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    Premier Contact
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    1 332 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 21 janvier 2018
    un super film. On reconnait là le réalisateur de prisonners, un film bien trouvé et inédit jusqu'à maintenant. Il faut quand même comprendre certaines choses : //spoilers// la fille de la linguiste était une vision, ce n'était pas le passé mais le futur contrairement à ce qu'on pouvais croire alors arrêtez de dire que le film est nul parce que vous comprenez pas
    Anonymous :)
    Anonymous :)

    62 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 janvier 2018
    Déroutant est le premier mot qui me vient à l'esprit à l'issue du visionnage. Déroutant et inégal oui car "Premier contact" propose des séquences et un scénario dignes des plus grands film de science-fiction mais derrière le rythme est tellement lent et plat qu'on a vraiment du mal à s'y plonger, pour ma part j'ai commencé à décrocher au bout d'une heure, l'histoire tournant autour du pot sans réellement avancer. Il est de ce film où la construction scénaristique, assez complexe, rend l'intrigue assez confuse pendant la quasi intégralité du visionnage, et commence à prendre du sens lors du twist final, qui mériterait donc un deuxième visionnage pour avoir un nouvel angle de vue sur l'oeuvre, mais au vu de mon ennui profond pour cette première, je n'ai nullement envie de m'y replonger une seconde fois, peut être à tort me direz vous. Adapté d'une nouvelle de Ted Chiang, l'histoire s'intéresse à une experte en linguistique comparée qui tente de communiquer avec des extra-terrestres, chose difficile étant donné que leur perception du langage et du temps est non-linéaire. Cette trame narrative va permettre au cinéaste d'exploiter un gigantesque problème de philosophie du langage à travers la notion de communication et de temps, tout en s'intéressant aux diverses réactions humaines face à un envahisseur inconnu. Connu pour la qualité de ses scénarios complexes à tiroirs, Denis Villeneuve persiste et signe avec "Premier Contact", qui offre une vision novatrice et très intelligente du cinéma SF. Dans ce contexte ultra réaliste, le cinéaste va offrir quelques beaux moments d'immersion chez les extra-terrestres, au moyen d'une superbe photographie comme à son habitude, des belles prouesses innovantes biscornues en référence au langage des aliens et à leurs vaisseaux, monolithes en lévitation, et bien sûr une bande son parfaitement collante à l'univers, à la fois oppressante et mystérieuse. Concernant les acteurs, Amy Adams ne parvient pas vraiment à donner de l'envergure à son personnage tout comme Forest Whitaker qui n'apporte pas grand chose, seul Jeremy Renner reste très bon avec une justesse de tout instant. Ainsi, en dépit d'innombrables bonnes intentions et quelques séquences réussies, "Premier Contact" n'emballe pas vraiment tant la lenteur du scénario est plombante, le long-métrage étant à mon goût raté dès qu'il sort de son cadre intellectuel, à saluer toutefois tant il nous amène à réfléchir et nous en ressort grandit cinématographiquement parlant.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    124 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2018
    septiemeartetdemi.com - Première impression : Villeneuve a un truc pour tout ce qui fait du son.

    Tout de suite, il nous baigne dans une soupe où tout est fait de bruits. À plusieurs moments, il va jouer cette carte pour nous immerger dans son ambiance : quand Louise met son casque dans l'hélicoptère et que le bruit du moteur baisse pour laisser la place à celui saturé des voix dans les microphones (sublime idée), quand les combinaisons craquent d'agréables froissements plastifiés, quand les vaisseaux se meuvent. On en chercherait presque la certification "approuvé ASMR" !

    D'autre part, les sons produits par les heptapodes sont recherchés, rappelant celui des tripodes de La Guerre des Mondes (Steven Spielberg, 2005) ; un long souffle profond, roulé et métallisé, parsemé d'interférences bruissantes et détonantes. Sans compter que les flashs mémoriels de Louise commencent par le son sans l'image, et que la musique de Jóhann Jóhannsson se confond souvent avec le reste de l'environnement sonore, nous laissant croire que quelque objet l'a provoquée dans l'histoire et non en-dehors. Tout cela donne une atmosphère très prégnante, quoique son usage s'affaiblisse à la moitié du film comme si cela ne servait qu'à faire les présentations.

