Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Scarlett Johansson semble être née pour incarner le Major dans "Ghost in the Shell" de Rupert Sanders. L’actrice apporte sa plastique irréprochable et son charisme à ce robot guerrier (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Le film se distingue grâce à un casting original : Pilou Asbaek, Michael Pitt et surtout Takeshi Kitano.
Le Parisien
par Renaud Baronian
"Ghost In The Shell" éblouit par son univers visuel futuriste délirant. La mise en scène spectaculaire laisse de la place aux acteurs.
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
“Ghost in the Shell” déploie une armada impressionnante d’effets spéciaux et se distingue par sa recréation d’un univers dystopique aussi fascinant qu’angoissant.
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
C’est ce qui fascine dans ce film à la beauté étrange : son ghost, c’est évidemment le film d’origine, classique absolu, vénéré par des fans prêts à hurler au sacrilège, auquel il se confronte avec solennité (comme s’il était sous surveillance).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Fausto Fasulo
James Cameron devrait apprécier.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
De la science-fiction efficace, belle, distrayante.
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Omniprésents tant dans les scènes d’action que dans les décors dantesques à la Blade Runner, les effets spéciaux sont sublimes et, pour une fois, très convaincants en 3D.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Sans prétendre au chef-d’œuvre, le film transmet une vraie joie d’expérimenter sur les corps et l’architecture qui en fait davantage un rejeton des Wachowski.
Ecran Large
par Simon Riaux
"Ghost in the Shell" s'efforce de respecter son modèle, quitte hélas à se transformer en écho affaibli et simpliste de l'oeuvre originale.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Jacques Braunstein
C’est plutôt réussi. On retrouve de fait ce qui faisait la spécificité du dessin animé : allier action et mélancolie, métaphysique et informatique. (...) On regrette en revanche que le récit soit entrecoupé de scènes didactiques où les personnages expliquent ce qui se passe pour ne pas trop déconcerter le large public visé.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce thriller d’anticipation crépusculaire et envoûtant reste fidèle à la mythologie d’origine en imposant une narration plus limpide, les effets spéciaux cherchant avant tout la crédibilité dans l’esprit de Minority Report (2002). Captivant.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Sanders, réalisateur de clips remarqué, ne fait pas dans la demi-mesure. Il signe un blockbuster haut de gamme au message antitotalitaire, fondamentalement assommant mais visuellement inventif, et foisonnant de références.
Le Point
par Romain Brethes
"Ghost in the Shell" version Scarlett Johansson, qui a rarement été aussi surexposée comme produit d'appel d'un blockbuster, ne manque pas d'atouts dans son jeu, malgré les polémiques qui ont entouré le film.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par Yannick Vely
Sans être un chef d’œuvre du genre, ni briller particulièrement par son originalité - le scénario qui suit la trame de «Robocop» renoue avec le mythe de «Frankenstein» -, ce remake reste particulièrement digeste.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rolling Stone
par Jessica Saval
Bien que divertissant, il manque à "Ghost in the Shell" un certain supplément d'âme.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
(...) un film d'action cérébral et spectaculaire, magnifié par la 3D et une Scarlett Johansson épatante.
Télérama
par Jérémie Couston
Les habituelles questions philosophiques soulevées par le genre (la dialectique entre humain et robot, entre corps et esprit) passent au second plan. Le premier est saturé d'effets spéciaux aussi ébouriffants qu'épuisants, a fortiori en 3D.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le traitement hollywoodien n’affadit pas le monstre de réflexion qu’était le manga, mais le simplifie dans sa trame. En 2017, Ghost in the Shell gagne en lisibilité pour les foules et en linéarité. Toutefois, il ne perd pas de sa substance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
La question est sûrement profonde, mais elle est essentiellement traitée par la beauté visuelle et plastique (...).
L'Humanité
par Vincent Ostria
On a ajouté au récit une dimension familiale qui ne le rend pas plus clair que l’original. De plus, malgré la splendeur de certains décors, il n’a pas les qualités mystérieuses qui faisaient du modèle un film noir futuriste. Ou comment transformer un classique de la SF en produit pop ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Pas l’ombre d’une idée, d’un semblant d’atmosphère de la part du réalisateur de "Blanche Neige et le chasseur", soupçonné de souffrir de graves lésions narratives et visuelles. L’enjeu ? De redondantes et banales scènes de castagnes et de fusillades filmées à la truelle.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un manga culte, déjà porté au cinéma par deux films d’animation japonais, et ici passé au moule spectaculaire à gros effets de la machine hollywoodienne, sur un thème quasi pascalien : ce n’est qu’un robot, mais c’est un robot pensant…
Libération
par Julien Gester
Finalement, c’est ce nouveau film lui-même, signé par le réalisateur du repoussant "Blanche-Neige et le Chasseur", qui s’apparente à une version simplificatrice, édulcorée, comme rétrécie au délavage, de l’œuvre d’Oshii, dont il décalque pourtant des scènes entières plan par plan, à grands frais et renforts de moyens numériques non dénués d’impact sensoriel.
L'Express
par Eric Libiot
Esthétiquement, c'est un mélange bas de gamme de "Blade Runner" et du "Cinquième Elément" ; formellement, c'est réalisé sans aucune invention ; dramatiquement, c'est proche du zéro.
Le Figaro
par Alicia Paulet
Le manga culte de Masamune Shirow est transformé en blockbuster indigeste par le réalisateur britannique Rupert Sanders.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
20 Minutes
Scarlett Johansson semble être née pour incarner le Major dans "Ghost in the Shell" de Rupert Sanders. L’actrice apporte sa plastique irréprochable et son charisme à ce robot guerrier (...).
