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Votre avis sur La Belle Saison ?
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belle histoire pas facile quand on est dans un monde qui n'est pas si évolué que ça avec tant de préjugés et un gros besoin d'ouverture d'esprit. Les deux actrices fusionnent a perfection et la réalisatrice a été suffisamment dans le respect et non le voyeurisme. On ressent la façon de filmé que c'est une femme derrière la caméra..... bravo touchant et moderne
"La Belle Saison", romance franco-belge réalisée par Catherine Corsini, sortie en 2015.
Un film bien réalisé, avec Cécile de France et Izïa Higelin. Une histoire d'amour entre luttes féministes parisiennes des années 70 et réalité de la France rurale où les préoccupations sont autres.
Une belle photo et une belle lumière. Un beau film.
Un film bien réalisé, avec Cécile de France et Izïa Higelin. Une histoire d'amour entre luttes féministes parisiennes des années 70 et réalité de la France rurale où les préoccupations sont autres.
Une belle photo et une belle lumière. Un beau film.
Une vraie réussite, portée par deux actrices solaires, magnifiquement filmées par la réalisatrice. L'histoire d'amour l'emporte sur l'évocation de la lutte des femmes pour leurs droits en ce début d'années 70, dont on peut regretter qu'elle ne prenne pas davantage de place. Toutefois, la reconstitution est soignée, sans être appuyée, et rappelle une époque où les idéaux avaient encore leur place. La partie la plus convaincante est celle où les deux héroïnes vivent discrètement leur passion dans la ferme familiale, prises entre le machisme des agriculteurs et l'incompréhension de la mère de Delphine.
2,5/5
On ne croit pas à l'histoire d'amour et ce dès le début. Elle arrive soudainement, on n'a pas le temps de voir évoluer les sentiments. Bien loin de la passion de "La vie d'Adèle". C'est juste un film qui surf sur la mode des films lesbiens sur fond de révolution féministe.
Mention spéciale à Noémie Lvovsky toujours juste.
On ne croit pas à l'histoire d'amour et ce dès le début. Elle arrive soudainement, on n'a pas le temps de voir évoluer les sentiments. Bien loin de la passion de "La vie d'Adèle". C'est juste un film qui surf sur la mode des films lesbiens sur fond de révolution féministe.
Mention spéciale à Noémie Lvovsky toujours juste.
Film frais et porteur de sens dans une société où la femme avec une parole plus libérée (et pas que...), urbaine et audacieuse contraste avec les filles de la campagne où les préjugés ont du pouvoir révélant des personnages attachants !
Un film assez tendre et attachant grâce aux 2 actrices principales. Le film est situé dans les années 70 le sujet de l’homosexualité était donc beaucoup plus tabou qu'à notre époque. Le film n'en fait pas trop et n'accumule pas les clichés. Noémie Lvovsky est très juste dans son rôle. Bref un film féminisme qui est dans la moyenne du genre. En effet, on a pas non plus de scènes mémorables.
Nyns
Difficile de ne pas penser à la torride palme d'or 2013, auquel j'ai quand même préféré cette Belle saison. Peut-être grâce à une longueur plus raisonnable, la beauté moins plastique de Cécile de France et Izïa Higelin mais surtout, et je me comprends, la dimension moins pornographique. Mais ce que j'ai avant tout adoré dans "La belle saison" c'est cette découverte des seventies du côté des féministes, avec les débats de l'époque tel que l'émancipation de la femme et l'avortement. Évidemment, la réalisatrice nous rappelle par ce biais que tout n'est pas encore acquis. Mais attention ce film n'est pas du tout anti-homme car comme le dit clairement Carole : "on est par contre les hommes, mais pour les femmes!". Un beau coup, marquant pour ma part. Les deux actrices sont rayonnantes, mais la meilleure interprétation de ce film revient à Noémie Lvovsky, bluffante. Bref, une idylle solaire et émouvante, à voir.
bon film , bonne reconstitution de l'époque, cécile de france est comme à son habitude géniale et attachante, le second rôle de la mère est excellent, bonne idée de scénario de confronter les différences de monde et de personnalité des actrices principales
cela dit je voudrais un peu tempérer les critiques presse que je trouve trop positives car
1 je ne suis pas super convaincue par l'histoire d'amour.
