AlloCiné
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Après Julieta, c'est le deuxième film espagnol que j'ai regardé ce mois, ce film est génial et émouvant, j'ai pas mal pleuré dans le ciné .
Un film bien sympathique, plein de bons sentiments... mais qui en fait des tonnes pour vouloir absolument émouvoir et attendrir le spectateur! Dommage, cet excès de pathos finit par se retourner contre le film. Cependant, il reste le plaisir de revoir Penelope Cruz et Luis Tosar, c'est déjà pas mal à défaut de voir un grand film.
Julio Medem traite du Cancer d’une façon originale qui ne va ne pas plaire à tout le monde et c’est bien dommage tant la leçon de vie véhiculée par « Ma Ma » est belle et puissante.
Si le film appuie un peu trop sur le pathos, les passages surréalistes et symboliques, la lumière omniprésente et surtout l’incroyable Penélope Cruz ultra pétillante et convaincante sauvent le film.
L’actrice campe parfaitement le personnage et n’hésite pas à se montrer dénaturée par la maladie.
Le tout est filmé et découpé d’une façon originale avec des propositions singulières et bienvenues.
Si vous connaissez quelqu’un qui a le cancer, vous serez touché par la justesse de certains passages.
Mais surtout, comment ne pas être conquis par le sublime message de la transmission aux autres par le comportement puis par l’âme ?!
Si le film appuie un peu trop sur le pathos, les passages surréalistes et symboliques, la lumière omniprésente et surtout l’incroyable Penélope Cruz ultra pétillante et convaincante sauvent le film.
L’actrice campe parfaitement le personnage et n’hésite pas à se montrer dénaturée par la maladie.
Le tout est filmé et découpé d’une façon originale avec des propositions singulières et bienvenues.
Si vous connaissez quelqu’un qui a le cancer, vous serez touché par la justesse de certains passages.
Mais surtout, comment ne pas être conquis par le sublime message de la transmission aux autres par le comportement puis par l’âme ?!
ffred
Pas vu la bande-annonce, ni entendu parler de ce film mais Penelope Cruz Luis Tosar, c'était trop tentant. Je m'attendais, un peu bêtement, à un drame à la Almodovar de la grande époque. Il n'en est rien. Célébrer la vie à travers la maladie et la mort, en étant solaire et optimisme. Voilà ce qu'à sans doute voulu faire Julio Medem. Malheureusement, ce n'est pas spécialement réussi. On ne s'attache jamais vraiment aux personnages. Ce qui aurait pu être un vrai beau beau mélo se transforme rapidement en tire-larmes plein de pathos, invraisemblable et cousu de fil blanc. Heureusement, il y a le casting. Surtout les hommes et le trio Luis Tosar/Asier Etxeandia/Teo Planell. Ils sont tous les trois formidables. Je serai plus circonspect sur Penelope Cruz (pour la première fois aussi productrice). Elle dit que c'est son rôle le plus difficile, on veut bien la croire. Si elle est dans l'ensemble convaincante, elle en fait parfois aussi un peu trop. Au final, même si cela se laisse regarder (la larme à l'oeil), on passe tout de même à côté d'un bon film. Dommage.
Moi non plus je ne suis pas du tout fan de cette actrice et pourtant j'ai souhaité voir ce film car l'histoire m'intéressait, je suis allé le voir uniquement pour le scénario.
Et je dois dire que c'est un film très bouleversant et très juste.
C'est un film percutant et efficace qui m'a bouleversée énormément.
Que d'émotions et que de vérités !
Et je dois dire que c'est un film très bouleversant et très juste.
C'est un film percutant et efficace qui m'a bouleversée énormément.
Que d'émotions et que de vérités !
SebLefr3nch
Penélope Cruz fait déplacer les spectateurs dans les salles, c'est connu. Et ça faisait un moment qu'on ne l'avait pas vu dans un film espagnol. Alors autant y aller. Et bien quelle déception. Les sujets autour du cancer du sein et de la vision de la vie et de la mort sont assez intéressants mais malheureusement les histoires secondaires sont inintéressantes, les personnages sont peu palpitants, les acteurs sont mauvais comme leurs dialogues, et la réalisation, à part quelques moments de génie, laisse vraiment à désirer. Penélope Cruz n'est pas au sommet de son art. Elle est même agaçante. Dommage pour un film sur un sujet qui a tout pour plaire.
Je tiens à préciser que je n'aime pas bien l'actrice mais j'ai tenu à voir ce très beau film pour son histoire.
