Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le résultat est vertigineux entraînant le spectateur à côté de Joseph Gordon-Levitt (éblouissant dans la peau de Philippe Petit) pendant 45 minutes de spectacle virtuose.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Pierre Audebert
"The walk" est le premier blockbuster qui ne combat pas la mort en la niant mais en marchant à ses côtés.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Metro
par Mehdi Omaïs
Rarement la 3D n'a eu autant de sens et d'efficacité. Bluffant et vertigineux.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Pierre Berthomieu
Médusé, le spectateur qui sait d'avance le destin victorieux de Philippe assiste à l'exploit du voltigeur entre les tours, frémit et sourit, se frotte les yeux des allers-retours du héros sur le fil.
VSD
par Olivier Bousquet
Longtemps, Robert Zemeckis a couru après l’idée d’une adéquation totale entre la technologie et l’histoire. Il lui aura fallu des années, et la rencontre avec ce sacré bonhomme vêtu de noir pour arriver à ses fins. Comment, après ça, ne pas croire aux miracles ?
aVoir-aLire.com
par Jean-Rémi Ducourtioux
(...) un film d’artisan aux multiples lectures, en opposition totale avec les blockbusters actuels sur le fond, tout en les surpassant sur la forme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Yal Sadat
Ici se joue l'idéal des plus beaux héros de Zemeckis : comme le cosmos utérin de "Contact", comme l'île de "Seul au monde", comme les prairies désertiques de "Forrest Gump", le fil est une utopie.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Personne ne pourra faire plus vibrant hommage au World Trade Center.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Closer
par La Rédaction
Impressionnant ! Si vous souffrez de vertige, accrochez vous !
L'Obs
par La Rédaction
Quel intérêt d’en tirer une fiction ? Le réalisateur de "Forrest Gump" a trouvé la réponse en faisant de "The Walk" un spectacle de saltimbanque, charmant et nostalgique. Un tour de prestidigitation, bluffant de virtuosité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Philippe Petit, funambule, entreprend en 1974 de traverser sur un fil l’espace qui sépare les deux Twin Towers de New York. Comment il prépare sa tentative, et comment il la mène à bout : c’est ce que raconte le film spectaculaire de Robert Zemeckis, où la profondeur, en 3D, donne pour le coup véritablement le vertige.
Le Parisien
par Alain Grasset
Il s'amuse à créer un faux suspense dont il est difficile de démêler le vrai du faux et réciproquement. Car ce que l'on attend avant tout, c'est la traversée périlleuse entre les tours, qui intervient dans la dernière demi-heure du film. C'est alors vertigineux à souhait, impressionnant en raison de la 3D et de prises de vues réelles.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Le résultat visuel est bluffant. La 3D affiche toute son efficacité.
Première
par Frédéric Foubert
On va voir "The Walk" comme on se rend à un spectacle forain, pour "expérimenter" le vertige du plus beau "crime artistique" jamais commis, pour voir enfin de nos propres yeux un exploit dont il n’existait pas jusqu’alors d’images mouvantes, pour cette promesse de cinéma total.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par Gwenola Trouillard
La 3D, époustouflante, permet au spectateur de ressentir le vertige procuré par ce défi héroïque et fou. L’effondrement des tours dans les attentats du 11 Septembre apporte une résonance funèbre à ce tableau final en apesanteur, à la fois poétique et haletant.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Le résultat est hybride, à la fois bancal et attachant, suffisamment loin des canons hollywoodiens du moment pour être salué, mais souvent plombé par une incapacité à laisser l'action parler pour elle-même.
Critikat.com
par Josué Morel
Derrière ces limites incontestables qui menacent de faire vaciller le film dans la série Z, "The Walk" brille par ailleurs d’une inventivité visuelle qui élève le récit vers des hauteurs insoupçonnées et parfois vertigineuses.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Malgré toutes ses imperfections, "The Walk" renouvelle ce vieux miracle du cinéma.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Présenté comme un conte, l'aventure de Philippe Petit trouve dans la seconde partie de ce film toute sa dimension poétique et libertaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Très pénible par endroits, le nouveau Zemeckis passionne pourtant dans sa façon de rejouer un exploit funambule sur le World Trade Center à la lumière de la destruction des tours.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Malgré des longueurs et un sous-texte convenu sur la force de la volonté, l'ensemble est ludique. Sa grande réussite : nous transmettre le frisson en reconstituant la traversée mythique grâce à des images vertigineuses et son art de la mise en scène.
