutes les réflexions que pouvaient contenir le manga sur ce qui fait de nous des êtres humains, où se situe la limite avec les machines etc… (pour ceux qui connaissent le jeu vidéo imaginez-vous un Deus Ex avec seulement les gunfight sans histoire ni réflexion et vous obtenez ce qu’est ce film). Plus déplaisant encore le film a la malhonnêteté d’essayer de nous faire croire qu’il aborde ces réflexions en nous balançant 2,3 gros poncifs assez vides sur le sujet… navrant.

    Vide de toute cette partie de réflexion le film hôte ce qui faisait en grande partie l’intérêt du manga, l’histoire se résumant à celle du Major qui recherche son passé. Malheureusement cette partie aussi est largement ratée, ultra prévisible le scénario qui en découle est d’une platitude impressionnante. D’autant plus que le Major du film est franchement inintéressant, là où dans le manga ou les animes le Major est tourmentée par sa condition de cyborg, celui campée par Johansson ne se pose pas beaucoup de questions, résultat un personnage à l’image du film : plat.
    A l’image d’ailleurs du reste du casting où les acteurs (actrices) sont tous plus inexpressifs et inintéressants les uns que les autres. Pour preuve l’équipe du Major que l’on nous présente en 2 minutes et qui ensuite disparait joyeusement du film. Ajoutez à ça un méchant sans relief aux motivations banales et vous obtenez une flopée de personnages tous plus fades les uns que les autres.
    Et rien n'est contextualisé, la société dans laquelle se positionne le film, l’organisation de Daisuke Aramak, la société de Cutter, tout ça est évacué en 3-4 phrases qui n’apportent aucun élément scénaristique.

    Niveau scénario justement, on a constamment l’impression que le film nous emmène d’un gunfight à un autre et qu’entre chaque l’histoire sert de remplissage. La 1ere moitié du film est incroyablement alors longue, alors que la fin est expédiée, un comble !
    L’histoire aurait pu se relancer (petit spoil) avec la rencontre entre Kuze et le Major et bien non cela tombe totalement à plat, car comme tout le reste les incidences de cette rencontre sont balayées en quelques secondes. Je pourrais encore m’étendre longuement sur les raccourcis et les incohérences scénaristiques nombreuses, mais je ne m’attarderais que sur la fin, ridicule. Expédiée et bâclée, comme je le disais elle nous offre un affrontement contre une sorte de boss final aussi ridicule qu’ennuyeux, bref de quoi accentuer le sentiment d’agacement et d’ennui du spectateur.

    Ne reste alors pas grand-chose au film. Des effets spéciaux, une ambiance visuelle et une esthétique plutôt réussis, mais pas de quoi non plus sauter au plafond et donc pas de quoi compenser ses énormes défauts.

    Au final « Ghost in the shell » se révèle être un banal film d’action, vu et revu X fois. Il y avait tellement mieux à faire.
    A bout d’1h je regardais ma montre, 1h30 je la regardais toutes les 5 minutes, ce qui est toujours mauvais signe et des 6 personnes qui m’accompagnaient aucun a aimé (pourtant nous avons tous des gouts différents en matière de cinéma).

    A force de tourner dans des navets Johansson va bientôt pouvoir faire des soupes.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 avril 2017
    saluts les enfants, c'est papa,
    bienvenu dans ce #maxamovies numéro 11 !

    Dans un univers post-apocalyptique, ghost in the shell prend place. Armé de sa technologie, ce robot justicier va affronter un ennemi très étrange. Cette enquête va l'amener à se poser des questions sur sa propre existence, sur son passé oublié, ce qui va peu à peu faire émerger des sentiments "humains" à l'intérieur de sa carapace. Le créateur de ce robot a intégré un "faux passé" dans sa mémoire pour que cette absence de passé soit moins douleureuse à vivre. Ce mensonge ne va faire qu'alimenter la curiosité de notre chère "major" à découvrir ce qui se cache derrière sa création.

