Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Classique dans sa forme, "la Belle Saison" bouscule le coeur. Dommage que le mot mélo soit si dangereusement connoté, car c'en est un, irrésistiblement bouleversant, nourri par la complémentarité de deux caractères.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Phalène de la Valette
"La belle saison" parvient à surprendre et, surtout, à sonner juste. Il faut voir ce film rien que pour la reconstitution jubilatoire d'une réunion féministe dans un amphithéâtre de la Sorbonne !
Positif
par Ariane Allard
Catherine Corsini n'a pas choisi la facilité (...). Ce long métrage est avant tout un film d'amour, vibrant et courageux.
Télé 2 semaines
par Claire Picard
Catherine Corsini signe un film magnifique. Cette passion interdite, dans la France de Pompidou, touche en plein coeur. Cécile de France trouve ici un de ses plus beaux rôles, et la chanteuse et comédienne Izïa Higelin se révèle éblouissante.
Femme Actuelle
par La rédaction
Catherine Corsini retrouve des thèmes qui lui sont chers comme les relations amoureuses et l'homosexualité Maîs elle s'éloigne du drame pour nous livrer un film lumineux où la campagne est sublimée.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Nourri d'entretiens avec les féministes de l'époque, comme Anne Zelenski, Catherine Deudon ou Cathy Bernheim, le film est aussi une reconstitution minutieuse de l'époque, toujours juste, jamais appuyée.
L'Obs
par Jérôme Garcin
"La Belle Saison" raconte la folle histoire d’amour entre une fille de paysans et une intello féministe (…) Ce parti pris d’intemporalité donne toute sa force à ce film que la blonde Cécile de France et la brune Izïa Higelin, merveilleusement accouplées, accordées, impudiques, portent à un haut degré d’incandescence.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Marie Soyeux
Il faut saluer le talent d’équilibriste de Catherine Corsini, le dénouement maîtrisé de son scénario et son magnifique trio d’actrices.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
La force sensuelle de cet amour, la joie qu’il irradie, les tourments qu’il fait naître trouvent d’autant mieux à s’exprimer que le corps des deux interprètes affiche un naturel dans la nudité et l’abandon qui, loin de toute complaisance, traduit une liberté totale.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Catherine Corsini a pris l'habitude de nous raconter des histoires d'amour tumultueuses et elle signe, avec ce furieux et brûlant coup de foudre, l'un de ses plus beaux films.
Le Monde
par Franck Nouchi
L'histoire d'amour entre Delphine et Carole est illuminée par les deux magnifiques actrices qui les interprètent : Izïa Higelin et Cécile de France. Usant avec une grâce infinie de leurs corps, elles symbolisent à merveille ce désir de libération qui parcourait la France des années 1970.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par Pierre Fornerod
La sensibilité qui agite les deux héroïnes est portée par l'énergie que dégagent Cécile de France et Izïa Higelin.
Première
par Christophe Narbonne
Pulsionnel et charnel, solaire et tragique, porté par deux actrices décomplexées et en état de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Un beau film d'amour.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Izïa Higelin donne à la jeune femme son beau visage juvénile, où, derrière une apparente solidité, on devine les doutes et les fractures. Face à elle, Carole est interprétée par Cécile de France [qui] tisse avec son habituelle vitalité une composition sur mesure.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Ce récit d'une passion entre deux femmes que tout oppose doit son intensité au jeu tout en retenue d'Izïa Higelin, qui excelle dans ce rôle à contre-emploi.
Voici
par La rédaction
Un joli film, gai et triste.
L'Express
par Eric Libiot
Si cette "Belle Saison" témoigne d'un moment, elle ne dépasse jamais les enjeux dramatiques d'un temps qui semble loin à l'heure où la lutte pour la reconnaissance homosexuelle prend d'autres voies. Pour porter haut le flambeau du combat, c'est en 2015 qu'il fallait situer le film. Très regardable, et très dommage.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Si l'écriture est habile, la mise en scène n'est pas toujours au même niveau, notamment dans les séquences de luttes collectives qui donnent le parfum d'une époque mais pas sa substance. (...) "La Belle Saison" vibre au mieux par ses variations affectives, son côté mélo au sens fort, d’autant que les affects sont intriqués avec les choix de vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clémentine Gallot
(...) le film, à l’évidence très personnel, traduit bien le foisonnement des mouvements féministes riches en hymnes militants, comme C’est l’orgasme final ou l’Hymne des femmes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Pierre Murrat
Toute à la passion de ses deux héroïnes, Catherine Corsini les filme en de longues étreintes, supposées lyriques, dans des champs inondés de soleil : à la longue, ça lasse un peu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
Echo certain aux débordements rétrogrades de la Manif pour tous, La belle saison placarde sur les toiles de cinéma des affiches aux couleurs de liberté.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
On ne sort pas d’un cinéma de l’explicite, où tout est annoncé à coups de métaphores usées (attention, le ciel se couvre, ça va barder dans les chaumières) et de sous-entendus très entendus.
Critikat.com
par Gabrielle Adjerad
Si le sujet est moderne et qu’il faut du courage pour l’aborder, le fait de placer l’intrigue dans une époque où les empêchements étaient bien plus nombreux donne au tout l’allure d’un digne coup d’épée dans l’eau, dont les bonnes intentions ne permettent pas vraiment d’affronter les combats d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Malgré son ardent hommage au féminisme “historique”, Catherine Corsini, en y mêlant le récit d'une passion peu convaincante entre une fougueuse militante parisienne et une jeune agricultrice, passe à côté de la richesse de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Parisien
Classique dans sa forme, "la Belle Saison" bouscule le coeur. Dommage que le mot mélo soit si dangereusement connoté, car c'en est un, irrésistiblement bouleversant, nourri par la complémentarité de deux caractères.