CNews
Le film se distingue grâce à un casting original : Pilou Asbaek, Michael Pitt et surtout Takeshi Kitano.
Le Parisien
"Ghost In The Shell" éblouit par son univers visuel futuriste délirant. La mise en scène spectaculaire laisse de la place aux acteurs.
Les Fiches du Cinéma
“Ghost in the Shell” déploie une armada impressionnante d’effets spéciaux et se distingue par sa recréation d’un univers dystopique aussi fascinant qu’angoissant.
Les Inrockuptibles
C’est ce qui fascine dans ce film à la beauté étrange : son ghost, c’est évidemment le film d’origine, classique absolu, vénéré par des fans prêts à hurler au sacrilège, auquel il se confronte avec solennité (comme s’il était sous surveillance).
Mad Movies
James Cameron devrait apprécier.
Ouest France
De la science-fiction efficace, belle, distrayante.
Télé 2 semaines
Omniprésents tant dans les scènes d’action que dans les décors dantesques à la Blade Runner, les effets spéciaux sont sublimes et, pour une fois, très convaincants en 3D.
Cahiers du Cinéma
Sans prétendre au chef-d’œuvre, le film transmet une vraie joie d’expérimenter sur les corps et l’architecture qui en fait davantage un rejeton des Wachowski.
Ecran Large
"Ghost in the Shell" s'efforce de respecter son modèle, quitte hélas à se transformer en écho affaibli et simpliste de l'oeuvre originale.
GQ
C’est plutôt réussi. On retrouve de fait ce qui faisait la spécificité du dessin animé : allier action et mélancolie, métaphysique et informatique. (...) On regrette en revanche que le récit soit entrecoupé de scènes didactiques où les personnages expliquent ce qui se passe pour ne pas trop déconcerter le large public visé.
Le Journal du Dimanche
Ce thriller d’anticipation crépusculaire et envoûtant reste fidèle à la mythologie d’origine en imposant une narration plus limpide, les effets spéciaux cherchant avant tout la crédibilité dans l’esprit de Minority Report (2002). Captivant.
Le Monde
Sanders, réalisateur de clips remarqué, ne fait pas dans la demi-mesure. Il signe un blockbuster haut de gamme au message antitotalitaire, fondamentalement assommant mais visuellement inventif, et foisonnant de références.
Le Point
"Ghost in the Shell" version Scarlett Johansson, qui a rarement été aussi surexposée comme produit d'appel d'un blockbuster, ne manque pas d'atouts dans son jeu, malgré les polémiques qui ont entouré le film.
Paris Match
Sans être un chef d’œuvre du genre, ni briller particulièrement par son originalité - le scénario qui suit la trame de «Robocop» renoue avec le mythe de «Frankenstein» -, ce remake reste particulièrement digeste.
Rolling Stone
Bien que divertissant, il manque à "Ghost in the Shell" un certain supplément d'âme.
Télé 7 Jours
(...) un film d'action cérébral et spectaculaire, magnifié par la 3D et une Scarlett Johansson épatante.
Télérama
Les habituelles questions philosophiques soulevées par le genre (la dialectique entre humain et robot, entre corps et esprit) passent au second plan. Le premier est saturé d'effets spéciaux aussi ébouriffants qu'épuisants, a fortiori en 3D.
aVoir-aLire.com
Le traitement hollywoodien n’affadit pas le monstre de réflexion qu’était le manga, mais le simplifie dans sa trame. En 2017, Ghost in the Shell gagne en lisibilité pour les foules et en linéarité. Toutefois, il ne perd pas de sa substance.
Charlie Hebdo
La question est sûrement profonde, mais elle est essentiellement traitée par la beauté visuelle et plastique (...).
L'Humanité
On a ajouté au récit une dimension familiale qui ne le rend pas plus clair que l’original. De plus, malgré la splendeur de certains décors, il n’a pas les qualités mystérieuses qui faisaient du modèle un film noir futuriste. Ou comment transformer un classique de la SF en produit pop ennuyeux.
La Voix du Nord
Pas l’ombre d’une idée, d’un semblant d’atmosphère de la part du réalisateur de "Blanche Neige et le chasseur", soupçonné de souffrir de graves lésions narratives et visuelles. L’enjeu ? De redondantes et banales scènes de castagnes et de fusillades filmées à la truelle.
Le Dauphiné Libéré
Un manga culte, déjà porté au cinéma par deux films d’animation japonais, et ici passé au moule spectaculaire à gros effets de la machine hollywoodienne, sur un thème quasi pascalien : ce n’est qu’un robot, mais c’est un robot pensant…
Libération
Finalement, c’est ce nouveau film lui-même, signé par le réalisateur du repoussant "Blanche-Neige et le Chasseur", qui s’apparente à une version simplificatrice, édulcorée, comme rétrécie au délavage, de l’œuvre d’Oshii, dont il décalque pourtant des scènes entières plan par plan, à grands frais et renforts de moyens numériques non dénués d’impact sensoriel.
L'Express
Esthétiquement, c'est un mélange bas de gamme de "Blade Runner" et du "Cinquième Elément" ; formellement, c'est réalisé sans aucune invention ; dramatiquement, c'est proche du zéro.
Le Figaro
Le manga culte de Masamune Shirow est transformé en blockbuster indigeste par le réalisateur britannique Rupert Sanders.