Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
37 critiques presse
Télérama
par Frédéric Strauss
Pour : Le cinéaste a posé sur ces personnages un regard sérieux : mouvements de caméra élaborés, décors sophistiqués. Le résultat est étonnant. (...) Ce monde sorti de nos rêves et de nos cauchemars est fragile et beau, comme une illusion.
20 Minutes
par Caroline Vié
Salma Hayek a payé de sa personne (...). L’actrice émeut dans son rôle de maman trop aimante et effraye quand elle tance son rejeton désobéissant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par La Rédaction
Un conte pour adultes avec Salma Hayek.
Ecran Large
par Chris Huby
Le réalisateur italien revient à Cannes avec un objet filmique assez rare, gothique et mégalo, proche du cinéma d’Alejandro Jodorowsky
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par Isabelle Giordano
L'atmosphère est étrange, elle peut déranger. A Cannes, où le film était présenté en sélection officielle, certains se sont lassés, pourtant beaucoup reconnaissent les prouesses et le talent du metteur en scène, capable d'inventer de toutes pièces un univers bien à lui.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Gala
par Marie Haynes
Après "Gomorra" et "Reality", Matteo Garrone revient sur le grand écran avec un nouveau film des plus étonnants. Dans "Tale of Tales", le réalisateur italien mène le merveilleux à l’horreur, le fantastique à la cruelle réalité. Une plongée déconcertante au cœur du conte noir.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Reste que l'oeuvre brille par sa photographie magnifique, transformant les décors réels en visions enchanteresses tout droit sorties d'une production Disney qui serait étonnamment ancrée dans la réalité.
L'Humanité
par Jean Roy
Quoi qu'on pense du film, on ne peut qu'admirer la magnificence des costumes ou la somptuosité des décors, en bref tout ce qui relève du travail de production. Cela va jusqu'à la musique d'Alexandre Desplat, un Français de plus à l'affiche.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le film de Matteo Garrone était aussi un défi sur le plan formel. L'exercice de style aurait facilement pu verser dans le nanar risible. Il n'en est rien. (...) Le conte est là, il est partout. Et il est bon.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On se délecte des rebondissements retors de ces trois intrigues enchâssées, ancrées dans un Moyen Age fantasmé, mais contemporaines. Visuellement éblouissante, même si elle a été controversée au dernier Festival de Cannes, voilà une pépite pleine de magie et de férocité.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Notons qu'il y a, à plusieurs reprises, matière à éclater franchement de rire. Que cette oeuvre n'ait pas reçu le prix de la mise en scène laisse dubitatif. Mias le film laisse rêveur, et pour longtemps. Ca compense.
Mad Movies
par Fausto Fasulo
POUR: Une proposition de fantasy qui a franchement de la gueule. Et un sacré coeur.
Première
par Gael Golhen
On a l'impression d'avoir loupé un truc, comme si notre attention était ailleurs pendant la projection, comme si on avait été envapé, absorbé par autre chose. L'effet Cannes ? A moins que finalement ce soit le sens de l'équilibriste et du saltimbanque.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Matteo Garrone change de registre et s'en donne à coeur joie, adaptant ces fables au plus près de leurs aspects horrifiques, n'hésitant pas à choisir une forme volontairement rugueuse, littérale, presque grossière. Le résultat est fort, bien que le film n'est guère enthousiasmé les festivaliers.
Voici
par La Rédaction
Si l'on aime se laisser porter par les récits d'aventures, ou emporter par l'imagination foisonnante des contes (ici le "Conte des Contes", de Giambatista Basile, datant du XVIème siècle), ce film du réalisateur de "Gomorra" est un plaisir des sens.
aVoir-aLire.com
par Guillaume Louradour
Un conte de fée immoral et attachant dans lequel il faut accepter de se perdre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La Rédaction
Baroque, la mise en scène du réalisateur de "Gomorra" et de "Reality" compose des tableaux d'une extrême beauté. Mais elle n'hésite pas non plus à se vautrer dans le gore. On aime ou on n'aime pas. En effet, la critique, au Festival de Cannes, où le film a été montré en compétition, a été plus que partagée.
CinemaTeaser
par Renan Cros
À défaut d'être subjugué ou même ému par le film, on se contente d'être séduit par son principe illustratif.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Filmsactu
par Romain Duvic
Avec sa photographie enchanteresse, ses intrigants protagonistes, son casting impliqué et sa bande originale subtile, il ne manquait pas grand chose à l'ambitieux Tale of Tales pour marquer les esprits...
