Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Sous-représenté au cinéma, le monde ouvrier sert de cadre chaleureux à une histoire d’amour émouvante et transgressive, sur fond de crise de l’industrie textile et de tournoi de rugby.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Noémie Luciani
Olivier Loustau narre avec justesse l'histoire d'une équipe de rugby d'entreprise qui tente de rester soudée face à la crise.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Acteurs justes, mise en scène tenue et match final plus vrai que vrai : on salue l'art et l'essai.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Le couple Christa Theret - Olivier Loustau a du mal à fonctionner dans la partie romance de cette chronique sociale et sentimentale. En revanche, la réalité au quotidien est restituée avec une juste sensibilité.
Paris Match
par Yannick Vely
L'histoire d'amour tient bien sûr de prétexte mais l'idée est belle d'opposer la frêle et innocente Christa Theret à son visage brut et buriné par le temps et l'effort.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Bernard Achour
Sans égaler le formidable "Discount", sorti en tout début d’année, voici un nouvel exemple de premier film français capable d’observer son époque et de faire du cinéma tout en adaptant à son profit les codes d’un divertissement qu’on aurait tort de croire joué d’avance.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
La mise en scène n'est pas sans défauts - répétitive, accumulant trop de scènes de rugby et de séquences où la moto file sur l'autoroute -, mais l'ensemble a une noblesse et une probité qui tiennent l'histoire hors de l'eau, quand on imagine les écueils sous-jacents.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
VSD
par Bernard Achour
Sur fond de malaise économique, un faux vaudeville frondeur, lucide, sensuel et chaleureux, qui offre bien plus que ce qu’on pouvait en attendre a priori.
Critikat.com
par Soleil Hakansson
"La Fille du patron", œuvre intelligente en déséquilibre, oscillant entre chronique facile et intelligence du personnage et de ses rapports, porte tout de même en elle les germes d’un cinéaste à surveiller.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par La Rédaction
Il y a tous les ingrédients d’une bonne comédie sentimentale, dont on n’attend pas de surprises. De fait, il n’y en a guère dans "la Fille du patron", qui trace sa route avec vaillance et fait la part belle à Christa Théret et Florence Thomassin, superbe dans le rôle très ingrat de la femme délaissée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une manière délicate de traiter un sujet social.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Le comédien Olivier Loustau signe un premier film sans prétention mais joliment mené, dont le premier mérite est de faire du bien.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
"La Fille du patron" repose beaucoup sur ses comédiens qui sont tous remarquables, du premier au dixième rôle, individuellement et collectivement, chacun apportant sa touche de singularité.
Positif
par Alain Masson
Les revirements sentimentaux, les remontrances du patron a sa fille, la virulence de l'épouse délaissée, voilà des figures trop attendues (...). Reste que la mise en scène d'Olivier Loustau, dans ses meilleurs moments suscite l'étonnement et l'admiration comme peu de premiers longs métrages ont pu le faire ces temps-ci.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Un film social authentique, mais pas tout à fait dénué de faiblesses.
Télérama
par Pierre Murat
On se croirait dans un vieux film d'avant guerre, dont Gabin campait forcément le héros : un monde comme en peignait le Julien Duvivier de La Belle Equipe. Fraternel et menacé de disparition. Même l'histoire d'amour, un rien clichetonneuse au départ, convainc par sa franchise, sa sensualité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Pour son premier film en tant de réalisateur, le comédien Olivier Lousteau tente de combiner romance, chronique sociale, réflexion sur l’âge et l’amitié. Mais à vouloir traiter trop de choses, le film manque de profondeur. Reste une équipe d’acteurs enthousiastes et généreux.
Libération
par La Rédaction
Le premier long métrage d’Olivier Lousteau, qui a tout donné (écriture, mise en scène, interprétation), est une romance bénigne dans laquelle un chef d’atelier tout en pilosité viriloïde plaque bobonne pour une jeunette émancipée. En toile de fond, une peinture bienveillante du monde ouvrier et de la fraternité sportive (rugby) fait la jointure.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La Croix
Sous-représenté au cinéma, le monde ouvrier sert de cadre chaleureux à une histoire d’amour émouvante et transgressive, sur fond de crise de l’industrie textile et de tournoi de rugby.