Voici
par La rédaction
Le réalisateur de "Retour vers le futur" signe un film hybride (intimiste et à grand spectacle) qui nous laisse entre deux rives, nous aussi, suspendus et mitigés. Entre traitement kitsch, longueurs et beaux moments intenses.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
L’adaptation de la vie funambulesque de Philippe Petit par Zemeckis ne vaut que pour une dizaine de minutes.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Optant pour la fiction, confiant le rôle de Philippe Petit à l’acteur américain Joseph Gordon-Levitt, qui ne convainc guère, le réalisateur livre un récit ponctué d’apartés un peu cruches.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Au-delà du kitsch le plus désuet qui traverse la mise en scène et la narration (les dialogues sont sans relief et l’interprétation décevante), la seule bonne raison d’y aller est cette incroyable sensation de vertige en 3D Imax durant la dernière demi-heure. À vous de choisir… sur le fil !
Libération
par Didier Péron
Le style du film est globalement vieillot et les idées de mise en scène relèvent de la pure illustration. Il faut supporter Joseph Gordon-Levitt se forçant à parler anglais avec l’accent français - ainsi que sa perruque ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un récit poussif, que la spectaculaire scène de funanbulisme ne suffit pas à éveiller.
TF1 News
par Romain Le Vern
Dans son ensemble, le film, lui, n'échappe pas au cucuritanisme en racontant par le menu la possibilité du rêve et son accomplissement, tout en s'adressant à l'Amérique post-11 septembre désenchantée. Ce qu'il démontre au final, sur plus de deux heures, c'est que la fiction n'est pas aussi forte que la réalité.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Jérémie Couston
Robert Zemeckis enrobe ce "crime artistique" de chromos parigots, puis new-yorkais. Et l'illustre avec une 3D en gros sabots. Au lieu de se concentrer sur la beauté du geste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Le résultat est vertigineux entraînant le spectateur à côté de Joseph Gordon-Levitt (éblouissant dans la peau de Philippe Petit) pendant 45 minutes de spectacle virtuose.
Culturopoing.com
"The walk" est le premier blockbuster qui ne combat pas la mort en la niant mais en marchant à ses côtés.
Metro
Rarement la 3D n'a eu autant de sens et d'efficacité. Bluffant et vertigineux.
Positif
Médusé, le spectateur qui sait d'avance le destin victorieux de Philippe assiste à l'exploit du voltigeur entre les tours, frémit et sourit, se frotte les yeux des allers-retours du héros sur le fil.
VSD
Longtemps, Robert Zemeckis a couru après l’idée d’une adéquation totale entre la technologie et l’histoire. Il lui aura fallu des années, et la rencontre avec ce sacré bonhomme vêtu de noir pour arriver à ses fins. Comment, après ça, ne pas croire aux miracles ?
aVoir-aLire.com
(...) un film d’artisan aux multiples lectures, en opposition totale avec les blockbusters actuels sur le fond, tout en les surpassant sur la forme.
Chronic'art.com
Ici se joue l'idéal des plus beaux héros de Zemeckis : comme le cosmos utérin de "Contact", comme l'île de "Seul au monde", comme les prairies désertiques de "Forrest Gump", le fil est une utopie.
CinemaTeaser
Personne ne pourra faire plus vibrant hommage au World Trade Center.
Closer
Impressionnant ! Si vous souffrez de vertige, accrochez vous !
L'Obs
Quel intérêt d’en tirer une fiction ? Le réalisateur de "Forrest Gump" a trouvé la réponse en faisant de "The Walk" un spectacle de saltimbanque, charmant et nostalgique. Un tour de prestidigitation, bluffant de virtuosité.
Le Dauphiné Libéré
Philippe Petit, funambule, entreprend en 1974 de traverser sur un fil l’espace qui sépare les deux Twin Towers de New York. Comment il prépare sa tentative, et comment il la mène à bout : c’est ce que raconte le film spectaculaire de Robert Zemeckis, où la profondeur, en 3D, donne pour le coup véritablement le vertige.
