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Votre avis sur Arnaud fait son 2ème film ?
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C'est l'histoire d'un intermittent du spectacle, avec des hauts et des bas (émotionnels, professionnels - surtout - fiscaux...), qui met 1 h 20 à couper le cordon (dans tous les sens du terme). Thème vu et revu du type qui fait un film sur un type (lui, par économie) qui veut faire un film - son 2e. Dans la douleur, plus que dans la joie. Du vécu, de l'autobiographique. Quelques passages bien troussés, mais un ensemble sans surprises de narration, et/ou de mise en scène. Dispensable.
Julien D
Le problème des films d’autofictions, comme les aiment tant les cinéastes indépendants français, c’est que, par nature, elles ont tendance à toutes se ressembler autour de l’histoire commune de son auteur en train de réaliser son propre film. Or, en sortant à peine deux mois après Les Jours Venus de Romains Goupil, le deuxième film d’Arnaud Viard ne semble n’être qu’une redite de la même recette. Heureusement pour lui, l’acteur popularisé par la mini-série de TF1 Que du bonheur ! s’amuse à se moquer de lui et de sa carrière en dents de scie, faisant ainsi preuve d’une humilité et d’un sens de l’autodérision qui empêcheront aux critiques de le taxer de nombrilisme. Cependant, l’humour de situation n’est que rarement pertinent et le jeu des acteurs secondaires rend l’émotion peu crédible. Le film semble en fait défendre l’idée que sa maladresse avec laquelle se bâtit le film est-elle justifiable par la nature-même du projet. Normal alors qu’en découle un sentiment mitigé, entre le charme d’une authenticité pleine de légèreté et une impression de déjà-vu et de gaucherie amateuriste.
Un film forcément nombriliste mais l’enthousiasme du réalisateur/acteur est communicatif.
Une autofiction tendre et touchante et un poil maladroite, bon voilà...ça ne fait pas mouche a tous les coups mais la bienveillance du personnage a quelque chose de contagieux ... J'ai bien aimé toutes les scènes avec ses élèves...
Arnaud fait son deuxième film bon ok, je n'ai pas vu le premier mais ce titre m'intrigue.
Alors, je le regarde sans rien attendre vraiment de tout cela et puis je reste scotchée,en gros nous somme spectateurs d'un moment de sa vie, de ses doutes,de ce qu'il a envie.
C'est pas spécialement intéressant mais c'est frais, c'est touchant, on esquisse un sourire parfois c'est pas mal, un petit film français sans pretention mais qui à la fin du visionnage nous laisse une impression sympathique.
Alors, je le regarde sans rien attendre vraiment de tout cela et puis je reste scotchée,en gros nous somme spectateurs d'un moment de sa vie, de ses doutes,de ce qu'il a envie.
C'est pas spécialement intéressant mais c'est frais, c'est touchant, on esquisse un sourire parfois c'est pas mal, un petit film français sans pretention mais qui à la fin du visionnage nous laisse une impression sympathique.
Quand nous sommes ressortis de ce film, nous nous sommes dit que le film parlait de sujets sociétaux d'actualités : difficultés du couple arrivé à la quarantaine, retour de flammes chez un quadra, affrontement de la fin de vie d'un parent proche, problèmes liés à la succession et relation avec les frères et sœurs, etc.
Le tout semblait plus ou moins lié par les scènes où Arnaud donne des cours de théâtre en attendant de pouvoir réaliser son 2ème film.
Autrement dit, on ressort du film en ayant l'impression que le sujet principal n'est pas celui du réalisateur.
N'est-ce pas le signe d'un film raté ?
Le tout semblait plus ou moins lié par les scènes où Arnaud donne des cours de théâtre en attendant de pouvoir réaliser son 2ème film.
Autrement dit, on ressort du film en ayant l'impression que le sujet principal n'est pas celui du réalisateur.
N'est-ce pas le signe d'un film raté ?
Arnaud a fait son deuxième film… C’est bien pour lui ! Un nouveau souffle lui a permis de réaliser un nouveau film à petit budget. Les petites tribulations d’Arnaud entre visites chez le psy et mises en scène au Cours Florent manquent singulièrement de consistance. Irène Jacob en faire-valoir ne parvient pas à donner un peu de goût à l’épopée de ce réalisateur méconnu. Notre névrosé au large sourire, tel un étendard, empli d’humanité, déambule dans la vie, zappant entre impudeur et bienveillance, entre chagrins et moments de grâce. L’atmosphère bobo bleutée emprunte de souffrance, de gentillesse et de légèreté hausse le niveau sans atteindre le but escompté : la satisfaction d’avoir vu un bon film !
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