    Si l'histoire paraît alléchante, les nombreuses scènes d'actions empêchent l'intrigue d'aller trop loin dans la subtilité. On aurait aimé que la relation avec le "kev adams américain", pilou asbaek, soit un peu plus creusée et approfondie. On aurait aussi aimé que cette explosion d'imaginaire soit expliquée au spectateur. On ne voit que trop rarement des films de science-fiction au cinéma, et on peut qu'apprécier que l'argent serve à créer de si belles images, créatives, dans un univers tangible. Rien que cela vaut largement le prix de la place. L'effort doit être salué.

    Si on comprend le choix logique de placer ce robot au japon, où la technologie est la plus avancée, rien ne dit que le japon sera toujours le pays le plus avancé tehcnologiquement dans le futur. Et la plupart des personnages sont d'origine asiatique, ce qui pose un peu problème au spectateur "européen", pour s'identifier au milieu de tout ça. De plus, l'univers est très sombre, et la patte graphique montre clairement un côté post-apocalyptique. Encore un choix avec lequel le spectateur à dû mal à s'identifier. Pourquoi le futur devrait forcément être sombre. Troisième faute de goût, le costume du robot. C'est du métal couleur peau humaine et on a la plupart du temps l'impression qu'elle est à poil, un peu comme un genre de leggings provocateur qui habillerait sans habiller. Il y avait des façons plus habiles de l'habiller. enfin, je me comprends.

    Le film manquait aussi d'anecdotes et d'humour. On est pas dans la tête de l'auteur pour deviner pourquoi le futur est comme-ci ou comme-ça, et ça aurait été bien de nous expliquer pourquoi les affiches publicitaires sont de géants hologrammes en 3d, pour ne prendre que cet exemple. On a l'impression d'être dans un musée, ébloui par la beauté du spectable mais devant une image figée et muette qui ne raconterait pas son histoire. Alors on en prend tellement plein les yeux qu'on ne s'ennuie pas. Et on passe un bon moment devant ce film policier qui sort clairement des sentiers battus. Mais si on enlèvait toutes les paillettes et le tralala qu'on nous balance au visage, ce film ne serait qu'une vulgaire coquille vide.

    8/10 pour ce ghost in the shell. un film qui ne traverse pas les murs.

    c'était papa pour le #maxamovies numéro 11.
    à très bientôt pour de nouvelles aventures.
    et d'ici là, ne voyagez surtout pas dans le temps !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 avril 2017
    J'ai découvert la manga lors de sa sortie française. J'ai eu l'occasion de la relire plusieurs fois. J'ai également vu les animes lors de leur sortie. C'est donc avec un mélange de crainte et d'appréhension que je suis allé voir cette adaptation américaine d'un des chefs d'oeuvre de Masamune Shirow.

    Le film est clairement orienté Blockbuster/Entertainment et de ce point de vue, on y voit indubitablement un film américain. Cependant, dans son oeuvre, Masamune Shirow ne s'est jamais caché d'être un grand fan de Blade Runner ou des écrit de William Gibson (Neuromancien).
    L'interconnexion entre le cyberpunk japonais et le cyberpunk américain est donc déjà forte dans l'oeuvre originale.
    Graphiquement, visuellement, on retrouve donc un univers auquel nous sommes habitués.

    Voyons maintenant ce qui à mon avis, fait de ce film un excellent film :
    La première réussite du film est d'avoir su garder quasiment tous les moments forts de l'histoire originale.
    La deuxième réussite du film est sans doute d'avoir su renforcer la personnalité de nombreux personnages de l'oeuvre : Bantou, Daisuke Aramaki, Kuze, le Dr Ouelet, ... Ils trouvent ici une profondeur qui rend crédible leur existence et qui permet de rappeler régulièrement ces questions essentielles à l'oeuvre de Masamune Shirow : Où s'arrête l'humain, où commence la machine ? Sommes nous définis pas nos actes ou par nos souvenirs ? ...
    La troisième réussite et non la moindre, c'est d'avoir réussi à simplifier le scénario de Masamune Shirow pour le rendre compréhensible aux néophytes de l'oeuvre et/ou du cyberpunk, sans le rendre simpliste.
    Thierry K.
    Thierry K.

