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Ykarpathakis157
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1,5
Publiée le 26 juillet 2021
Je suis en train d'apprendre quelque chose. Ce film aurait pu être l'un de ces films noirs tranquilles avec très peu de dialogues laissant simplement les plans raconter l'histoire. Au lieu de cela un réalisateur à deux balles a essayé d'être beaucoup trop intelligent. Il y a de mauvaises tentatives d'humour et dans un cas une chute insensible insérée à l'un des moments les plus émouvants du film. C'est West World, c'est Bladerunner, c'est I Robot le tout jeté dans un mixeur et soumis comme scenario a un professeur de l'école de cinéma. Bruce Willis a fait quelques films récemment où il apparaît pour environ trois courtes scènes souvent tournées dans un seul endroit et c'est l'un de ces films. Bienvenue à Hollywood ou tout le monde danscette histoire même le flic semble être un type artificiel et invincible...
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12 474 critiques
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0,5
Publiée le 4 avril 2019
Imaginez un lieu où il n'y aurait aucune loi, aucune règle, aucune consèquence! Bienvenue dans "Vice", un monde amèliorè, une rèalitè aux possibilitès infinies [...] Pas de scènario, un titre suffisait! Une intrigue ? Ce serait exagèrer tant on se croirait revenu dans un mauvais « Total Recall » avec une ville sur les rails et des souvenirs non-autorisès! Le tâcheron Brian A. Miller passe avec le même manque de talent et d'ambition d'une sèrie B mille fois vu à un nanar usè jusqu'à la corde : la carrière peint l'homme! Ça flingue de partout avec un nombre consèquent d'invraisemblances sur le personnage d'Ambyr Childers et des dialogues qui n'ont aucun sens! Thomas Jane semble sortir tout droit d'une sèrie TV des 90's ("Renegade") et les actrices sont maquillèes - dans ce futur improbable - comme des camions! En vilain de service, Bruce Willis est inexistant avec une voix française qui enfonce le clou! Et ce final à la Michael Mann (cf. "The Insider") fait plus sourire qu'autre chose! Dispensable sauf si vous voulez connaître le paradis utopiste où vous pourrez avoir ou faire tout ce que vous voulez...
Sur un sujet au fort potentiel évoquant l'univers de Philip K. Dick, « Vice » s'avère rapidement un énorme gadin dont on comprend aisément l'absence de sortie en salles. Lumières atroces, réalisation insigne et actrice principale désastreuse : alors que le film se voudrait trépidant, il s'avère terriblement ennuyeux et sans aucun intérêt, les espoirs initiaux disparaissant vite derrière le massacre visuel et scénaristique, où même la curiosité de voir Bruce Willis en méchant s'effondre devant l'ineptie de son personnage. Dommage, car dans des mains un tant soit peu expertes, voilà un projet qui aurait vraiment pu avoir de la gueule... Navrant.
J'étais surement le seul, mais j'avais bien aimé le léger mais divertissant "The Prince" le précédent film de Brian Miller, un réalisateur habitué aux série B par contre, j'ai eu beaucoup plus de mal avec "Vice" son nouveau film auquel, je n'ai pas spécialement accroché. Dans ce film, on retrouve un tout petit peu du film "Clones" avec une société qui permet aux gens de vivre des expériences nouvelles avec des habitants artificiels seulement, c'est un point absolument pas exploité ce qui est dommage, on se demande même pourquoi le film est catalogué en tant que film de Science-fiction. En fait, on a juste une double enquête avec d'un coté la fille "artificielle" qui cherche à savoir ce qui lui est arrivé et de l'autre le flic qui veut fermer cette société et qui cherche à faire la lumière sur l'incident qu'il y a au début du film. Bruce Willis à l'image de Nicolas Cage ou John Cusack fait aussi dans le DTV, mais dans une moindre mesure et plus comme prête-nom, car ici, il doit apparaître en tout et pour tout 10/15 minutes. Dans l'ensemble, il n'y a rien de bien passionnant ce n'est pas pour autant mauvais si on est pas difficile, mais ce n'est pas bon non plus.
