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Votre avis sur Vincent n'a pas d'écailles ?
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Un film de super-héros à la française. Exit les costumes moulant et les grandes causes universelles, (super)Vincent est encore plus fort à poil (il n'a pas d'écailles), comme un poisson dans l'eau, et c'est pour défendre son copain et sa copine qu'il se risque à se servir de ses super-pouvoirs! Belle course-poursuite avec la police locale… Sans doute pas le chef-d'oeuvre de l'année mais une surprise bien agréable de la part du cinéma français indépendant.
Je reconnais qu'il faut mouiller sa chemise pour créer un film pareil. Très belles images mais les dialogues sont un peu secs.
J'attends tout de même avec impatience la sortie de "Vincent n'a pas de plumes". Ça risque de décoiffer !
J'attends tout de même avec impatience la sortie de "Vincent n'a pas de plumes". Ça risque de décoiffer !
Long à démarrer, mais compenser par les beaux paysages...puis après ça devient surnaturel ( à petit budcet) et palpitant !
Des courses poursuites jamais vues et dignes de ce nom.
Magique :-D
Des courses poursuites jamais vues et dignes de ce nom.
Magique :-D
Un film sans dialogue, sans bande-son, de longues séquences contemplatives, un scénario ... euh ben je l'ai pas trouvé... Première fois que je regarde la montre au cinéma...
Un film qui se laisse voir , même si le scénario est limité et les dialogues plus que limité . Mais il en ressort de la tendresse, de la poésie , grâce à ce héros malgré lui, qui vit d'amour et d'eau fraîche et d'injustice.
c'est pour moi un très mauvais film, je me suis ennuyée pendant 1h18. L'idée était pourtant séduisante, mais pour faire un long métrage il faut un scénario....c'est plat, il ne se passe rien d'intéressant. Il n'y a pas de fond, pas de sens. On ne comprend pas les relations entre les personnages car au long du film il ne se passe rien entre eux, ils se parlent à peine. Faut juste aimer regarder quelqu'un qui nage...Je ne comprends pas les critiques élogieuses pour ce film. Je ne m'attendais pas à un chef d'œuvre, mais au moins un peu de poésie, de fantaisie, mais non, je ne suis pas souvent si sévère, mais c'est vraiment très très mauvais.
Vincent n’a pas d’écailles, mais c’est pas loin d’être le cas. Au contact de l’eau, sa force et ses réflexes se décuplent ; il court vite, nage encore plus vite, saute comme une sauterelle, porte des poids énormes… un super héros… mais à la française. Taiseux, discret et au physique anodin ; il débarque dans une région faite de lacs et de rivières pour y vivre en toute quiétude sans se faire remarquer. Aucune envie chez lui de sauver la veuve et l’orphelin, juste rechercher la tranquillité.
Le film est moins farfelu qu’il n’y paraît à l’énoncé du pitch. C’est un film simple, modeste, malicieux et juste un peu fantastique ; une fable en sorte. La rencontre amoureuse de Vincent et de Lucie (très belle composition hyper expressive de Vimala Pons) ainsi que toutes les scènes où elle appréhende les super pouvoirs de son amoureux sont de petits bijoux d’émotions, de drôlerie, de réalisation et de montage. Car ce film est porté par une mise en scène talentueuse, les dialogues sont quasi absents du film, c’est presque un film muet. De même pour la musique, pas de renfort musicaux sur les scènes de poursuite. Thomas Salvador fait confiance à ses talents de metteur en scène pour épurer autant son film ; et son pari est gagnant. Il en est de même pour les scènes d’action de super héros, pas d’effets spéciaux ; juste de la post production pour camoufler les élastiques, trampolines, etc. Très petit budget oblige à l’imagination. Issu du monde du court métrage, on peut juste lui reprocher d’avoir un peu étiré son propos pour parvenir à faire son premier long (1h15 tout mouillé de chaud). Le scénario est en effet un peu court même si truffer de pleins de bonnes idées et de bonnes intentions. Un jeune réalisateur à suivre sur son prochain film ; très prometteur.