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 avril 2017
    Le film est très bien. Il y a toujours des effets spéciaux impressionnants et l'histoire est intéressante. Deux heures qui sont passées en deux minutes. Mon épouse et moi avons du mal à comprendre comment ce film peut être parfois mal noté.
    Théo A
    Théo A

    6 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 avril 2017
    Cette adaptation du célèbre manga est visuellement assez réussie et dans l'ensemble bien réalisée.
    Toutefois, elle demeure loin de l'original : scénario extrêmement simplifié et prévisible, bande son correcte mais incomparable avec celle des films de Mamoru Oshii, jeu d'acteurs inégal (principalement la démarche "robotique" de Scarlett Johansson et certaines réactions de Juliette Binoche). Nous sommes face à un film grand public et occidental, qui, sans être complètement mauvais, risque de décevoir les fans de l'œuvre de Masamune Shirow. Bref, il y a le shell, mais pas le ghost.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 avril 2017
    Très bon film et belles images ! Je suis très surprise ! L'histoire de cette femme est vraiment très intéressante.
    Diel V
    Diel V

    7 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 avril 2017
    Les critiques n'ont pas compris ce film, ils ont tenté de retrouver "leur“ manga, celui de " leurs vingt ans". Mais un réalisateur a parfaitement le droit de reprendre un thème universel (sommes-nous des marionnettes agitées par le destin ou avons-nous un libre-arbître?) et de le retranscrire, en lui insufflant sa propre vision du monde, avec les moyens dont il dispose actuellement.
    Voyez ce film d'un œil neuf, sans vous référer aux oeuvres qui l’ont inspiré. Vous comprendrez sa beauté. Vous comprendrez à quel point les rôles de Scarlett Johannson et de Juliette Binoche, qui croit en elle et finit par se sacrifier pour l'aider dans sa quête, sont profondément humains.
    C’est l’histoire d'un robot animé par un cerveau humain qui se rend compte que des monstres froids ( la firme Hanka Robotics) ont masqué sa mémoire pour le transformer en simple outil, et qui part à la recherche de ses souvenirs d'humain. Même si on lui répète que nos souvenirs nous manipulent et qu'il est plus " pur" de n'en avoir aucun, que ce sont nos actes qui nous définissent, et pas nos souvenirs, Il n'y croit pas. Il s'entête, il finira par retrouver ses souvenirs et sentiments humains, tout en assumant son corps de robot.
    Le temps de la brutalité aveugle, qu'exprimait ce monde de mangas des années 80, s'efface, de génération en génération, dans la douleur. Celui de la féminité ressurgit lentement. Lorsque le docteur Ouellet se sacrifie, la mère du robot réapparaît sous forme d'une femme japonaise, seule et vieillissante, mais pleine de vie et de compassion . C'est une des belles idées du film. La fin aussi est belle : le major assume dorénavant sa double appartenance, union de robot et d'humain, de déterminisme et de liberté.
    ffred
    ffred

