Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Critikat.com
par Eva Markovits
Christian Petzold s’attaque avec finesse à un sujet des plus délicats : le retour à Berlin d’une déportée d’Auschwitz.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Vertigineuse évocation de l'Allemagne d'après-guerre et d'un pardon impossible.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Eithne O'Neill
Avec "Phoenix" [Christian Petzold] accomplit un nouveau coup de maître, d'autant plus magistral qu'il est l'un des très rares films allemands à montrer les conséquences immédiates de l'Holocauste.
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Voici
par La Rédaction
Un drame terrible et fort, troublant, avec deux acteurs magnifiques.
aVoir-aLire.com
par Claude Rieffel
Petzold reforme le couple de Barbara pour un "Vertigo" après Auschwitz en donnant le rôle moteur au personnage féminin. Brillant et mieux encore.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Femme Actuelle
par Isabelle Giordano
[Nina Hoss] se révèle très émouvante et convaincante dans ce rôle de femme à la recherche d’un amour perdu. Les doutes, la suspicion, les révélations brutales, la convoitise, la trahison : tous les ingrédients du drame amoureux prennent un sens fort dans le contexte singulier de l’après-guerre.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
La Croix
par Marie Soyeux
Épaulé par son actrice fétiche, Christian Petzold renoue avec son thème de prédilection – la lutte d’une femme pour sa renaissance – pour un résultat aussi sombre que troublant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un thriller glaçant, hitchcockien, où, à travers les mensonges, passe une recherche d’identité pour renaître après l’holocauste.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Au-delà de toute vraisemblance, il impressionne par la force et la singularité de son suspense, servi par des acteurs et une mise en scène au cordeau.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Sa mise en scène, claire et précise, utilise les outils de la reconstitution historique sans y attacher une importance excessive.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
Un mélodrame puissant, poignant, dérangeant, où il est question d'amour fou, d'identité perdue, de trahison, mais aussi quelque part d'espoir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Julien Gester
Petzold emprunte aussi et surtout à la Lettre d’une inconnue de Max Ophüls cette idée qui (...) se réincarne magnifiquement et sublime ainsi le canevas formolé: si Johnny ne saurait reconnaître Nelly au point d’essayer de lui réapprendre à être elle-même, c’est simplement là la façon la plus délicate et terrible trouvée par la fiction de nous clamer qu’il ne l’a jamais aimée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une mise en scène sobre et tendue dans un décor de désolation absolue.
Première
par Eric Vernay
Ses plans ultracomposés façonnent le cadre étouffant d'un poignant portrait de femme en quête d'horizon.
La critique complète est disponible sur le site Première
So Film
par Fernando Ganzo
Les Allemands traînent une histoire pleine de blessures mal cicatrisées. Le retour des Juifs après l'Holocauste en fait partie. Christian Petzold s'en empare et confirme tout le bien qu'on pensait de lui.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le réalisateur met en scène cette renaissance comme un récit surnaturel, à la manière de Jacques Tourneur, entre angoisse et mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Par contraste, c’est la dimension immatérielle (fantômes, obsession, hantise) du projet qu’on aimerait voir plus investie pour que le film continue à nous habiter au-delà de sa simple bonne tenue d’exécution.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
"Phoenix" s’inscrit dans le prolongement exact du "Mariage" de Maria Braun de Fassbinder, qui traitait presque sur le même ton de cette période de l’Allemagne, mais il n’en a ni l’ampleur, ni le glamour.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
Christian Petzold s’attaque avec finesse à un sujet des plus délicats : le retour à Berlin d’une déportée d’Auschwitz.
Les Fiches du Cinéma
Vertigineuse évocation de l'Allemagne d'après-guerre et d'un pardon impossible.
Positif
Avec "Phoenix" [Christian Petzold] accomplit un nouveau coup de maître, d'autant plus magistral qu'il est l'un des très rares films allemands à montrer les conséquences immédiates de l'Holocauste.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Voici
Un drame terrible et fort, troublant, avec deux acteurs magnifiques.
aVoir-aLire.com
Petzold reforme le couple de Barbara pour un "Vertigo" après Auschwitz en donnant le rôle moteur au personnage féminin. Brillant et mieux encore.
Femme Actuelle
[Nina Hoss] se révèle très émouvante et convaincante dans ce rôle de femme à la recherche d’un amour perdu. Les doutes, la suspicion, les révélations brutales, la convoitise, la trahison : tous les ingrédients du drame amoureux prennent un sens fort dans le contexte singulier de l’après-guerre.
La Croix
Épaulé par son actrice fétiche, Christian Petzold renoue avec son thème de prédilection – la lutte d’une femme pour sa renaissance – pour un résultat aussi sombre que troublant.
Le Dauphiné Libéré
Un thriller glaçant, hitchcockien, où, à travers les mensonges, passe une recherche d’identité pour renaître après l’holocauste.
Le Journal du Dimanche
Au-delà de toute vraisemblance, il impressionne par la force et la singularité de son suspense, servi par des acteurs et une mise en scène au cordeau.
Le Monde
Sa mise en scène, claire et précise, utilise les outils de la reconstitution historique sans y attacher une importance excessive.
Le Parisien
Un mélodrame puissant, poignant, dérangeant, où il est question d'amour fou, d'identité perdue, de trahison, mais aussi quelque part d'espoir.
Libération
Petzold emprunte aussi et surtout à la Lettre d’une inconnue de Max Ophüls cette idée qui (...) se réincarne magnifiquement et sublime ainsi le canevas formolé: si Johnny ne saurait reconnaître Nelly au point d’essayer de lui réapprendre à être elle-même, c’est simplement là la façon la plus délicate et terrible trouvée par la fiction de nous clamer qu’il ne l’a jamais aimée.
Ouest France
Une mise en scène sobre et tendue dans un décor de désolation absolue.
Première
Ses plans ultracomposés façonnent le cadre étouffant d'un poignant portrait de femme en quête d'horizon.
So Film
Les Allemands traînent une histoire pleine de blessures mal cicatrisées. Le retour des Juifs après l'Holocauste en fait partie. Christian Petzold s'en empare et confirme tout le bien qu'on pensait de lui.
Télérama
Le réalisateur met en scène cette renaissance comme un récit surnaturel, à la manière de Jacques Tourneur, entre angoisse et mélancolie.
Cahiers du Cinéma
Par contraste, c’est la dimension immatérielle (fantômes, obsession, hantise) du projet qu’on aimerait voir plus investie pour que le film continue à nous habiter au-delà de sa simple bonne tenue d’exécution.
Les Inrockuptibles
"Phoenix" s’inscrit dans le prolongement exact du "Mariage" de Maria Braun de Fassbinder, qui traitait presque sur le même ton de cette période de l’Allemagne, mais il n’en a ni l’ampleur, ni le glamour.