Le film est moins farfelu qu’il n’y paraît à l’énoncé du pitch. C’est un film simple, modeste, malicieux et juste un peu fantastique ; une fable en sorte. La rencontre amoureuse de Vincent et de Lucie (très belle composition hyper expressive de Vimala Pons) ainsi que toutes les scènes où elle appréhende les super pouvoirs de son amoureux sont de petits bijoux d’émotions, de drôlerie, de réalisation et de montage. Car ce film est porté par une mise en scène talentueuse, les dialogues sont quasi absents du film, c’est presque un film muet. De même pour la musique, pas de renfort musicaux sur les scènes de poursuite. Thomas Salvador fait confiance à ses talents de metteur en scène pour épurer autant son film ; et son pari est gagnant. Il en est de même pour les scènes d’action de super héros, pas d’effets spéciaux ; juste de la post production pour camoufler les élastiques, trampolines, etc. Très petit budget oblige à l’imagination. Issu du monde du court métrage, on peut juste lui reprocher d’avoir un peu étiré son propos pour parvenir à faire son premier long (1h15 tout mouillé de chaud). Le scénario est en effet un peu court même si truffer de pleins de bonnes idées et de bonnes intentions. Un jeune réalisateur à suivre sur son prochain film ; très prometteur.
Merci pour ce film qui offre au spectateur de ressentir des émotions, des sensations, simples mais très profondes. Le travail sur le son, le rythme et le montage tout en ellipses permettent d'aller au cœur des situations, sans qu'il y ait besoin de trop de paroles, de trop d'explications. Un film tout en nuances et surprises, et auquel on se surprend à penser longtemps après l'avoir vu!
Surprenant, Thomas Salvador nous livre donc ce que je qualifierais de "film de super-héros low-cost", avec un super-pouvoir plutôt original et bienvenu. Mais passé la première partie du film, après sa belle rencontre et les quelques belles scènes appelées à devenir cultes, à savoir celles de la piscine et de la bétonnière, on se lasse... Les raisons ? Elles crèvent les yeux. Premièrement, et j'insiste, le héros est totalement insipide ! Aucun charisme, totalement laid, et muet pour le coup ! C'est clairement pour moi la faille de l'oeuvre, au contraire de sa charmante compagne qui remet un peu de baume au cœur... L'absence de dialogue, de musique fait que l'on a la désagréable impression d'assister à un objet non identifié complètement neutre... La deuxième partie, qui concerne son évasion et cette fameuse course-poursuite, est totalement inintéressante, décrédibilise les personnages et pour le coup également les gendarmes, totalement pris pour des imbéciles. Alors bien sûr, c'est un humour bien choisi. Je salue donc l'idée mais n'en fait pas tout une montagne.
Ce court film est une petite étrangeté qui repose sur un scénario minimaliste. A partir de cette simple idée de départ Salvador a su malgré tout intéresser le spectateur grâce accessoirement à de beaux décors naturels, des seconds rôles convaincants mais surtout une certaine simplicité, une fluidité dans la réalisation qui entraîne tout doucement le spectateur dans cette sympathique fable. Une curiosité qui ne contentera pas tout le monde.