Le Point
"La belle saison" parvient à surprendre et, surtout, à sonner juste. Il faut voir ce film rien que pour la reconstitution jubilatoire d'une réunion féministe dans un amphithéâtre de la Sorbonne !
Positif
Catherine Corsini n'a pas choisi la facilité (...). Ce long métrage est avant tout un film d'amour, vibrant et courageux.
Télé 2 semaines
Catherine Corsini signe un film magnifique. Cette passion interdite, dans la France de Pompidou, touche en plein coeur. Cécile de France trouve ici un de ses plus beaux rôles, et la chanteuse et comédienne Izïa Higelin se révèle éblouissante.
Femme Actuelle
Catherine Corsini retrouve des thèmes qui lui sont chers comme les relations amoureuses et l'homosexualité Maîs elle s'éloigne du drame pour nous livrer un film lumineux où la campagne est sublimée.
L'Humanité
Nourri d'entretiens avec les féministes de l'époque, comme Anne Zelenski, Catherine Deudon ou Cathy Bernheim, le film est aussi une reconstitution minutieuse de l'époque, toujours juste, jamais appuyée.
L'Obs
"La Belle Saison" raconte la folle histoire d’amour entre une fille de paysans et une intello féministe (…) Ce parti pris d’intemporalité donne toute sa force à ce film que la blonde Cécile de France et la brune Izïa Higelin, merveilleusement accouplées, accordées, impudiques, portent à un haut degré d’incandescence.
La Croix
Il faut saluer le talent d’équilibriste de Catherine Corsini, le dénouement maîtrisé de son scénario et son magnifique trio d’actrices.
Le Dauphiné Libéré
La force sensuelle de cet amour, la joie qu’il irradie, les tourments qu’il fait naître trouvent d’autant mieux à s’exprimer que le corps des deux interprètes affiche un naturel dans la nudité et l’abandon qui, loin de toute complaisance, traduit une liberté totale.
Le Journal du Dimanche
Catherine Corsini a pris l'habitude de nous raconter des histoires d'amour tumultueuses et elle signe, avec ce furieux et brûlant coup de foudre, l'un de ses plus beaux films.
Le Monde
L'histoire d'amour entre Delphine et Carole est illuminée par les deux magnifiques actrices qui les interprètent : Izïa Higelin et Cécile de France. Usant avec une grâce infinie de leurs corps, elles symbolisent à merveille ce désir de libération qui parcourait la France des années 1970.
Ouest France
La sensibilité qui agite les deux héroïnes est portée par l'énergie que dégagent Cécile de France et Izïa Higelin.
Première
Pulsionnel et charnel, solaire et tragique, porté par deux actrices décomplexées et en état de grâce.
Studio Ciné Live
Un beau film d'amour.
Sud Ouest
Izïa Higelin donne à la jeune femme son beau visage juvénile, où, derrière une apparente solidité, on devine les doutes et les fractures. Face à elle, Carole est interprétée par Cécile de France [qui] tisse avec son habituelle vitalité une composition sur mesure.
Télé 7 Jours
Ce récit d'une passion entre deux femmes que tout oppose doit son intensité au jeu tout en retenue d'Izïa Higelin, qui excelle dans ce rôle à contre-emploi.
Voici
Un joli film, gai et triste.
L'Express
Si cette "Belle Saison" témoigne d'un moment, elle ne dépasse jamais les enjeux dramatiques d'un temps qui semble loin à l'heure où la lutte pour la reconnaissance homosexuelle prend d'autres voies. Pour porter haut le flambeau du combat, c'est en 2015 qu'il fallait situer le film. Très regardable, et très dommage.
Les Inrockuptibles
Si l'écriture est habile, la mise en scène n'est pas toujours au même niveau, notamment dans les séquences de luttes collectives qui donnent le parfum d'une époque mais pas sa substance. (...) "La Belle Saison" vibre au mieux par ses variations affectives, son côté mélo au sens fort, d’autant que les affects sont intriqués avec les choix de vie.
Libération
(...) le film, à l’évidence très personnel, traduit bien le foisonnement des mouvements féministes riches en hymnes militants, comme C’est l’orgasme final ou l’Hymne des femmes.
Télérama
Toute à la passion de ses deux héroïnes, Catherine Corsini les filme en de longues étreintes, supposées lyriques, dans des champs inondés de soleil : à la longue, ça lasse un peu.
aVoir-aLire.com
Echo certain aux débordements rétrogrades de la Manif pour tous, La belle saison placarde sur les toiles de cinéma des affiches aux couleurs de liberté.
Cahiers du Cinéma
On ne sort pas d’un cinéma de l’explicite, où tout est annoncé à coups de métaphores usées (attention, le ciel se couvre, ça va barder dans les chaumières) et de sous-entendus très entendus.
Critikat.com
Si le sujet est moderne et qu’il faut du courage pour l’aborder, le fait de placer l’intrigue dans une époque où les empêchements étaient bien plus nombreux donne au tout l’allure d’un digne coup d’épée dans l’eau, dont les bonnes intentions ne permettent pas vraiment d’affronter les combats d’aujourd’hui.
Les Fiches du Cinéma
Malgré son ardent hommage au féminisme “historique”, Catherine Corsini, en y mêlant le récit d'une passion peu convaincante entre une fougueuse militante parisienne et une jeune agricultrice, passe à côté de la richesse de son sujet.