2 pas d'érotisme et trop de plans à la gustave courbet qui n'apportent rien...bien au contraire...
donc film qui mérite d'être vu mais avec des faiblesses
cela dit je voudrais un peu tempérer les critiques presse que je trouve trop positives car
1 je ne suis pas super convaincue par l'histoire d'amour.
2 pas d'érotisme et trop de plans à la gustave courbet qui n'apportent rien...bien au contraire...
donc film qui mérite d'être vu mais avec des faiblesses
Un très beau film parfaitement joué, qui restitue merveilleusement bien l'ambiance de l'époque avec ses espoirs et ses tabous. Le ton est juste sans aucune fausse note. Le tandem Cécile de France/Izïa Higelin illumine l'écran.
Je trouve que c'est un très beau film émouvant et poignant.
Les deux actrices sont excellentes et la réalisation est soignée.
Les deux actrices sont excellentes et la réalisation est soignée.
De la passion et de la fièvre, mais la mise en scène est trop démonstrative et l'époque mal retranscrite. Reste la conviction des actrices principales.
La belle saison est un beau film qui mélange l'hommage, sur une génération de femmes qui se sont battus pour leur droit et le mélodrame solaire, pudique et prenant . Le duo Cécile de France et Izia Higelain est excellent et les seconds rôle sont très convaincants. La mise en scène offre quelque moment de grâce. Pour autant et malgré l’intelligence du traitement de Catherine Corsini, elle n’arrive en aucun cas à nous faire oublier le sentiment de déjà vu que nous laisse le scénario et que son neuvième long métrage arrive après La Vie d’Adèle . Dommage
Les plus:
- le thème de la passion entre deux femmes dans les années 70, et son impossible acceptation ( autant par la société, que par la famille et les voisins).
- Deux femmes qui s'embrassent, c'est ici joliment filmé!
- La crédibilité d'Izia Higelin dans son rôle de Delphine, paysanne lesbienne, qui n'assume pas cette mauvaise réputation
- Véritable lionne et féministe engagée, libre de corps et d'esprit, Carole la parisienne, incarnée par la majestueuse Cecile De France, très sûre dans ses convictions, se fait pourtant déstabiliser par les avances de Dephine
- Les jolis plans de la Creuse bucolique ( de la paille, des vaches et des moisseneuses batteuses) offre une belle reconstitution de la campagne des années Giscard.
Les moins :
- une première partie, trop longue, sur fond de combat féministe trop didactique et moyennement intéressante
- Le rôle des hommes du film, sans reliefs
- le thème de la passion entre deux femmes dans les années 70, et son impossible acceptation ( autant par la société, que par la famille et les voisins).
- Deux femmes qui s'embrassent, c'est ici joliment filmé!
- La crédibilité d'Izia Higelin dans son rôle de Delphine, paysanne lesbienne, qui n'assume pas cette mauvaise réputation
- Véritable lionne et féministe engagée, libre de corps et d'esprit, Carole la parisienne, incarnée par la majestueuse Cecile De France, très sûre dans ses convictions, se fait pourtant déstabiliser par les avances de Dephine
- Les jolis plans de la Creuse bucolique ( de la paille, des vaches et des moisseneuses batteuses) offre une belle reconstitution de la campagne des années Giscard.
Les moins :
- une première partie, trop longue, sur fond de combat féministe trop didactique et moyennement intéressante
- Le rôle des hommes du film, sans reliefs
superbe jeu d'Izia Higelin toute en retenue et de Cécile de France avec son entrain débordant.
On a un peu le sentiment de voir la suite de "la vie d'Adèle"; ici, c'est Adèle à la ferme en attendant Adèle à la plage, Adèle à la montagne...
Certes, on redécouvre le fameux tableau de Courbet "la naissance du monde" grâce à la version blonde de Cécile de France,laquelle est toujours sympathique mais il n'était nul besoin de déshabiller aussi sa partenaire.
Certes, on redécouvre le fameux tableau de Courbet "la naissance du monde" grâce à la version blonde de Cécile de France,laquelle est toujours sympathique mais il n'était nul besoin de déshabiller aussi sa partenaire.
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