Que dire de ce Film ? quel est le but du réalisateur acteur ? était il fan de l Homme de l ' Atlantide ????Mystère , le début est très long il y a quelques belles images et le bruit du vent , de l'eau faisant penser au Magnifique L'inconnu du Lac, sauf que là , il n'y a ni poésie, ni suspense , ni sexe,
Heureusement la course poursuite est drôle ainsi que la Petite copine du Super anti héros français
je suis déçu
Heureusement la course poursuite est drôle ainsi que la Petite copine du Super anti héros français
je suis déçu
Fritz L
De ma pauvre mémoire de cinéphile je n’ai jamais rien vu de pareil, « Vincent n’a pas d’écailles » est vraisemblablement le film le plus déjanté que j’ai vu. Qui est donc ce Vincent ? Aussi mou qu’un bigorneau quand il est au sec, que virevoltant comme un dauphin quand il ne l’est plus, l’eau, décuple sa force et estompe sa léthargie naturelle. Ce qui lui vaudra bien entendu quelques mésaventures dont je me garderai bien d’en dévoiler le contenu tant elles sont minces et aurait pu d’ailleurs faire l’objet d’un court métrage sans aucune difficulté. On cherche vainement un sens à cette amphibienne fable et au destin de ce Vincent qui dans ses exploits, ferait pâlir de jalousie une Esther Williams. L’eau comme vecteur de vie, n’est pas sans symbolique, elle est comparable à la spiritualité, est insaisissable dans sa structure, fluide, dynamique. Elle est fruit du ciel et de la terre. En cherchant bien, mais vraiment bien, Vincent serait alors une forme de renouveau de l’homme, plus pur, plus proche de la nature, dépouillé de tous artifices, tendant à l’ascèse. Dont acte. Plus probablement, Thomas Salvador a eu une idée (une seule, faut pas pousser quand même) et s’est amusé à l’habiller, lui faire prendre forme, n’osant pas aller jusqu’à recouvrir son héros d’écailles (d’où le titre) par souci de crédibilité, cela coule de source. Mais cette inspiration vite tarie, fait que le film ne tient à rien, il ne commence ni ne se termine et le spectateur mi médusé, mi amusé, se laisse attirer sur les écueils de l’incompréhension. Le film prend l’eau de toute part, au sens propre comme au figuré, dans un joyeux naufrage, d’où émergent les embruns psychédéliques de la chanson du générique de fin. Une fin qui arrive du reste sans fanal ni trinquette. Gageons pour le futur que Thomas Salvadori puisse virer vent debout, ou pour faire plus simple se mettre à écrire une vraie histoire. Tchekhov écrivait « l’originalité d’un auteur dépend moins de son style que de sa manière de penser » C’est tellement vrai !
Ce film est pour le moins surprenant! Au début, rien de très original, on assiste à du pur film d'auteur: des conditions sociales difficiles, pas de musique, des scènes qui se coupent un peu n'importe comment, bref quelque chose de bien français et de déjà vu. Et puis au final, peu à peu, le personnage peut expressif nous révèle son super pouvoir, et puis tout déraille, les choses ne se passent pas comme prévu, et Vincent agit par instinct, sans réfléchir aux conséquences de son acte... C'est là qu'on s'accroche vraiment à cette histoire, le film se voulant réaliste, on se sent vraiment pris dedans. C'est assez étonnant d'ailleurs, mais les scènes les plus réussies sont en fait les scènes d'actions et de poursuites, les effets spéciaux assez primaires du film s'avèrent d'une efficacité visuelle redoutable, donnant une vraie différence à ce super-héro français. Finalement, en sortant, la seule chose qu'on souhaiterait et qu'on pourrait attendre avec impatience, c'est un "Vincent n'a pas d'écailles 2: le retour". A voir absolument!
ffred
Après un premier essai avorté, j'ai enfin pu voir Vincent n'a pas d'écailles. La bande-annonce était très intrigante. Le film l'est tout autant malgré quelques défauts. C'est le premier long métrage de Thomas Salvador qui a aussi écrit le scénario et tient le rôle principal. Le sujet est original. Le traitement aussi. C'est assez lent, contemplatif au début, pour accélérer un peu plus ensuite. Le personnage de Vincent est aussi énigmatique qu'attachant. On se sait pas d'où il vient, ni pourquoi il a cet étrange pouvoir. C'est souvent drôle, mais aussi un peu répétitif et on est parfois pas très loin de l'ennui (la traque des gendarmes est un peu longue). Ce petit film sort malgré tout de l'ordinaire dans le paysage cinématographique français actuel. C'est plutôt bien écrit, bien mis en scène et bien joué, le tout avec une belle sobriété et une jolie poésie. Et avec, par moment, visuellement, un petit côté L'inconnu du lac. Pas inoubliable mais un joli moment, assez original, fantastique et mystérieux.
Simplicité, humour, délicatesse, poésie, interprétation aussi excellente que discrète, toute en finesse. Chapeau pour un premier long. En plus l'affiche est top !
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