Derniers Avis : The Walk – Rêver Plus Haut - Page 9

S’il n’y avait pas eut l’attitude invraisemblable des policiers new-yorkais lors de la scène finale (alors qu’en vérité leur comportement fût tout autre) j’aurais mis la cinquième étoile tant ce film contient de richesses cinématographiques. Zemeckis y a mis tout son immense talent de grand réalisateur. A cet égard la séquence de la rencontre à Paris entre Philippe et Annie est révélatrice : beauté, charme, poésie tout y est. je ne peux comprendre l’attitude des critiques français qui ont descendu ‘’The Walk’’ à sa sortie alors qu’il été tourné en mémoire des deux tours jumelles et que Philippe Petit fait partie de nos véritables héros nationaux. J’ose penser que la 3 D y est pour quelque chose (en vérité, l’art cinématographique n’a que deux dimensions et les cinéphiles ne peuvent aimer la 3D) mais il fallait choisir l’autre version. Il a même été reproché à ce film d’entrer dans le ‘’cucuritanisme’’ alors que l’intelligence de Zemeckis à éclaboussé ‘’Roger Rabitt’’ et les ‘’Retours vers le futur.’’ Une fois de plus, tout dépend ce que le cinéma représente pour chacun. Plus il est important, plus cette histoire paraitra utile et digne d’être retenue. Son coté documentaire est évident, son coté profond sautant moins aux yeux. Pourtant, ‘’The walk’’ contient une des raisons essentielle de vivre, non seulement Zemeckis l’explique mais il le montre. Il lui a consacré son seul effet spécial fantastique et l’a empreint de nostalgie romantique : il reconstruit centimètre par centimètre pour nos yeux le câble d’acier qui symbolise toutes les ambitions des hommes tout en faisant un pont entre la technique de 2015 et le cinéma muet. En sortant de la salle, qui pourrait croire que les deux tours n’existent pas? Que ‘’the Walk’’ ait fait chez nous moins de cent mille entrées est une anomalie et une injustice. Dorénavant ce film existe, il survivra et Philippe Petit qui a maintenant 66 ans aura le bonheur de le voir diffuser par les télévisions du monde entier.

quelques scènes vertigineuses bien-sûr, mais au final pas sûr que la fiction soit aussi forte et folle que la réalité (j'aurais peut-être mis 3.5 en 3D au ciné ?). la vie des personnages -dont le héros- est survolée, pour se concentrer sur la traversée. du coup, cette dernière, point d'orgue du film, voit son intensité pas mal diluée au fil des minutes et nombreux allers-retours. j'aurais préféré plus court et plus concentré. dommage. en revanche, l'hommage sous-entendu (et au final assez discret) aux twin towers est réussi et donne une dimension poétique funèbre au film, à l'image de la dernière vue du film, carrément sublime.

Robert Zemeckis signe un biopic sur le funambule Français Philippe Petit et conte une aventure rocambolesque, passionnante et excellente dans la reconstitution d'époque, offrant un final face aux Twin Towers poétique, palpitant et visuellement vertigineux à en donner des frissons, où la mise en scène maitrisée est servie par une distribution de qualité et une belle performance de Joseph Gordon-Levitt. Une réussite bluffante !

Tiré d'une histoire vraie, The Walk parle d'un homme qui a accompli son rêve en faisant un acte extra-ordinaire.
Le casting est bon, même si JGL porte le film presque à lui seul. Un gros bémol sur le doublage Français qui a failli me faire arrêter le film à son début.
A voir sûrement en VOSTFR.
La réalisation est bonne, les images très belles, 1/2 étoile de moins pour le bémol au dessus.

The Walk est un magnifique film, j'ai passer un très bon moment devant ce biopic de Philippe Petit qui traversa la deux tours du World Trade Center sur un fil. Et l'interprétation des acteurs et superbe, film a revoir sans moderation et sans vertige.

à travers des films intemporels devenus cultes. Il a même parfois construit et alimenté des passions, posant les bases de la cinéphilie chez certains comme beaucoup de ses confrères dans les années 80. Se spécialisant dans un cinéma populaire de qualité, ils touchèrent beaucoup de monde au cœur, une chose importante pour Zemeckis qui décida de faire de la passion le centre de sa filmographie. Ces personnages sont souvent des passionnés en quête d’aventures et qui aspirent à des choses exceptionnelles dans des œuvres où la barrière entre le rêve et la réalité se brouille, où l’impossible devient possible. L’histoire de Philippe Petit est donc du pain bénit pour lui, étant totalement dans la thématique qu’il véhicule depuis des années, lui permettant, après l’intense drame Flight, de revenir à un cinéma plus personnel.