Malgré le côté très dramatique de ce qui nous est conté, j'ai adoré.
C'est vraiment bouleversant comme mélodrame.
Ce serait vraiment dommage de passer à côté.
En outre, la réalisation est très chic.
Malgré le côté très dramatique de ce qui nous est conté, j'ai adoré.
C'est vraiment bouleversant comme mélodrame.
Ce serait vraiment dommage de passer à côté.
En outre, la réalisation est très chic.
C'est un film vraiment remarquable.
Comment ne pas être touché par toute cette histoire ?
J'ai passé un excellent moment de cinéma car ce film est très juste, sobre, délicat et en particulier également remarquablement réalisé.
Comment ne pas être touché par toute cette histoire ?
J'ai passé un excellent moment de cinéma car ce film est très juste, sobre, délicat et en particulier également remarquablement réalisé.
dominique P.
Un joli film dramatique émouvant et triste.
Le sujet est dur mais la réalisation et l'interprétation sont très bien.
Le sujet est dur mais la réalisation et l'interprétation sont très bien.
traversay1
Au tournant du XXIe siècle, après 4 films, dont le sublime Les amants du cercle polaire, Julio Medem était considéré comme le meilleur cinéaste espagnol juste derrière Almodovar. Mais depuis, la carrière du cinéaste basque est devenue pour le moins chaotique jusqu'à son ridicule huis-clos érotique Habitacion en Roma. Ma Ma a pour ambition de lui redonner une crédibilité artistique et populaire avec l'aide de sa coproductrice Penélope Cruz. Si la deuxième est possible, la première hélas ne l'est pas. Ce huitième film de Julio Medem n'est pas loin d'être son plus mauvais alors qu'il contient pourtant quelques unes des constantes de son cinéma : mysticisme, permanence des hasards et des coïncidences, bienveillance envers ses personnages. Medem n'est pas un cinéaste réaliste et c'est assez gênant quand il s'agit de traiter d'un sujet comme le cancer. Penélope rayonne dans ce mélodrame outré qui n'est qu'amour et élan vital certes mais dont la grossièreté des effets est surlignée par un symbolisme pas du tout adapté en la circonstance. Quand on a tant aimé Vacas, Tierra et Les amants du cercle polaire, Ma Ma est une vraie désillusion vis à vis d'un réalisateur pourtant talentueux mais dont la sensibilité exacerbée conduit vers des impasses narratives et stylistiques.
BeatJunky
Sortez les mouchoirs ! Encore un film autour de la maladie et celui-ci sera loin d'être le meilleur ! Tout est fait pour nous tirer des larmes et nous toucher mais c'est tellement gros qu'on y croit pas une seconde! La jeune femme est toujours magnifique et semble avoir de la chance dans son extrême malheur: on ne la voit presque jamais souffrir ! et peu d'effets secondaires au traitement... Incroyable ! Tout est trop lisse, trop "facile" ... La mise en scène qui joue beaucoup sur les contrastes ne m'a pas non plus convaincu ni cette espèce de dimension fantastique et encore moins les personnages secondaires totalement fades même Luis Tosar qui pourtant en fait des tonnes !!! Non, rien à sauver dans ce trop joli film censé émouvoir mais qui m'aura laissé complètement insensible et indifférent...
Film à aller voir .
Ma mère est morte d'un cancer et ce film qui nous procure beaucoup d'émotions , nous fait nous poser beaucoup de questions sur la vie en général.
Très belle prestation de Pénélope Cruz.
Ma mère est morte d'un cancer et ce film qui nous procure beaucoup d'émotions , nous fait nous poser beaucoup de questions sur la vie en général.
Très belle prestation de Pénélope Cruz.
Penélope Cruz incarne une femme apprenant qu'elle est atteinte d'un cancer du sein. Le même jour, elle rencontre un homme dont la femme et la fille sont victimes d'un accident de voiture.
En accord avec son sujet, j'ai trouvé l'atmosphère du film extrêmement pesante. Les réactions que l'on peut avoir face à la maladie sont montrées de manières combative, avec une première partie décrivant le quotidien de quelqu'un affrontant un cancer et une seconde moitié plus surprenante, spoiler: illustrant la volonté de mener une grossesse lorsqu'on se sait condamné
. Je souligne le fait qu'au-delà de la maladie, entre son fils, son gynécologue, l'homme qu'elle rencontre et spoiler: même son ex-mari vers la fin
, la protagoniste se trouve au centre d'un entourage particulièrement bienveillant à tel point que cela paraisse exagéré par moments. Penélope Cruz est très investie dans le rôle. Il résulte de ce long-métrage un portrait de femme positif, mais il faut pouvoir supporter d'être confronté pendant presque 2 heures à un sujet particulièrement austère.
