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Charles Arnaud
17 abonnés
18 critiques
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4,0
Publiée le 2 novembre 2015
En un mot ce film est vertiginant. On ressent clairement la sensation de vide et de vertige. Les images sont sublime et l'histoire haletante. J'avais peur qu'un film de 2 heures sur un funanbule soit long et bien ce n'est pas le cas. On rentre dans l'histoire et on est tenu par le suspens de chaque instant. Un beau film (pas un chef d'oeuvre non plus, restont objectif) à aller voir pour se divertir.
Je me suis rendu à cette séance ne sachant pas à quoi m attendre exactement , je suis sorti avec un grand sourire , très bon film , les effets spéciaux sont bluffant , les Tours n existent plus , et pourtant elles paraissent bien réels , c est bien joué , je me suis pas ennuyé une seconde . Je vous le conseil.
Gordon Levitt Charlotte Le Bon et Ben Kinsley excellents dans cette reconstitution impressionnante des Twin Towers et des aventures poétiques d'un funambule extraordinaire. Effets 3d bluffants.
The Walk – Rêver Plus Haut est un film à la hauteur de mes attentes car la narration est bien faite et bien menée !! Néanmoins, j'ai trouvé qu'il y a quelques longueurs et même si le film est tiré du histoire vrai, le scénario reste un peu vide !
Les images de la fin sont fabuleuses! hormis ça le film est très convenu, c'est un film pour les américains pas les français. La France est fantasmée, la réalisation est très kitsch limite lourde! Pourquoi pas laisser le film se dérouler au lieu de l'expliciter par un narrateur/rôle principale du haut de la statue de la liberté...
Assez atypique, The Walk raconte la rêve assez impressionnant et déroutant d'un homme, Philippe Petit, célèbre funambule Français, qu'il souhaite absolument réaliser: faire la traversée entre les deux tours du World Trade Center. L'histoire est assez bien tournée et la réalisation au top. Les effets spéciaux sont bien réussis, on a presque le vertige pendant le film! Même si ce type de film est assez particulier et peut paraître déroutant aux premiers abords, il vaut le détour surtout si vous cherchez quelque chose d'original!
Pas plus intéressé que cela au départ par ce film, j'ai été agréablement surpris. En effet il nous tient en haleine un peu plus de 2 heures sans souci, et pas sans émotion. Je me suis surpris à avoir les mains moites.. sans rire... Excellente progression en intensité via les épisodes précédents ( Notre dame), les petits job devant Beaubourg, etc..Les acteurs : Joseph Gordon-Levitt, Ben Kingsley, Charlotte Le Bon, sont attachants et l'accent n'y est pas pour rien. Ce film est un double hommage à la fois à l'homme fantastique Philippe Petit, un fou volant, mais aussi et surtout aux tours jumelles - à l'époque 1974 - elles y étaient et n'étaient pas encore inaugurées. J'ai été incroyablement touché par l'exploit et encore plus encore par le lieu mythique (même reconstitué) -Impressionnant !! **
Enthousiasmant ! Un mélange d'Ocean's Eleven et de poésie pure, des images époustouflantes, des sensations fortes... Philippe Petit et ses acolytes forment une équipe très attachante, dévoués au rêve de leur meneur. Comme lui, ils sont convaincus que l'art et une certaine dose de folie peuvent révéler une part de beauté dans ce monde absurde. L'émotion vient aussi de l'évocation des tours jumelles, véritables personnages du film, qui seront plus tard le théâtre d'une toute autre absurdité.
Si les dialogues sont sans très plats, la sensation de vertige, principalement due à une excellente utilisation de la 3D, est bien réelle. Vu en VO, j'ai été très déçu par l'anglais à accent français parlé par Joseph Gordon-Levitt et plus globalement, par sa prestation, sans éclat. Si l'on ne peut s'empêcher de ressentir le vide causé par la disparition des tours jumelles depuis le 11 septembre, la mise en scène ne s'attarde pas sur ce fait et sur ce qu'a pu éprouver Philippe Petit, 27 ans après son exploit. La beauté des images ne parvient pas à compenser les maladresses du réalisateur et la scène de la traversée ne représente qu'une demi-heure dans un film de 2h. Insuffisant pour capter l'attention et surtout bien trop tardif pour vraiment captiver !
Avec Robert Zemeckis, il n'y a jamais de (bonne ou mauvaise) surprise : le cinéaste ne vise qu'au divertissement (intelligent si possible) et à une dimension ludique. La traversée sur un fil entre les deux tours du World Trade Center de Philippe Petit, par son caractère libertaire, gratuit et cependant symbolique, au regard de sa future destruction terroriste, est un projet qui lui correspond pleinement : le droit de rêver plus haut, de repousser ses limites, de s'affranchir des règles de la société. Point de suspense dans The Walk mais une foultitude de détails sur la genèse de ce "geste" artistique. Avec aussi pas mal de clichés français et américains et des dialogues sans aucun relief. Qu'importe : on attend le grand spectacle en 3D : dingue, dangereux, défendu. L'on n'est pas déçu : sur le fil, le happening est vertigineux et euphorisant. Une trentaine de minutes au-dessus de toutes les contingences qui font oublier le caractère souvent pataud et démodé du film et le surjeu occasionnel de Joseph Gordon-Levitt.