    Deuxième impression : l'œuvre prend son temps.

    Elle se répète graphiquement quand il faut montrer les tâches répétitives des scientifiques dans une situation que le spectateur n'est pas censé imaginer seul, ce qui est une forme de lenteur en soi mais qui n'est qu'un moyen de crédibilisation. Là où le film est lent de la manière la plus authentique, c'est quand il faut pénétrer dans le vaisseau. La procédure est détaillée : enfilage des combinaisons, trajet en voiture (agrémenté d'ailleurs de plans aériens terriblement esthétiques), installation du dispositif d'ascension, combat des scientifiques avec la peur de cet habitacle plein de vide où la gravité n'a litérallement plus aucun sens, installation du matériel et enfin échange des intéressés avec les aliens.

    Villeneuve va ensuite accentuer la quantité de travail fournie par les protagonistes en nous montrant ce processus plusieurs fois (abrégé bien sûr), ce qui à force va jouer avec la frontière entre l'intérêt et l'ennui, mais ça passe ; on n'en est quand même pas au niveau de rabâchage imbécile d'Edge of Tomorrow (Doug Liman, 2014)...

    Le son et le temps ne sont pas les seuls éléments dont le régisseur va abuser de la flexibilité. Il y en a encore deux autres qu'il va s'amuser à faire ployer : la lumière et la gravité.

    La première, il la manie en cinéaste et se spécialise dans l'utilisation du moins possible de ladite, prenant le risque de devoir mettre en valeur une maîtrise photographique en plus de la narration d'une histoire qui, à la base, s'adresse à un grand public n'y étant pas forcément sensible.

    La seconde, il va montrer que, comme le temps lui-même, elle n'importe pas. Sur le papier, il est facile de déformer les deux : la relativité du temps est tout à fait compatible à une narration spéculative, et la gravité est très bien retranscrite par les plans d'apesanteur, tout clichés qu'ils soient.

    Sans doute ne faudrait-il pas catégoriser Villeneuve, qui n'est tombé dans aucune de ces deux facilités : la façon qu'il a de se jouer du temps est effectivement assez platonique mais ne répond pas aux standards d'un flux scénaristique compliqué qui se perdrait en explications de ses propres méandres. Le twist est très très TRÈS vite dénoué, sans tension particulière, avec des éclaircissements si délicats qu'ils ne sont en aucun cas menacés par l'épée de Damoclès des films temporels : le paradoxe. Et si cela peut faire penser que la fin est plate, il faut encore compter sur le relatif "héroïnisme" de Louise, probablement l'élément le plus irréaliste du film (j'exclus ce qui tient de la SF pure et simple bien sûr). Car Louise est dépeinte comme un couteau suisse, ne la montrant pas sous un jour particulièrement valorisant : linguiste, polyglotte, pleine d'assurance, courageuse pour avoir supporté des épreuves et en subir de nouvelles... Elle aide effectivement à épicer le dénouement mais elle-même, en tant que personnage, est poussée beaucoup trop loin.

    Toutefois, s'il faut retenir encore autre chose d'Arrival, c'est la fusion de deux formes telle qu'on avait déjà pu la remarquer dans Gravity (Alfonso Cuarón, 2013) ou même Interstellar (Christopher Nolan, 2014) : le mélange de la science-fiction avec la science au point que l'œuvre sacrifie parfois de son tout-publicisme pour la cause d'un réalisme nouveau. De la science-science-fiction, en quelque sorte. Côté linguistique, le film en dit peu, mais ce qu'il dit est (assez) bon, surtout dans la méthodologie (moins dans les détails). Le film a eu droit à ses consultants linguistiques ; la consultation scientifique est rarissime pour les films de SF, et il s'agit d'une première dans cette science-là.