En accord avec son sujet, j'ai trouvé l'atmosphère du film extrêmement pesante. Les réactions que l'on peut avoir face à la maladie sont montrées de manières combative, avec une première partie décrivant le quotidien de quelqu'un affrontant un cancer et une seconde moitié plus surprenante, spoiler: illustrant la volonté de mener une grossesse lorsqu'on se sait condamné
. Je souligne le fait qu'au-delà de la maladie, entre son fils, son gynécologue, l'homme qu'elle rencontre et spoiler: même son ex-mari vers la fin
, la protagoniste se trouve au centre d'un entourage particulièrement bienveillant à tel point que cela paraisse exagéré par moments. Penélope Cruz est très investie dans le rôle. Il résulte de ce long-métrage un portrait de femme positif, mais il faut pouvoir supporter d'être confronté pendant presque 2 heures à un sujet particulièrement austère.
Entre deux étés déterminants pour Magda(lena) -
spoiler:
un cancer, une rupture, l'amour retrouvé, une grossesse miraculeuse....
Jamais un qualificatif aussi galvaudé que "solaire" aura été aussi opportun que pour louer la prestation de Penélope Cruz, dans ce cruel, tout autant que positif, "Ma Ma" ! L'horreur (et l'injustice) de la maladie mise(s) en scène de manière inhabituelle : ni détachement documentaire, ni pathos dégoulinant. "Vivir", seulement. Moments de vie. Jusqu'à la mort.... Notre sort commun.
Jamais un qualificatif aussi galvaudé que "solaire" aura été aussi opportun que pour louer la prestation de Penélope Cruz, dans ce cruel, tout autant que positif, "Ma Ma" ! L'horreur (et l'injustice) de la maladie mise(s) en scène de manière inhabituelle : ni détachement documentaire, ni pathos dégoulinant. "Vivir", seulement. Moments de vie. Jusqu'à la mort.... Notre sort commun.
tixou0
Hasard des sorties françaises, voilà le 2e mélo espagnol à l'affiche chez nous, en moins d'un mois - après "Julieta" de Pedro Almodóvar. Et c'est l'actrice almodovarienne Penélope Cruz qui porte ce "Ma Ma" (en "Magda").... Après le drame des non-dits en famille ("Julieta"), le drame de la maladie ("Ma Ma"). Mais là où on aurait pu porter le fer en permanence sur la crudité d'un mal implacable (un cancer du sein, qui se métastase en accéléré), le médecin de formation Julio Medem (dont je découvrais le travail, pour ma part) a choisi une toute autre voie, avec en contrepoint permanent de la douleur qui ronge l'héroïne, le fantasme, presque le fantastique, de son univers mental (remarquable montage) écartant les risques du « tire-larmes », gratuit., . Avec pertinence. Et beaucoup de poésie, voire d'humour et de décalage (cf. le personnage du gynéco/oncologue "Juliàn", alias Asier Etxeandia, qui a un vrai talent de chanteur de "charme"). Gageure réussie, que ce mélange des genres, au service d'un éblouissant portrait de femme - une "Mamà", viscéralement attachée à son petit garçon, "Dani(el)" (le prometteur Teo Planell, tout en grâce et spontanéité), dont la superbe féminité est meurtrie par un (grave) souci mammaire (jeu de mots du titre espagnol, heureusement gardé en France, "Ma Ma", en deux mots désignant le cancer du sein),
La critique professionnelle hexagonale, boboïsante, n'a pas aimé ce flamboyant mélodrame - quand elle sait s'esbaudir sur n'importe quelle daube "sociale" - le fait que le personnage d'"Arturo" (Luis Tosar) montre sans complexe sa foi catholique, je ne sais pas pourquoi, permet (peut-être ?) d'expliquer ce rejet épidermique pour un film au contraire très honorable....
La critique professionnelle hexagonale, boboïsante, n'a pas aimé ce flamboyant mélodrame - quand elle sait s'esbaudir sur n'importe quelle daube "sociale" - le fait que le personnage d'"Arturo" (Luis Tosar) montre sans complexe sa foi catholique, je ne sais pas pourquoi, permet (peut-être ?) d'expliquer ce rejet épidermique pour un film au contraire très honorable....
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