    1 696 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 avril 2017
    Adaptation sur grand écran des célèbres films animés et du manga japonais Ghost in the shell. Je ne les ai ni lus ni vus, je ne peux donc pas comparer et dire si c’est bien adapté. J’ai trouvé cela assez classique et sans surprise pour un film de SF mais c’est plutôt bien fait. Même si la mise en scène de Rupert Sanders (Blanche-Neige et le chasseur) ne sort pas de l’ordinaire, le scénario non plus. Techniquement, c’est superbe. J’ai trouvé les effets spéciaux particulièrement réussis. L’ambiance futuriste est bien rendue, sombre et assez oppressante (et assez inquiétante au demeurant). La direction artistique dans son ensemble est très soignée. Le casting...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 avril 2017
    J'avais peu d'attente concernant le film! J'avais même beaucoup de mal à imaginer Scarlett dans le rôle du Major! Force est de constater que l'esprit du film d'animation est bel et bien là! Je m'étais franchement fait à l'idée d'une adaptation "à l'américaine" orientée action avec peut-être un manque de consistance concernant toute la réflexion philosophique axée sur le personnage et l'univers même du film d'animation. Au final je n'ai absolument pas été déçu. C'est à peu prêt ça que j'attend d'une adaptation : une interprétation de l'univers avec un nouveau regard de la part du réalisateur tout en jouant sur les personnages et leur mythologie.
    Certains me diront "mais ça n'est pas fidèle à l'original" je leur dirais que oui principalement dans le fond avec quelques différences notables sur la forme.En tout cas ne retire rien au propos.
    Au niveau du rythme j'aurais peut-être voulu que ça soit un peu plus "punchy" à certains moments. Bien sûr c'est congruent avec l'intention de départ mais certaines chorégraphies de combat plus "lourdes" et plus violentes auraient sans doute amélioré la qualité du métrage qui est déjà franchement pas mal!
    Visuellement l'univers est juste impeccable. La ville cyber punk avec des hologrammes géants ça rendait déjà bien dans les extraits mais inclus dans le scénario c'est propre.

    Pour résumer en quelques mots : c'est une adaptation qui a sa propre personnalité tout en respectant le matériau de base.
    Ca n'est pas mon film de l'année mais il est franchement pas mal!
    laurent c.
    laurent c.

    19 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 avril 2017
    Surprenant. Un vrai univers servi par une réalisation de haut niveau. Et la 3D au service du film sans excès. Très bon moment.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 août 2017
    Excellent.
    Je ne connaissais pas cette œuvre de Masamune Shirow qui est sortie en manga dans les années 80. Rupert Sanders réalise une seconde adaptation réussie qui fait la part belle aux villes modernes. Une forêt de gratte-ciels se dressent devant nous traversée d'images holographiques et de néons. On plonge dans un univers futuriste dominé par l'informatique et les robots avec ce chiffre hallucinant donné d'entrée de jeu : 73% de la population a choisi de se faire greffer une partie du corps cybernétique. Cette corruption d'une humanité transparaît à travers une ambiance sombre et glauque qui domine tout au long du film car les humains acceptent de leur plein gré de se transformer en androïdes.

    Beaucoup sauf l'héroïne qui elle a fait l'objet d'une transplantation involontaire suite à une accident et qui se réveille dans un corps en métal tout en ayant conservé son cerveau humain : Mira est le premier cyborg, le produit dernier cri de la société Hanka qui veille avec attention à son rejeton. Elle est chargée de la sécurité du système qui l'a fait naître jusqu'à sa rencontre avec Kuze, un criminel cybernétique qui sème le désordre et pirate des androïdes. Elle va alors découvrir l'autre côté du décor avec le témoignage du Dr Ouellet qui va confirmer les accusations de Kuze...
    L'histoire est intéressante car elle soulève bien des questions sur l'évolution de notre monde qui court après le tout robotique, le culte de la performance et le mépris de sa propre condition. Un mal être qui amène à l'émergence de créatures hybrides telles que Mira sans résoudre les problèmes de fond. Le film entrevoit aussi la problématique de la nature de l'âme, appelé ghost, et celle de l'identité. C'est le passé qui, présenté ici comme le terreau de nos souvenirs et le moteur de nos émotions, est le garant de cette même identité. Or des failles dans la mémoire, des données faussées et c'est un édifice intérieur qui s'écroule, un moi qui tâtonne dans le trouble sans pouvoir se trouver.