À l'instar de Nicolas Cage, Robert De Niro ou Val Kilmer, l'ancienne gloire Bruce Willis continue de s'embourber dans les mini-productions à défaut de cartonner au box-office. Il rejoint ici le ténébreux mais déjà has-been Thomas Jane, la jeune et sexy Ambyr Childers (We Are What We Are) et le beau gosse Bryan Greenberg (Sexe entre amis) dans un thriller futuriste pompeux et sans imagination et se retrouve comme d'habitude coltiné au rôle du bad guy de l'ombre, en gros sur l'affiche mais ne possédant que dix minutes en tout et pour tout à l'écran... Le pitch présente donc une sorte de programme de réalité virtuelle nommée Vice où les clients vivent leurs fantasmes les plus fous auprès de véritables personnes, en réalité des clones qui sont reprogrammés après chaque fantaisie. Mais lorsque l'une d'entre eux se "réveille" et s'enfuie, la société va tout faire pour la récupérer avant un flic bourru et déterminé à fermer Vice. Empruntant donc beaucoup à Mondwest et même Ultimate Game, le long-métrage ne réinvente rien mais passe également à côté de son sujet en transformant son intrigue science-fictionnelle en une simple traque convenue et sans panache. Le réalisateur Brian A. Miller (Officer Down, The Outsider et The Prince, avec Bruce Willis d'ailleurs) a l'âme d'un gars à blockbuster, un réal' qui en veut et qui propose des idées dignes d'assurer face à de grosses pointures : séquences d'action dynamiques, cadrages plus ou moins réussis, réel soin apporté à l'ambiance... Mais cela ne suffit pas pour faire de ses films des œuvres mémorables, ses propres limites le rattrapant à chaque film. Son petit budget l'empêche forcément d'être un nouveau Michael Bay, aussi bien pour la prestation des acteurs en roue libre que pour les scènes explosives qui sont à peine plus impressionnantes que celles d'une série allemande. Quant au scénario, il traine en longueur et ne passionne plus au bout d'un gros quart d'heure en dépit de quelques idées intéressantes. On ne pourra ainsi pas trop blâmer l'initiative d'un metteur en scène auquel il ne manque finalement qu'une grosse équipe pour assurer et peut-être aussi un certain sens du rythme, son sixième film manquant de punch sur de trop nombreux passages. Saluons en revanche la musique signée par le groupe electro Hybrid, contre toute attente bigrement attractive. Quant à Bruce Willis, il commence sérieusement à être désolant à force d'enchaîner les rôles de méchants stoïques derrière son bureau, cachetonnant vulgairement pour arrondir ses fins de mois.
Avec un spitch identique à celui de la série West World, Vice n'est qu'une série B de bas étage qui ne sait pas exploiter le potentiel exceptionnel de leur postulat de départ.
En 1985 sortait “Westworld” un parc d’attractions où des adultes pouvaient vivre leurs rêves de se plonger dans l’univers du Far-West en se prenant pour des cowboys (ou tout autres habitants de cette époque) et ce au milieu de robots fournissant le contingent de figurant plus vrais que nature et ce jusqu’au jour où les choses prirent un tournant tragique. Ce film, sorti trente ans plus tard , nous plonge dans une situation identique, mais version Las Vegas. Fini les rêves de gamins qui se prenaient à jouer aux cowboys et aux indiens, place à des adultes avides de faire tout ce qu’ils veulent et en premier lieu tout ce qui est interdit : viol, meurtre, torture, braquage… et caetera. Bref un vrai lieu de perversion où les victimes sont des androïdes en partie humains. Et comme dans la gentille version des années 80, un problème va entraîner la révolte de ces derniers. Ne vous attendez pas à des conflits moraux ou des questionnements métaphysiques, le film n’est là que pour fournir son comptant d’action. Rapidement méchants et gentils sont identifiés et l’intrigue se lance sur les rails qui la mèneront tout droit à sa prévisible conclusion. C’est assez distrayant, mais trop industriellement manufacturé pour soulever plus qu’un intérêt des plus modestes. On voit Bruce Willis y jouer un méchant sans grand charisme qui même s’il se taille la part du lion sur l’affiche n’est finalement qu’un second rôle et on est amené à se dire qu’à 61 ans en dehors des séquelles de “G.I. Joe” et “Die Hard” (qui d’ailleurs sont assez médiocres), l’acteur américain est sur la pente descendante d’une carrière autrefois brillante. En somme, un film d’un intérêt limité, qui fait passer une heure quarante de façon pas trop désagréable, mais qui ne mérite pas vraiment qu’on s’y attarde si l’on peut trouver mieux.