Un bon film écrit et réalisé par Robert Zemeckis. Un biopic sur le rêve du français Philippe Petit, célèbre pour avoir joint en 1974 les deux tours du World Trade Center sur un fil, suspendu au-dessus du vide. Tout au long du film on suit son parcours, l'avant et l'après, le passé et le futur, de l'Europe au États-Unis. Le reconstruction de l'époque et les trucages numériques sont réussies. La narration est agréable, le rythme est bon et la séquence attendue de la traversée finale est étonnante, avec une bonne tension. Joseph Gordon-Levitt livre une bonne prestation dans le rôle de Philippe Petit. Avec de bons seconds rôles : Ben Kingsley, Charlotte Le Bon, Clément Sibony, James Badge Dale, Ben Schwartz et Steve Valentin

Ce film de Robert Zemekis retrace l’exploit du funambule français Philippe Petit, qui comme le montre l'affiche, à relier les twin towers en marchant sur un cable. The Walk est aussi l’occasion pour le réalisateur d’une certaine façon de rendre hommage aux twin towers détruites lors des attentats du 11 septembre 2001. En effet, outre le personnage de Philippe Petit, ce sont bien les célèbres tours qui sont l'un des héros du film. Si le rendu de l’exploit en 3d du haut des tours est plutôt réussi puisqu’il arrive à donner le vertige, en revanche, je reproche un traitement très naif voire niais de ce biopic. Même l’exploit perd de son réalisme en voulant trop en faire. J’ai du mal à croire que cela ce soit réalisé exactement comme Zemeckis le montre.

J'ai regardé ce film sans réelle attente, .... Mais en quelques minutes, mon épouse et moi-même avons été captivés!
Est-ce l'histoire? Les personnages et acteurs ? Cette sensation du vide ahurissante ?
Peut-être tout ...!
Un film que je conseille avec grand plaisir à mon entourage, et personne n'a pour l'instant été déçu!

Il ne faut pas souffrir de vertige pour assister à la 2ème partie du film qui est à couper le souffle. Zemeckis filme avec maestria et en profite pour rendre à triple hommage évidemment à Philippe Petit dont il réalise le biopic mais aussi à New-York et à ses tours jumelles et aux films d'aventures et à une époque révolue du cinéma avec nostalgie et talent.

Quel ennui, mais quel ennui ! Zemeckis s'est très mal entouré, à commencer par son casting. En fait, il n'est peut-être tout simplement plus le Zemeckis que l'on a connu autrefois, ou bien était-ce dû à ce sujet qui ne méritait pas forcément un long-métrage, ou en tout cas pas décrit avec autant de lenteur et si peu d'intérêt. Gordon-Levitt ne se rend pas service et deviendra rapidement agaçant dans ce rôle. Et quant à l'adrénaline de cette expérience sensée être vertigineuse, elle ne durera qu'un très, mais alors très court instant. On arrive au bout avec difficulté face à l'un (si pas le) plus mauvais film, du pourtant talentueux, Robert Zemeckis.

Robert Zemeckis livre un incroyable exercice de funambule, entre l'équilibre et la chute. Mais à part une scène, LA scène du film, The Walk accumule les idioties, des acteurs au scénario en passant par une narration omniprésente agaçante. Le réalisateur a voulu prendre de la hauteur, mais il a très vite eu le vertige. Dommage. Pour en savoir plus, lisez notre critique complète sur :

Moi qui aime bien les biopic, ce film est une réussite, il n'est pas ennuyant et plutôt même immersif.
Un bon moment à passer sur votre canapé et attention au vertige ;)
4/5

Le 6 août 1974, le funambule Philippe Petit tendait un câble entre les deux tours du World Trade Center (alors en construction). Il effectuera huit fois la traversée à plus de 110 étages de hauteur.
The Walk retrace la vie de Philippe Petit jusqu'à cet exploit qui le rendit célèbre dans le monde entier. Le film qui dure deux heures semble interminable tant le scénario se perd dans les détails et multiplie les répétitions. Mais l'exploit, entre cambriolage et oeuvre d'art, est tellement impressionnant et beau que l'on reste scotché jusqu'au bout. Au vu de la beauté des plans en 2D, il semble évident qu'un visionnage en 3D doit être particulièrement impressionnant.

Alors qu'aux quatre coins de la planète, on fêtait en grande pompe l'anniversaire de "Retour vers le futur" et qu'on se préparait à l'arrivée programmée de Doc et Marty, leur géniteur, Robert Zemeckis, sortait lui en toute discrétion "The Walk, rêver plus haut", un biopic funambulesque marqué par une originalité qui fait la marque de fabrique de ce long-métrage. La première partie - commentée par le héros - et de facture assez classique, la deuxième - consacrée à l'exploit en lui même - offre des visions vertigineuses. Un divertissement de haut vol à découvrir ...