    Enfin, pour ce qui est des personnages, le major a l'avantage à mes yeux d'être une femme et comme il est rare de voir un premier rôle féminin, j'apprécie. Surtout que Mira malgré les coups nombreux, montre du courage et se bat comme un homme. Victime d'un accident puis d'une explosion, elle poursuit sa quête avant d'affronter un robot bien plus puissant qu'elle qui lui brûle les bras. Faut en vouloir, c'est sûr. Par contre, niveau émotion, ce personnage est très limite mais c'est vrai que Scarlett Johanson campe un cyborg et que pour cette raison, elle doit rester impassible. J'ajouterais aussi que j'ai trouvé le cybercriminel plus touchant qu'elle. Kuze apparaît davantage comme une sorte de porte-parole des victimes oubliées qui ont servi aux opérations de Hanka, un double aussi de Mira puisqu'il est le fruit inachevé de la même expérience qu'elle dans une étape antérieure. Moins performant sur un plan robotique, il l'est davantage qu'elle au niveau de la conscience et c'est par lui que le major entrevoit la vérité. Mais dans la version de Shirow, le cybercriminel n'a rien d'humain car c'est une intelligence artificielle qui cherche à se dupliquer non pas pour obtenir une révolte contre un système corrompu mais pour faire naître une nouvelle création dans la dynamique de cette corruption. Autrement dit, la version d'origine propose un tout autre profil de méchant. Dans cette adaptation, c'est un des ingénieurs d'Hanka, le supérieur de Ouellet qui est en fait le monstre.

    Voilà pour résumer, Ghost in the shell est un très bon blockbuster américain qui a le mérite d'aborder des questions de fond sur notre société actuelle et son possible futur dans un décor high tech sombre et léché.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 avril 2017
    Quand j'étais petit, j'avais un livre que j'aimais beaucoup. Mon frère, pour me mettre la rage, l'à souiller de boue, de traces de crayon feutres et a arraché plusieurs pages.
    C'est l'impression que j'ai ressenti en regardant ce navet made in US, qui reprend comme des pastiches les scènes visuellement marquantes, et utilise de façon très vulgaire le fil rouge de l'anime sur les questions de la conscience.

    spoiler: Comble du mépris, la musique original en fond du générique de fin !


    Une oeuvre vandalisée, ça donne la nausée !
    Si vous aimez comme moi Ghost In The Shell l'anime, fuyiez !!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 avril 2017
    À fuir. J'avais déjà oublié le tire du film en arrivant chez moi. Aucune psychologie. Explosions de comptoirs. Aucune histoire. Aucune japonisation. Bref du cinéma US inutile. Ne passez pas par la case départ. Ne perdez pas 17€.
    ciné123567
    ciné123567

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 avril 2017
    Des effets spéciaux magnifiques, mais une histoire simple.
    Ce film fait partit comme beaucoup de nouveaux films de science-fiction tel que Xmen et d'autres, qui ont un scénario moyen, avec beaucoup d'effet spéciaux.
    L'histoire se passe dans une futur ou il y a de nouvelle technologie tel que l'intelligence artificielle, mais les armes n'ont pas évolué d'un poil, la meilleure arme pour intervenir dans une attaque, est un simple pistolet.
    Les prises sur la nuque de l'héroïne, ne sont vraiment pas discrète surtout si on veut infiltrer une organisation en se faisant passer pour un humain.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 avril 2017
    Si je suis assez fan d'animés japonais et que je connaissais grosso modo le thème et l'esthétique de Ghost in the Shell, je n'ai jamais vu le film de 1995. J'avoue que lorsque j'ai vu la bande-annonce de la version 2017 avec une Scarlett Johanson exagérément sensuelle j'avais peur qu'on tombe dans la lourdeur du blockbuster US. Mais pourtant je ressors de Ghost of the Shell avec un sentiment plaisant. Le film est très beau, l'esthétique est bien travaillée, l'action est là. Le scénario est bien exploité et sobre, il n'y a pas d'humour et ça tombe très bien, car le film en lui même évoque des sujets profonds, comme dans l'animé heureusement, qui touchent à la nature humaine, à la réalité de notre existence, etc... Ambiance qui aurait pris du plomb dans l'aile avec des blagues lourdasses à la Avengers... Certes il y a quelques petites erreurs, mais le film est soigné, propre et intelligent. J'ai été ravi.
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