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Dans un registre relevant de la fantasy, avec moult effets spéciaux, reines, rois, princesses, sorciers, monstres et autres ogres, le film de Garrone fait merveille.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Pascal Mérigeau
L'ensemble est inégal, à l'image d'une distribution où se remarque surtout Toby Jones, excellent dans le rôle du petit roi (...).
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Le réalisateur livre une oeuvre étrange, à mi-chemin entre le pur livre d'images (Salma Hayek dévorant un coeur à pleine dents ; Stacy Martin apparaissant en pleine forêt) et l'exercice de style inabouti.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Le réalisateur de "Gomorra" se risque au blockbuster féérique à effets spéciaux mâtiné de farce horrifique. Et touche à une certaine beauté dans sa surcharge.
Paris Match
par Yannick Vely
Un film baroque, inégal mais toujours surprenant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TF1 News
par Romain Le Vern
Il y a, d'un côté, l'intention assez excitante de créer un film-monstre paré de visions (Salma Hayek dévorant un cœur) ; et, de l'autre, le produit fini, ni assez troublant ni assez viscéral pour laisser une empreinte durable, comme les contes de Borowczyk et de Pasolini en leur temps.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
Alors qu’il aurait dû nous immerger dans cet ailleurs hors du monde et du temps il l’observe de très loin, petit illustrateur qui se contenterait de mettre en image des aventures sans jamais en traduire l'essence.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Eric Libiot
Si la mise en scène est irréprochable et l'univers esthétique ad hoc (costumes, décors), les (mini) intrigues manquent d'intérêt et s'épuisent dans la dentelle et le cheveu gras. L'écho à aujourd'hui est faible, si ce n'est pour piquer les travers humains - ambition, jalousie... -, ce qui ne révolutionne pas la pensée moderne.
La Voix du Nord
par Lucie Vidal
Les thèmes universels de ces contes ont frappé le réalisateur-scénariste par leur modernité. (...) Et pourtant, on ne vibre pas. On se contente d'observer de loin alors qu'on donnerait tout pour rentrer dans cet univers.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Mais pour que ce projet aille au bout de ses vénéneuses possibilités, il aurait fallu à Garrone plus que sa virtuosité tranquille : la passion des images folles, celle qui a possédé, à travers l'histoire du cinéma, Georges Méliès, Jan Scankmajer ou Terry Gilliam.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Julien Gester
Le film entretisse platement trois histoires entre heroic fantasy bas du front et motifs queer pour composer un écheveau esthétique et narratif archiclimatisé, comme détaché de tout, aux contours de produit manufacturé pensé pour l’export global, mais pour et par personne en particulier.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
CONTRE: Que c'est laborieux !
Ouest France
par La Rédaction
Il s'était révélé à Cannes il y a sept ans en donnant, avec "Gomorra", sa vision de la Mafia. Matteo Garrone a été moins en réussite avec "Reality". Il perd encore un peu de crédit avec ce récit certes original mais peu convaincant.
Positif
par Franck Garbarz
Il faut d'ailleurs saluer les images sous-marines puissamment oniriques de John C. Reilly affrontant l'incube ou l'atmosphère claustrophobe des grottes de montagne semblant se refermer sur la malheureuse princesse. D'où vient pourtant qu'on ne s'intéresse que d'un oeil distant à ces personnages qui tiennent souvent de la pantomime ?
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
"Tale of Tales" est assurément la croûte des croûtes de ce début d’été.
Critikat.com
par Théo Ribeton
Disons simplement qu’il est tout le contraire d’un conte, puisqu’il est lourd comme un bœuf, vise la fantaisie, mais ne déploie qu’une partouze médiévale pontifiante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Studio Ciné Live
par Fabrice Leclerc
Mais à trop citer Lynch, Jodorowsky, Greenaway ou Pasolini, le film devient un patchwork foutraque, long et trop éclaté pour être honnête, malgré les efforts de Salma Hayek et les apparitions furtives de Vincent Cassel. Au final, on est loin du conte.
Télérama
par Jacques Morice
Contre : Les épisodes s'enchaînent sans lien, de manière totalement gratuite. Que leur sens nous échappe, pourquoi pas, si, visuellement, la magie, la terreur, la beauté étaient au rendez-vous... Or, on a rarement vu un film à l'imaginaire aussi moche.