Robert Zemeckis n’a vraiment pas choisi un sujet qui lui va bien car son film est raté. Pas un nanar ou une daube mais juste raté dans les grandes lignes ce qui est déjà pas mal ou plutôt beaucoup… Effectivement il parait qu’un documentaire sur le même sujet (« Le Funambule ») avait été fait et semblait beaucoup plus convaincant. Peut-être que le format cinéma ne sied guère à cette histoire complètement folle mais dont le moment vraiment intéressant et attendu se résume à cette fameuse traversée sur le fil tendu entre les deux tours du World Trade Center. Un moment certes impressionnant mais pas aussi dantesque qu’on ne le pensait. La 3D est bonne, quoiqu’un peu sombre, mais la sensation de vertige attendue n’est pas autant au rendez-vous qu’on ne l’aurait souhaité. Et cette traversée qui prend bien vingt minutes de film est vite lassante. Un morceau de bravoure peut-être trop mis en avant et qui se positionnait comme une cerise sur le gâteau. Au lieu de cela, on est plutôt en face d’une cerise confite sur une tarte à la crème et la métaphore prend tout son sens avec le domaine dans lequel évolue le funambule Philippe Petit. On savait le metteur en scène toujours à l’affut des nouvelles technologies de pointe qu’il a expérimenté durant des années, de la performance capture aux incrustations. Hormis le plutôt bon « Flight » qui ne s’embrassait d’aucune avancée technologique le réalisateur a peut-être oublié qu’il devait aussi diriger des acteurs dans ces films live. Ici, ils sont tous en roue libre et Joseph Gordon-Levitt, pourtant bon acteur ailleurs, livre une performance agaçante et totalement en surchauffe entourés d’acteurs peu ou pas dirigés. Et pourquoi ces scènes de coupes voyant l’acteur sur la Statue de la Liberté commenter tout le film. C’est moche, inutile voire grotesque et n’apporte strictement rien au long-métrage. Ne parlons pas des tentatives d’humour qui, au mieux, font sourire, au pire, désolent. Les débuts ktisch dans un Paris d’opérette et de nombreuses longueurs ne font que confirmer que « The Walk, rêver plus haut » est une fausse bonne idée de film et un surtout un mauvais film.
le film retrace le parcours de Philippe petit qui est au final est grand car il voyais les chose en grand respect faut en avoir dans le pantalon et sous la direction de Zemeckis c est que du plus beau spectacle.
Des tours du World Trade Center, quelle image retient-on? Celle de deux buildings à la hauteur presque indécente, symboles du capitalisme imposant sa silhouette sur la finance et la skyline de New York? Ou celle, plus tragique, de ces mêmes bâtiments en flammes le 11 Septembre 2001 peu avant leur effondrement? Il est très probable qu'à leur évocation, ces deux images traversent l'esprit de chacun. Qui se souviendra qu'en 1974, un funambule a tendu un fil entre ces deux tours pour le traverser? Oui, avant d'être la cible de l'attentat le plus marquant du nouveau millénaire, les Twin Towers ont été l'objet du "crime artistique du siècle". Après Le Funambule, documentaire oscarisé en 2009, la performance de Philippe Petit a droit à son film. Après Forrest Gump, Seul au Monde ou Flight, Robert Zemeckis continue son exploration de l'Amérique par le prisme d'un destin singulier qui va s'inscrire dans la mémoire collective. Philippe Petit, à l'instar des autres personnages de Zemeckis, est autant un marginal qu'une métaphore. Son rêve, aussi naïf soit-il, implique un courage qui force l'admiration mais aussi une mise à l'écart du monde extérieur. On peut également dénoter un certain égoïsme de Petit, qui va pousser tous ses acolytes à le suivre dans une aventure qui ne concerne que lui. Mais c'est pourtant par ce geste interdit que l'artiste va "humaniser" le symbole d'un système souvent pourfendu. Tel un biopic, Zemeckis suit Petit depuis l'enfance jusqu'à son coup d'éclat. Il prend son temps, installe la personnalité atypique de Petit, celle de ses compagnons. Puis on bascule vers les préparatifs de la fameuse traversée, qui évoque Mission: Impossible. Pendant 1h30, on est donc dans l'attente. Pas désagréable, même si les chemins empruntés sont connus. La petite pincée d'humour aide à la faire passer, et Zemeckis offre de petites mises en bouche visuelles en préparation du final. Puis vient ce qu'on attend tous. Et là, le réalisateur fait encore état d'une maîtrise incontestable. Sachant parfaitement tirer parti de la 3D, les 25 minutes de traversée sont extrêmement réussies. Pour peu qu'on soit sujet au vertige, ce moment sera aussi beau que terrifiant. Un hommage plutôt émouvant aux deux tours qui, tels des spectres, provoquent la mélancolie au moins autant que la frayeur. Sûrement l'une des utilisations les plus efficaces de cet outil. Le rythme est soutenu, mais il est dommage que la narration ne soit pas à la hauteur. Raconté en voix off, The Walk montre vite les limites du procédé en y recourant de manière excessive. La voix de Petit casse parfois de vrais moments de suspense et on en vient à douter de son utilité. Puis on échappe pas à certains clichés qui auraient pourtant pu être abordés de manière plus subtile (comme l'avait fait Flight, précédent long du cinéaste). Pour autant, ça n'entame pas le plaisir pris à suivre l'odyssée de Petit et de ses comparses (les comédiens étant très en forme). Le geste de Robert Zemeckis restera un clou de l'année Cinéma 2015. À défaut d'être -comme le geste de Philippe Petit- immortel.
Bonjour, c'est vraiment un beau film, la mise en place de la première heure est primordiale, le reste n'est que du bonheur et une bonne dose de pression que l'on ressent au travers des acteurs, merci