Le Parisien
Il s'amuse à créer un faux suspense dont il est difficile de démêler le vrai du faux et réciproquement. Car ce que l'on attend avant tout, c'est la traversée périlleuse entre les tours, qui intervient dans la dernière demi-heure du film. C'est alors vertigineux à souhait, impressionnant en raison de la 3D et de prises de vues réelles.
Ouest France
Le résultat visuel est bluffant. La 3D affiche toute son efficacité.
Première
On va voir "The Walk" comme on se rend à un spectacle forain, pour "expérimenter" le vertige du plus beau "crime artistique" jamais commis, pour voir enfin de nos propres yeux un exploit dont il n’existait pas jusqu’alors d’images mouvantes, pour cette promesse de cinéma total.
Télé 2 semaines
La 3D, époustouflante, permet au spectateur de ressentir le vertige procuré par ce défi héroïque et fou. L’effondrement des tours dans les attentats du 11 Septembre apporte une résonance funèbre à ce tableau final en apesanteur, à la fois poétique et haletant.
Charlie Hebdo
Le résultat est hybride, à la fois bancal et attachant, suffisamment loin des canons hollywoodiens du moment pour être salué, mais souvent plombé par une incapacité à laisser l'action parler pour elle-même.
Critikat.com
Derrière ces limites incontestables qui menacent de faire vaciller le film dans la série Z, "The Walk" brille par ailleurs d’une inventivité visuelle qui élève le récit vers des hauteurs insoupçonnées et parfois vertigineuses.
Le Monde
Malgré toutes ses imperfections, "The Walk" renouvelle ce vieux miracle du cinéma.
Les Fiches du Cinéma
Présenté comme un conte, l'aventure de Philippe Petit trouve dans la seconde partie de ce film toute sa dimension poétique et libertaire.
Les Inrockuptibles
Très pénible par endroits, le nouveau Zemeckis passionne pourtant dans sa façon de rejouer un exploit funambule sur le World Trade Center à la lumière de la destruction des tours.
Télé 7 Jours
Malgré des longueurs et un sous-texte convenu sur la force de la volonté, l'ensemble est ludique. Sa grande réussite : nous transmettre le frisson en reconstituant la traversée mythique grâce à des images vertigineuses et son art de la mise en scène.
Voici
Le réalisateur de "Retour vers le futur" signe un film hybride (intimiste et à grand spectacle) qui nous laisse entre deux rives, nous aussi, suspendus et mitigés. Entre traitement kitsch, longueurs et beaux moments intenses.
Cahiers du Cinéma
L’adaptation de la vie funambulesque de Philippe Petit par Zemeckis ne vaut que pour une dizaine de minutes.
La Croix
Optant pour la fiction, confiant le rôle de Philippe Petit à l’acteur américain Joseph Gordon-Levitt, qui ne convainc guère, le réalisateur livre un récit ponctué d’apartés un peu cruches.
Le Journal du Dimanche
Au-delà du kitsch le plus désuet qui traverse la mise en scène et la narration (les dialogues sont sans relief et l’interprétation décevante), la seule bonne raison d’y aller est cette incroyable sensation de vertige en 3D Imax durant la dernière demi-heure. À vous de choisir… sur le fil !
Libération
Le style du film est globalement vieillot et les idées de mise en scène relèvent de la pure illustration. Il faut supporter Joseph Gordon-Levitt se forçant à parler anglais avec l’accent français - ainsi que sa perruque ridicule.
Studio Ciné Live
Un récit poussif, que la spectaculaire scène de funanbulisme ne suffit pas à éveiller.
TF1 News
Dans son ensemble, le film, lui, n'échappe pas au cucuritanisme en racontant par le menu la possibilité du rêve et son accomplissement, tout en s'adressant à l'Amérique post-11 septembre désenchantée. Ce qu'il démontre au final, sur plus de deux heures, c'est que la fiction n'est pas aussi forte que la réalité.
Télérama
Robert Zemeckis enrobe ce "crime artistique" de chromos parigots, puis new-yorkais. Et l'illustre avec une 3D en gros sabots. Au lieu de se concentrer sur la beauté du geste.