    La fusion en question n'est d'ailleurs pas que là : l'introduction est un pur drame, et ouvre un champ des possibles que le réalisateur va employer à cent pour cents. Ce sont les flashs mémoriels de Louise, puis le twist. Cette histoire dans l'histoire, il aurait pu la laisser couler en parallèle comme le ferait n'importe quelle fiction, et la révéler aux moments opportuns. Mais le bougre, avec les moyens précédemment cités, l'a au contraire laissée affleurer sous chaque scène sous la forme de la fatigue de Louise et de ses hallucinations, en justification des coups de mou du scénario qui, normalement, auraient dû se faire sentir chez le spectateur comme des instants plus ennuyeux que d'autres où le scénariste n'avait d'autre choix que de faire du bouche-trou ; cela arrive tout le temps. 

    Il est possible de trouver d'autres griefs au film : l'utilisation de la théorie de Sapir-Whorf selon laquelle la langue détermine la façon dont on voit le monde ne saurait expliquer ce que produit l'apprentissage de la langue heptapoïde dans le cerveau de Louise. Il s'agit là d'une exploitation fainéante d'un trait scientifique qui sonnait sûrement trop bien pour être ignoré. Pourquoi aussi, alors que le film a la super bonne idée de sous-titrer en langue humaine ce que signifie le langage écrit des heptapodes (Louise peut le lire ! Ça, ça a la classe), pourquoi faut-il que Louise soit à même de se faire comprendre en langage humain parlé, alors que 1) les heptapoïdes ne sont pas censés avoir de langage parlé et 2) rien n'indique qu'ils soient capables de l'apprendre, et a fortiori qu'ils l'ont effectivement appris ?

    Cependant, il est assez facile lors du visionnage de jeter ces défauts dans la petite poubelle intitulée "on s'en fout, c'est de la SF". Cette poubelle est petite quand on se veut critique, mais Arrival ne la fait pas déborder. Tout juste, quand même.

    En gros, Premier Contact se situe à mon sens un peu en-dessous de la barre de sa popularité. Mais mon avis est à relativiser : pour les raisons que j'ai détaillées à la première ligne, c'est un film que j'ai beaucoup anticipé et au sujet duquel j'avais les outils pour être exigeant et montrer du doigt ses insuffisances. J'aurais pu être très déçu, je le suis à peine.

    Il n'y a qu'une chose que je puisse réellement exprimer en mettant de côté mon enthousiasme pré-visionnage et ma pseudo-"spécialisation" dans l'étude des langues en autodidacte : l'histoire est assez peu cathartique alors qu'elle aurait pu l'être plus, et ce à mon avis assez facilement. Il y a un léger "syndrôme Inception" dans la dernière partie, qui doit s'expliquer (graphiquement et pas longuement, comme on l'a dit, mais qui doit s'expliquer quand même) au lieu de participer au crescendo émotionnel dont devraient être dotées toutes les histoires de fiction ayant pour but avoué de transporter le spectateur dans un autre monde.

    Mais vous savez quoi ? Le film est réussi, plaisant visuellement et dans son histoire, et Villeneuve est un excellent réalisateur. Alors ne faites pas trop confiance à mes remarques de grognon parce qu'il m'a beaucoup plu de toute façon.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 janvier 2018
    Un véritable bon film de SF, qui marque surtout par son "réalisme" (surtout celle de la première partie), on est complètement embarqué avec les personnages, on découvre en même temps qu'eux, on ressent les mêmes choses qu'aux... L'immersion est totale ! On regrettera peut-être une seconde partie plus rapide et plus alambiquée, mais cette oeuvre n'en reste pas moins d'une qualité indéniable ! A voir sans hésiter !
    Marvin Z
    Marvin Z