Télérama
Pour : Le cinéaste a posé sur ces personnages un regard sérieux : mouvements de caméra élaborés, décors sophistiqués. Le résultat est étonnant. (...) Ce monde sorti de nos rêves et de nos cauchemars est fragile et beau, comme une illusion.
20 Minutes
Salma Hayek a payé de sa personne (...). L’actrice émeut dans son rôle de maman trop aimante et effraye quand elle tance son rejeton désobéissant.
Closer
Un conte pour adultes avec Salma Hayek.
Ecran Large
Le réalisateur italien revient à Cannes avec un objet filmique assez rare, gothique et mégalo, proche du cinéma d’Alejandro Jodorowsky
Femme Actuelle
L'atmosphère est étrange, elle peut déranger. A Cannes, où le film était présenté en sélection officielle, certains se sont lassés, pourtant beaucoup reconnaissent les prouesses et le talent du metteur en scène, capable d'inventer de toutes pièces un univers bien à lui.
Gala
Après "Gomorra" et "Reality", Matteo Garrone revient sur le grand écran avec un nouveau film des plus étonnants. Dans "Tale of Tales", le réalisateur italien mène le merveilleux à l’horreur, le fantastique à la cruelle réalité. Une plongée déconcertante au cœur du conte noir.
L'Ecran Fantastique
Reste que l'oeuvre brille par sa photographie magnifique, transformant les décors réels en visions enchanteresses tout droit sorties d'une production Disney qui serait étonnamment ancrée dans la réalité.
L'Humanité
Quoi qu'on pense du film, on ne peut qu'admirer la magnificence des costumes ou la somptuosité des décors, en bref tout ce qui relève du travail de production. Cela va jusqu'à la musique d'Alexandre Desplat, un Français de plus à l'affiche.
La Croix
Le film de Matteo Garrone était aussi un défi sur le plan formel. L'exercice de style aurait facilement pu verser dans le nanar risible. Il n'en est rien. (...) Le conte est là, il est partout. Et il est bon.
Le Journal du Dimanche
On se délecte des rebondissements retors de ces trois intrigues enchâssées, ancrées dans un Moyen Age fantasmé, mais contemporaines. Visuellement éblouissante, même si elle a été controversée au dernier Festival de Cannes, voilà une pépite pleine de magie et de férocité.
Le Parisien
Notons qu'il y a, à plusieurs reprises, matière à éclater franchement de rire. Que cette oeuvre n'ait pas reçu le prix de la mise en scène laisse dubitatif. Mias le film laisse rêveur, et pour longtemps. Ca compense.
Mad Movies
POUR: Une proposition de fantasy qui a franchement de la gueule. Et un sacré coeur.
Première
On a l'impression d'avoir loupé un truc, comme si notre attention était ailleurs pendant la projection, comme si on avait été envapé, absorbé par autre chose. L'effet Cannes ? A moins que finalement ce soit le sens de l'équilibriste et du saltimbanque.
Sud Ouest
Matteo Garrone change de registre et s'en donne à coeur joie, adaptant ces fables au plus près de leurs aspects horrifiques, n'hésitant pas à choisir une forme volontairement rugueuse, littérale, presque grossière. Le résultat est fort, bien que le film n'est guère enthousiasmé les festivaliers.
Voici
Si l'on aime se laisser porter par les récits d'aventures, ou emporter par l'imagination foisonnante des contes (ici le "Conte des Contes", de Giambatista Basile, datant du XVIème siècle), ce film du réalisateur de "Gomorra" est un plaisir des sens.
aVoir-aLire.com
Un conte de fée immoral et attachant dans lequel il faut accepter de se perdre.
CNews
Baroque, la mise en scène du réalisateur de "Gomorra" et de "Reality" compose des tableaux d'une extrême beauté. Mais elle n'hésite pas non plus à se vautrer dans le gore. On aime ou on n'aime pas. En effet, la critique, au Festival de Cannes, où le film a été montré en compétition, a été plus que partagée.
CinemaTeaser
À défaut d'être subjugué ou même ému par le film, on se contente d'être séduit par son principe illustratif.
Filmsactu
Avec sa photographie enchanteresse, ses intrigants protagonistes, son casting impliqué et sa bande originale subtile, il ne manquait pas grand chose à l'ambitieux Tale of Tales pour marquer les esprits...
