Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Soutenue par une belle partition de James Masson, cette traque laisse à bout de souffle. La prestation de ce gamin (...) est absolument remarquable dans ce qu'elle communique d'horreur pure.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Christophe Seguin et Olivier Rossignot
"White Shadow" délivre son propre ensorcellement, en dépit de la terreur qui le hante.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Libération
par Clément Ghys
Noaz Deshe signe une œuvre touffue, ardue, impressionnante, parfois déconcertante, à la frontière entre cinéma et art contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Libération
So Film
par Louis Blanchot
Symphonie sombre et grouillante, "White Shadow" filme la persécution occulte des albinos tanzaniens comme un vrai survival. Un film (et un tournage) dont personne ne ressort indemne.
Critikat.com
par Adrien Dénouette
Quelques minutes suffisent à entrevoir dans le tohu-bohu d’images parkinsoniennes qui ouvre cette fuite contre la mort, un peu plus qu’une pose de modeux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par La Rédaction
Le réalisateur, nourri par le cinéma de Werner Herzog, consacre ce film, hanté et fiévreux, à la question du sort funeste réservé aux albinos dans certains pays d'Afrique.
Le Monde
par Isabelle Régnier
"White Shadow" déboule en France comme une météorite, une forme bouillonnante, éclatée par la puissance du cri cauchemardesque qui l’a fait naître, tendu à bloc par l’urgence de son propos et l’économie dans laquelle il a été produit.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Il se démarque d'eux en prenant contact avec cette réalité par le biais d'un cinéma halluciné, comme possédé par le démon.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Eric Vernay
Noaz Deshe dénonce cette pratique barbare dans un sidérant survival vaudou à mi-chemin entre l'univers de Terrence Malick et "Predator", à travers les yeux rêveurs d'Alias.
TF1 News
par Romain Le Vern
Noaz Deshe signe un film de bruit et de fureur sur la traque à l'albinos en Tanzanie qui traduit, parfois à la limite de l'afféterie, avec des éclairs poétiques, des mouvements de caméra sorciers, des oxymores, comment un enfant ostracisé s'extraie d'un réel insoutenable par l'imaginaire.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
aVoir-aLire.com
par Marc Qaglieri
(…) un thriller anxiogène haletant de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
Noaz Deshe (...) raconte cette histoire avec force et pugnacité. (...) C'est du cinéma à l'opposé de "Timbuktu" (c'est plus fièvreux, plus radical), mais avec le même sentiment d'urgence: l'Afrique est un continent tragique.
Positif
par Eithne O'Neill
Des scènes et flash-back soulignent une violence extrême et la rage vengeresse chez la victime potentielle, en fuite constante. Toutefois, on est en dehors de ce jeune protagoniste, il nous reste étranger, le résultat est la confusion.
Télérama
par Mathilde Blottière
Pour traiter ce sujet brûlant, Noaz Deshe opte pour une esthétique stylisée, souvent déroutante, parfois irritante : caméra très mobile, effets visuels et sonores. Peu à peu, pourtant, s'esquisse le portrait d'une Afrique de cauchemar, où la superstition, l'ignorance et la peur mènent au lynchage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
L’impatience du regard comme l’esbroufe de l’auteur sont d’autant plus regrettables que la caméra était bien en Tanzanie, elle, filmant une batterie de non-professionnels. Et que le désir de cinéma de ces jeunes est à lui seul plus vif que tout ce que le film veut nous asséner entre deux effets de manche.
20 Minutes
Soutenue par une belle partition de James Masson, cette traque laisse à bout de souffle. La prestation de ce gamin (...) est absolument remarquable dans ce qu'elle communique d'horreur pure.
Culturopoing.com
"White Shadow" délivre son propre ensorcellement, en dépit de la terreur qui le hante.
Libération
Noaz Deshe signe une œuvre touffue, ardue, impressionnante, parfois déconcertante, à la frontière entre cinéma et art contemporain.
So Film
Symphonie sombre et grouillante, "White Shadow" filme la persécution occulte des albinos tanzaniens comme un vrai survival. Un film (et un tournage) dont personne ne ressort indemne.
Critikat.com
Quelques minutes suffisent à entrevoir dans le tohu-bohu d’images parkinsoniennes qui ouvre cette fuite contre la mort, un peu plus qu’une pose de modeux.
La Croix
Le réalisateur, nourri par le cinéma de Werner Herzog, consacre ce film, hanté et fiévreux, à la question du sort funeste réservé aux albinos dans certains pays d'Afrique.
Le Monde
"White Shadow" déboule en France comme une météorite, une forme bouillonnante, éclatée par la puissance du cri cauchemardesque qui l’a fait naître, tendu à bloc par l’urgence de son propos et l’économie dans laquelle il a été produit.
Les Inrockuptibles
Il se démarque d'eux en prenant contact avec cette réalité par le biais d'un cinéma halluciné, comme possédé par le démon.
Première
Noaz Deshe dénonce cette pratique barbare dans un sidérant survival vaudou à mi-chemin entre l'univers de Terrence Malick et "Predator", à travers les yeux rêveurs d'Alias.
TF1 News
Noaz Deshe signe un film de bruit et de fureur sur la traque à l'albinos en Tanzanie qui traduit, parfois à la limite de l'afféterie, avec des éclairs poétiques, des mouvements de caméra sorciers, des oxymores, comment un enfant ostracisé s'extraie d'un réel insoutenable par l'imaginaire.
aVoir-aLire.com
(…) un thriller anxiogène haletant de bout en bout.
L'Obs
Noaz Deshe (...) raconte cette histoire avec force et pugnacité. (...) C'est du cinéma à l'opposé de "Timbuktu" (c'est plus fièvreux, plus radical), mais avec le même sentiment d'urgence: l'Afrique est un continent tragique.
Positif
Des scènes et flash-back soulignent une violence extrême et la rage vengeresse chez la victime potentielle, en fuite constante. Toutefois, on est en dehors de ce jeune protagoniste, il nous reste étranger, le résultat est la confusion.
Télérama
Pour traiter ce sujet brûlant, Noaz Deshe opte pour une esthétique stylisée, souvent déroutante, parfois irritante : caméra très mobile, effets visuels et sonores. Peu à peu, pourtant, s'esquisse le portrait d'une Afrique de cauchemar, où la superstition, l'ignorance et la peur mènent au lynchage.
Cahiers du Cinéma
L’impatience du regard comme l’esbroufe de l’auteur sont d’autant plus regrettables que la caméra était bien en Tanzanie, elle, filmant une batterie de non-professionnels. Et que le désir de cinéma de ces jeunes est à lui seul plus vif que tout ce que le film veut nous asséner entre deux effets de manche.