    103 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 janvier 2018
    Le talentueux Denis Villeneuve signe ici un film intéressant mais en deçà du reste de sa filmographie. Premier Contact aborde le sujet passionnant du langague et de ses complexités sur fond d’invasion extra-terrestre. L’absence de communication et les problèmes qui en sont liés sont ici le message qu’à voulu faire passer ce bon vieux Denis (et plus particulièrement l’auteur du livre dont le film est adapté). On regrettera tout d’abord un cruel manque de rythme et une résolution en dessous de nos espérances. Villeneuve sait créer une ambiance prenante, voir oppressante, de manière à faire grimper l’intensité tout au long de l’histoire. Mais quand le climax n’est pas à la hauteur des attentes générées par cette montée en puissance, le film déçoit forcément. Pour ceux qui s’en souviennent, Amy Adams raconte comment les Kangourous ont obtenus leurs nom à Forest Whitaker. Une anecdote très intéressante. Du moins jusqu’à ce qu’Adams révèle qu’elle est fausse. Whitaker s’est fait leurrer. Le public aussi. Et ce sentiment est représentatif de la fin du film. Les 20 dernières minutes partent dans une direction qui dénottent totalement du reste. Le genre même du film est changé. Le public s’est fait leurré. C’est regrettable. Côté réalisation rien à redire si ce n’est les plans « Flash-Forward » en caméra épaule, rendant les scènes très kitsch.
    En bref Arrival est un film correct mais à ne voir qu’une seule fois. Denis Villeneuve confirme son talent mais ne transcende pas le genre. Côté jeu, le duo de tête fait partie de ces acteurs qui sont devenus stars sans que personne ne sache réellement pourquoi. Talent présent, charisme absent. Mais aucun acteur n’aurait pu donner à ce film les éléments manquants qui l’empêchent d’entrer dans le panthéons de la SF: du charme, du rythme et une vraie dramaturgie. 12/20
    GG1944
    GG1944

    6 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 décembre 2017
    CHEF D'OEUVRE

    J'ai vu ce film par hasard à la demande et j'en suis encore tout imprégné des jours après en écoutant la musique "On the nature daylight" de Max Richter. Pendant le film on ne sait plus vraiment ce que l'on regarde: un film de science fiction, un film catastrophe, ou une merveille de message sur la vie. C'est à la fin que l'on comprends que ce dernier point est la réalité. Des longueurs? Des fausses longueurs je dirais plutôt. Les acteurs sont parfaits avec mention pour Amy Adams et même les second rôle transmettent des messages comme le Capitaine Marks...A vous de les découvrir. Et la fin que dire si ce n'est qu'un de ces beaux cadeaux comme seul le cinéma de génie peut nous donner. Cela me rappelle le style Terence Malick et sa fin de Tree of Life au niveau atmosphère. Merci Mr Villeneuve.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 décembre 2017
    Ce film est un joyau unique à l’extrême opposé des blockbusters du genre. Ici, point de violence, point d'effets spéciaux à chaque plans et point de bêtise affligeante. Si le film fait un bel hommage à Kubrick avec des combinaisons et un monolithe proches de ceux de "2001, l'Odyssée de l'espace", il parvient surtout à créer un univers visuel unique, oscillant entre un présent aux couleurs glaciales et des flash-backs aux couleurs chaudes. "Premier Contact" est un chef d'œuvre intelligent, brillamment interprété et magistralement réalisé avec un scénario ultra travaillé et intelligent, un casting cinq étoiles, des plans magnifiques, une bande son à tomber et une mise en scène superbe.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 décembre 2017
    Très déçue par"premier contact" aux évaluations si encourageantes! Franchement, à part le spitch sur le langage relativement intéressant, rien ne m'a captivée dans ce film. Les gentils, les méchants, les extra terrestres, et l'histoire d'amour. Quelle originalité... Et pour couronner le tout, à la fin on comprend que ce qu'on croyait des flash back sont en fait des visions du futur de la part de la protagoniste principale... tu parles d'une trouvaille! C'est plein de bons sentiments et de morale bien pensante... au secours!
    pasmaldutout
    pasmaldutout

