Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Culturopoing.com
par Justin Kwedi
Pénelope Cruz par sa silhouette charnelle et maternelle à la fois, par sa vulnérabilité mêlée de puissance, était évidemment le choix idéal et on s’étonne que la collaboration avec Medem arrive si tard tant elle est la plus pure incarnation de son idéal féminin.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Voici
par Lola Sciamma
Le mélo est un peu too much, mais le charme opère : les personnages sont touchants, et le côté allégorie frôlant le fantastique est totalement assumé.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Septième long métrage du réalisateur espagnol Julio Medem, “Ma ma” est le récit très inégal et peu réaliste d'un combat contre la maladie.
Télérama
par Frédéric Strauss
(...) Penélope Cruz en fait beaucoup pour livrer son message d'espoir et de solidarité : elle est belle, rayonnante, formidable ! De son côté, le réalisateur creuse l'idée d'un ordre secret des choses, d'une énergie mystérieuse qui nous rattache à la vie. Bref, ni l'un ni l'autre ne sont vraiment dans le réalisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Gala
par Camille Choteau
Le pitch avait tout pour plaire. Une jeune femme apprend qu’elle est enceinte alors qu’elle se bat contre un cancer du sein: tiraillée entre la vie et la mort. Julio Medem s’est laissé embourber dans le pathos.
La critique complète est disponible sur le site Gala
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
L’énergie solaire de Penélope Cruz ne suffit pas à sauver du désastre ce film qui traite trop lourdement du cancer et de la mort.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Les malheurs s’accumulent, donc, sur la tête de l’héroïne, dans un mélo que le réalisateur charge de tout le poids lacrymal possible. Heureusement, la vitalité de Penélope Cruz permet d’échapper à peu près au déluge…
Le Monde
par Noémie Luciani
C'est téméraire, et sans la présence rayonnante de Penélope Cruz, tout sourire en plein cancer, cela aurait bien pu n'être qu'un grand n'importe quoi.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Ce côté "too much" crée une ambiance à la limite du fantastique dans ce désir de jouer les contrastes à l'extrême, entre une lumière presque aveuglante et la noirceur de la situation. Qui finit par lassser et frôler l'indigestion.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Penélope Cruz est lumineuse, crédible et très touchante, mais ce mélo charge un peu beaucoup la barque et ne recule pas devant le pathos trémolo, ce qui dessert son sujet.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Vulgaire et racoleur, "Ma Ma" est un de ces mélos morbides à base de maladies incurables.
Metro
par Marilyne Letertre
Devant toutes ces invraisemblances, ces poncifs et un dénouement des plus absurdes, impossible d’être en empathie avec cette mama dont la situation et le tempérament de battante auraient pourtant dû inviter à la compassion et au respect. Raté. Dans les grandes largeurs.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Olivier de Bruyn
Le talent de Penélope Cruz (...) n'avait pas besoin de cette fiction tire-larmes croulant sous le pathos et une épuisante prétention formaliste.
TF1 News
par Romain Le Vern
Ceux qui ont porté au pinacle les précédents Julio Medem (L'écureuil rouge, par exemple) risquent d'être désarçonnés par ce mélodrame illuminé, lesté de symbolisme pataud, témoignant du mysticisme et du regard endurci de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Culturopoing.com
Pénelope Cruz par sa silhouette charnelle et maternelle à la fois, par sa vulnérabilité mêlée de puissance, était évidemment le choix idéal et on s’étonne que la collaboration avec Medem arrive si tard tant elle est la plus pure incarnation de son idéal féminin.
Voici
Le mélo est un peu too much, mais le charme opère : les personnages sont touchants, et le côté allégorie frôlant le fantastique est totalement assumé.
Les Fiches du Cinéma
Septième long métrage du réalisateur espagnol Julio Medem, “Ma ma” est le récit très inégal et peu réaliste d'un combat contre la maladie.
Télérama
(...) Penélope Cruz en fait beaucoup pour livrer son message d'espoir et de solidarité : elle est belle, rayonnante, formidable ! De son côté, le réalisateur creuse l'idée d'un ordre secret des choses, d'une énergie mystérieuse qui nous rattache à la vie. Bref, ni l'un ni l'autre ne sont vraiment dans le réalisme.
Gala
Le pitch avait tout pour plaire. Une jeune femme apprend qu’elle est enceinte alors qu’elle se bat contre un cancer du sein: tiraillée entre la vie et la mort. Julio Medem s’est laissé embourber dans le pathos.
La Croix
L’énergie solaire de Penélope Cruz ne suffit pas à sauver du désastre ce film qui traite trop lourdement du cancer et de la mort.
Le Dauphiné Libéré
Les malheurs s’accumulent, donc, sur la tête de l’héroïne, dans un mélo que le réalisateur charge de tout le poids lacrymal possible. Heureusement, la vitalité de Penélope Cruz permet d’échapper à peu près au déluge…
Le Monde
C'est téméraire, et sans la présence rayonnante de Penélope Cruz, tout sourire en plein cancer, cela aurait bien pu n'être qu'un grand n'importe quoi.
Studio Ciné Live
Ce côté "too much" crée une ambiance à la limite du fantastique dans ce désir de jouer les contrastes à l'extrême, entre une lumière presque aveuglante et la noirceur de la situation. Qui finit par lassser et frôler l'indigestion.
Télé 7 Jours
Penélope Cruz est lumineuse, crédible et très touchante, mais ce mélo charge un peu beaucoup la barque et ne recule pas devant le pathos trémolo, ce qui dessert son sujet.
Cahiers du Cinéma
Vulgaire et racoleur, "Ma Ma" est un de ces mélos morbides à base de maladies incurables.
Metro
Devant toutes ces invraisemblances, ces poncifs et un dénouement des plus absurdes, impossible d’être en empathie avec cette mama dont la situation et le tempérament de battante auraient pourtant dû inviter à la compassion et au respect. Raté. Dans les grandes largeurs.
Positif
Le talent de Penélope Cruz (...) n'avait pas besoin de cette fiction tire-larmes croulant sous le pathos et une épuisante prétention formaliste.
TF1 News
Ceux qui ont porté au pinacle les précédents Julio Medem (L'écureuil rouge, par exemple) risquent d'être désarçonnés par ce mélodrame illuminé, lesté de symbolisme pataud, témoignant du mysticisme et du regard endurci de son auteur.