Le Monde
Olivier Loustau narre avec justesse l'histoire d'une équipe de rugby d'entreprise qui tente de rester soudée face à la crise.
Le Parisien
Acteurs justes, mise en scène tenue et match final plus vrai que vrai : on salue l'art et l'essai.
Ouest France
Le couple Christa Theret - Olivier Loustau a du mal à fonctionner dans la partie romance de cette chronique sociale et sentimentale. En revanche, la réalité au quotidien est restituée avec une juste sensibilité.
Paris Match
L'histoire d'amour tient bien sûr de prétexte mais l'idée est belle d'opposer la frêle et innocente Christa Theret à son visage brut et buriné par le temps et l'effort.
Première
Sans égaler le formidable "Discount", sorti en tout début d’année, voici un nouvel exemple de premier film français capable d’observer son époque et de faire du cinéma tout en adaptant à son profit les codes d’un divertissement qu’on aurait tort de croire joué d’avance.
Sud Ouest
La mise en scène n'est pas sans défauts - répétitive, accumulant trop de scènes de rugby et de séquences où la moto file sur l'autoroute -, mais l'ensemble a une noblesse et une probité qui tiennent l'histoire hors de l'eau, quand on imagine les écueils sous-jacents.
VSD
Sur fond de malaise économique, un faux vaudeville frondeur, lucide, sensuel et chaleureux, qui offre bien plus que ce qu’on pouvait en attendre a priori.
Critikat.com
"La Fille du patron", œuvre intelligente en déséquilibre, oscillant entre chronique facile et intelligence du personnage et de ses rapports, porte tout de même en elle les germes d’un cinéaste à surveiller.
L'Obs
Il y a tous les ingrédients d’une bonne comédie sentimentale, dont on n’attend pas de surprises. De fait, il n’y en a guère dans "la Fille du patron", qui trace sa route avec vaillance et fait la part belle à Christa Théret et Florence Thomassin, superbe dans le rôle très ingrat de la femme délaissée.
Le Dauphiné Libéré
Une manière délicate de traiter un sujet social.
Les Fiches du Cinéma
Le comédien Olivier Loustau signe un premier film sans prétention mais joliment mené, dont le premier mérite est de faire du bien.
Les Inrockuptibles
"La Fille du patron" repose beaucoup sur ses comédiens qui sont tous remarquables, du premier au dixième rôle, individuellement et collectivement, chacun apportant sa touche de singularité.
Positif
Les revirements sentimentaux, les remontrances du patron a sa fille, la virulence de l'épouse délaissée, voilà des figures trop attendues (...). Reste que la mise en scène d'Olivier Loustau, dans ses meilleurs moments suscite l'étonnement et l'admiration comme peu de premiers longs métrages ont pu le faire ces temps-ci.
Studio Ciné Live
Un film social authentique, mais pas tout à fait dénué de faiblesses.
Télérama
On se croirait dans un vieux film d'avant guerre, dont Gabin campait forcément le héros : un monde comme en peignait le Julien Duvivier de La Belle Equipe. Fraternel et menacé de disparition. Même l'histoire d'amour, un rien clichetonneuse au départ, convainc par sa franchise, sa sensualité.
Le Journal du Dimanche
Pour son premier film en tant de réalisateur, le comédien Olivier Lousteau tente de combiner romance, chronique sociale, réflexion sur l’âge et l’amitié. Mais à vouloir traiter trop de choses, le film manque de profondeur. Reste une équipe d’acteurs enthousiastes et généreux.
Libération
Le premier long métrage d’Olivier Lousteau, qui a tout donné (écriture, mise en scène, interprétation), est une romance bénigne dans laquelle un chef d’atelier tout en pilosité viriloïde plaque bobonne pour une jeunette émancipée. En toile de fond, une peinture bienveillante du monde ouvrier et de la fraternité sportive (rugby) fait la jointure.