    24 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 décembre 2017
    quand c'est pas terrible, il ne faut pas hésiter à l'écrire, Arrival est un film pas terrible, terriblement lent pour faire monter le suspense mais spoiler:
    qu'il ne va pas se passer grand chose au bout de 40 minutes de film : ça va être tordu, complexe et finalement si simple, un peu chiant toute cette mise en scène pour en arriver là.
    le jeu de Adams et Renner n'arrange rien.
    je suis déçue et en plus très étonnée que ce film ait eu de si bonnes critiques au global de la part de la presse et des spectateurs, et là je me demande vraiment pourquoi, porque, why warum dochte enfin vous m'avez comprise
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 26 décembre 2017
    Un film qui tend à être profond et qui traite de thèmes très intéressants : la communication, le langage, l'humanité, l'amour...
    La réalisation est plutôt bonne, les effets (lorsque l'on voit les extra terrestres) sont saisissants. Cependant, l'histoire met trop de temps à se mettre en place.
    La tension se développe petit à petit et on accroche seulement après 40mn de lancement.
    Et la suite de la narration ne suffit pas à rattraper ce manque. On commence à se mettre à la place du Docteur Banks et à chercher le but de cette visite.
    On en comprend seulement la raison à la conclusion qui se termine plutôt rapidement et de manière troublante.
    On a l'impression de voir une moitié de film tellement le rythme fait qu'il a fallu 2h pour atteindre la réponse à la tension développé.
    En conclusion, un SF plutôt pas mal dont on ne comprend pas tout le contenu et qui aurait pu durer moins longtemps.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 mai 2018
    C’est un film passionnant, on pense à de la science-fiction au vue de la bande annonce, au fur et à mesure que ça devient intrigant cette histoire d’objet non identifiée venu du ciel est plein de mystère qui peut effrayé plus d’un, la tournure du scénario est pertinente, ça touche le fond du cœur, je ressens de l’émotion pour la cohérence finale.
    Stéphane D
    Stéphane D

    124 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 décembre 2017
    Le premier mot qui me vient est "austère" : je n'attendais certes pas un film d'action mais le rythme est lent et la rencontre extraterrestre se mélange à l'histoire personnelle de l'héroïne de manière assez lourde tandis que la fin ne rattrappe pas cette impression.
    Je suis à contre courant mais je n'accroche pas.
    Ironpika
    Ironpika

    131 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 décembre 2017
    Denis Villeneuve est décidément l’un des cinéastes les plus en vue de ces dernières années. Le talent du canadien n’est en effet plus à prouver, même en s’essayant pour la première fois à la SF.
    Son Premier contact est un film intimiste et humaniste, qui casse les codes du film du genre à gros budget, et surtout, au-delà de l’aspect « rencontre du 3ème type », il est porteur d’un message fort sur l’espoir, le partage et l’importance de vivre sa vie. Car la vie est belle ! Et elle le restera malgré ses hauts et ses bas, ses bonheurs et ses désillusions. Après tout, nous n’en avons qu’une.
    steely_dan_76
    steely_dan_76

    15 abonnés 341 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 décembre 2017
    Un grand film de sf sans pléthore d'effets spéciaux ... peut-être le meilleur depuis "Rencontres du 3ème type". Villeneuve confirme qu'il est un grand !!!!
    Claude DL
    Claude DL

    93 abonnés 1 691 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 décembre 2017
    Un conseil : vous n'êtes pas fan de SF. Et bien oubliez vos à priori. C'est sans doute un des films les plus intelligents dans le genre. Un côté philosophique, une réflexion sur l'humanité face à l'inconnu, là je dis bravo. Se hisse au niveau des meilleurs (2001 Odyssée de l'espace, Rencontres du Troisième type...) et du très bon spectacle qui fait réfléchir : on en redemande.
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