Franceinfo Culture
Dans un registre relevant de la fantasy, avec moult effets spéciaux, reines, rois, princesses, sorciers, monstres et autres ogres, le film de Garrone fait merveille.
L'Obs
L'ensemble est inégal, à l'image d'une distribution où se remarque surtout Toby Jones, excellent dans le rôle du petit roi (...).
Les Fiches du Cinéma
Le réalisateur livre une oeuvre étrange, à mi-chemin entre le pur livre d'images (Salma Hayek dévorant un coeur à pleine dents ; Stacy Martin apparaissant en pleine forêt) et l'exercice de style inabouti.
Les Inrockuptibles
Le réalisateur de "Gomorra" se risque au blockbuster féérique à effets spéciaux mâtiné de farce horrifique. Et touche à une certaine beauté dans sa surcharge.
Paris Match
Un film baroque, inégal mais toujours surprenant.
TF1 News
Il y a, d'un côté, l'intention assez excitante de créer un film-monstre paré de visions (Salma Hayek dévorant un cœur) ; et, de l'autre, le produit fini, ni assez troublant ni assez viscéral pour laisser une empreinte durable, comme les contes de Borowczyk et de Pasolini en leur temps.
Culturopoing.com
Alors qu’il aurait dû nous immerger dans cet ailleurs hors du monde et du temps il l’observe de très loin, petit illustrateur qui se contenterait de mettre en image des aventures sans jamais en traduire l'essence.
L'Express
Si la mise en scène est irréprochable et l'univers esthétique ad hoc (costumes, décors), les (mini) intrigues manquent d'intérêt et s'épuisent dans la dentelle et le cheveu gras. L'écho à aujourd'hui est faible, si ce n'est pour piquer les travers humains - ambition, jalousie... -, ce qui ne révolutionne pas la pensée moderne.
La Voix du Nord
Les thèmes universels de ces contes ont frappé le réalisateur-scénariste par leur modernité. (...) Et pourtant, on ne vibre pas. On se contente d'observer de loin alors qu'on donnerait tout pour rentrer dans cet univers.
Le Monde
Mais pour que ce projet aille au bout de ses vénéneuses possibilités, il aurait fallu à Garrone plus que sa virtuosité tranquille : la passion des images folles, celle qui a possédé, à travers l'histoire du cinéma, Georges Méliès, Jan Scankmajer ou Terry Gilliam.
Libération
Le film entretisse platement trois histoires entre heroic fantasy bas du front et motifs queer pour composer un écheveau esthétique et narratif archiclimatisé, comme détaché de tout, aux contours de produit manufacturé pensé pour l’export global, mais pour et par personne en particulier.
Mad Movies
CONTRE: Que c'est laborieux !
Ouest France
Il s'était révélé à Cannes il y a sept ans en donnant, avec "Gomorra", sa vision de la Mafia. Matteo Garrone a été moins en réussite avec "Reality". Il perd encore un peu de crédit avec ce récit certes original mais peu convaincant.
Positif
Il faut d'ailleurs saluer les images sous-marines puissamment oniriques de John C. Reilly affrontant l'incube ou l'atmosphère claustrophobe des grottes de montagne semblant se refermer sur la malheureuse princesse. D'où vient pourtant qu'on ne s'intéresse que d'un oeil distant à ces personnages qui tiennent souvent de la pantomime ?
Cahiers du Cinéma
"Tale of Tales" est assurément la croûte des croûtes de ce début d’été.
Critikat.com
Disons simplement qu’il est tout le contraire d’un conte, puisqu’il est lourd comme un bœuf, vise la fantaisie, mais ne déploie qu’une partouze médiévale pontifiante.
Studio Ciné Live
Mais à trop citer Lynch, Jodorowsky, Greenaway ou Pasolini, le film devient un patchwork foutraque, long et trop éclaté pour être honnête, malgré les efforts de Salma Hayek et les apparitions furtives de Vincent Cassel. Au final, on est loin du conte.
Télérama
Contre : Les épisodes s'enchaînent sans lien, de manière totalement gratuite. Que leur sens nous échappe, pourquoi pas, si, visuellement, la magie, la terreur, la beauté étaient au rendez-vous... Or, on a rarement vu un film à l'imaginaire aussi moche.