Difficile d'apprécier un tel film lorsqu'on aime la série Real humans. Bien que l'idée de départ soit intéressante, le traitement est basique. Les personnages manque de carrure (Bruce Willis en méchant !)... ou trop stéréotypé (Thomas Jane). Je comprends que le film ne soit pas passé par la case Cinéma
Notre Grand Bruce Willis doit soit avoir une fuite à son chauffe eau et doit payer les réparations, soit avoir un agent atteint de mythomanie excessive compulsive. Car seul son agent à pu lui mentir en lui vendant ce scénario comme un film à faire. Le film est tellement mal écrit, que ce soit les dialogues ou l'histoire, qu'il en est impressionnant de voir une star dedans. Certes, il y a encore et toujours ce message de la critique de la société et de ses travers parce qu'on est dans un futur bien sinistre et de consommation à l'exces. Ici il est questions de vendre les vices de chacun dans une sorte de parc d'attraction factice ou tout le monde peut faire ce qu'il veut . C'est sur, le message n'est pas implicite. Vice est donc une enquète ou l'on suit un détective à la i.robot avec Will Smith, mal dans son époque. Bref, deja vu. Donc des nouveautés à l'horizon ? Aucune. Des surprises? le néant. Une mise en scène audacieuse ou originale? La meme que le premier épisode de Casimir soit une mise en scène classique et ennuyeuse. Vice est vraiment à éviter.
Pas terrible du tout ce film, voire même mauvais... c'est lent, mou et fade, il ne se passe rien... La carrière de Bruce Willis commence à ressembler à celle de Nicolas Cage... 1,5/5
Un centre de "loisirs" où il n'y a que des robots quasi humains pour assouvir tous ses fantasmes les plus violents, et dirigé par Bruce Willis en personne. Il est assez difficile de croire à cette histoire, même en science-fiction, les décors, les personnages et l'intrigue sont également assez lourds.
"Vice" est un mélange de pas mal de références du genre bien connues, dont par exemple "I, Robot". Donc côté scénario ce n'est pas la grande surprise mais ça se laisse regarder. Par contre, le personnage de Tedeschi est beaucoup trop caricatural, dans le genre anti-robot cynique mal peigné mal rasé, et ses dialogues sont risibles.
Est-ce le manque de moyen, le manque de charisme des acteurs, le manque de professionnalisme du réalisateur, le manque d'originalité du scénario (on dirait un sous sous Blade runner et autre The Island), le manque d'humilité des dialogues qui se veulent quasi philosophique avec envolée lyrique du "culture contre nature ?......... bref, on aura compris..... grosse daube....... "J'ai du mal à comprendre" nous averti l’héroïne au milieu du film....... ben nous aussi........
Au recoin d'une ville, tout est possible, tous vos fantasmes les plus obscurs, et pour y arriver défoulez-vous sur des robots qui perdent la mémoire le soir venu. Le seul hic, un robot va se souvenir de tout. Voici le speech du film, qui vous le comprendrez, ne donne pas du tout, mais pas du tout envie d'être vu. On se demande pourquoi Bruce Willis participe à ce projet. Nul et sans intérêt.
Bruce Willis réitère dans un pseudo film d anticipation de type "Wesworld like". Malheureusement le budget indigent ne permet à aucun moment de se sentir immergé dans un avenir proche. Le scénario qui semblait sur le papier intéressant s avére décevant. Quoiqu'il en soit la réalisation, le jeu d acteurs, dont celui de Bruce Willis achève le bilan catastrophique de ce film. Les thèmes déjà vus par ailleurs sont suffisamment mals traités pour avoir de la difficulté à saisir un sens ou un message à travers ce film ... film nul dont on ne retiendra sans doute seulement que Bruce Willis rime avec navet en ce moment