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Geraldinebenoit3
1 critique
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2,0
Publiée le 5 avril 2021
Le film est excellent MAIS je ne mets que deux étoiles car (attention SPOIL)elle a tuée LE CHIEN NAN MAIS LE CHIEN QUOI(bon le reste du film est vraiment génial mdr)
bon film d horreur a ambiance... l histoire est intéressante... la mise en scène est un peu lente... les acteurs sont bons surtout la mère... l ambiance est bien malaisante... en revanche le film ne fait assez pas peur... il est plus angoissant... aussi la fin est originale...
Babadook possède une force c est que jamais il ne se complaît dans la facilité. Son ambiance est le gros atout du film. Plusieurs thématiques ressortent :la monoparentalite, le deuil, la dépression. Ce qui le place bien loin de beaucoup de productions d horreurs sans aucun message sous jaccent
C'est un fantasme excessif sur la relation mère traumatisée-fils. C'en est même affreux. Glacial et de mauvais goût. Une ambiance terriblement lente et soporifique. On ne sait pas vraiment où ça veux en venir, jusqu'à en devenir délirant. Une bizarrerie ce film. En tout cas, je n'en garderai pas un souvenir plaisant. Je n'aime pas qu'on joue à franchir certaines limites en ce qui concerne les enfants au cinéma. Glauque et sans grand intérêt, franchement.
Difficile d'être très objectif après le visionnage de ce film, peut-être que l'on s'attend à une pièce maitresse du genre, puisque récompenses et tout le toutime, mais, on déchante vite. Certes, la première partie se concentre sur l'enfant, désagréable au possible, mais il tient bien son rôle, et on s'attend à le voir basculé du côté sombre, mais, on nous emmène dans une direction opposée, certes avec quelques bons moments, mais si rares, que cela en devient frustrant. Cela manque de punch, de coups d'éclats, de coups d'effrois, c'est bien longuet, même si le film ne dure pas très longtemps, cela nous semble long, c'est pour dire.
Premier film de Jennifer Kent sorti en 2014, Mister Babadook reçu un bon accueil critique (si l’on excepte la presse téléramollie), et plutôt mitigé côté public. En effet, la réalisatrice investit beaucoup de codes classiques du cinéma d’épouvante, mais plus à la façon d’une fable horrifique timburtonienne que d’une production effrayante à la Blumhouse. Ce qui fait son intérêt, c’est sa qualité plastique et visuelle, photo, lumière, et surtout son personnage principal interprété brillamment par Essie Davis qui impressionne de bout en bout. Dans cette histoire à dormir debout, celle des terreurs nocturnes, on n’est jamais très loin de l’implacable portrait d’une névrose.
J’ai trouvé ce film d’horreur pas mal dans sa globalité. J’ai adoré l’ambiance qui est oppressante et angoissante. C’est sombre, et la tension va augmenter avec le temps. Le concept du livre apporte une touche intéressante. Même la manière dont l’enfant devient incontrôlable est géniale. On peut remercier le jeune Noah Wiseman qui est excellent dans ce rôle, tout comme Essie Davis, souvent au bord de la crise de nerfs. Leur psychologie est très bien travaillée. On saisit qu’ils sont au bord de la rupture, et le film joue avec ça. Sur cette trame, c’est donc au top. Malheureusement, sur le reste ça va être beaucoup plus discutable. Déjà, le personnage de Babadook, bien qu’il soit introduit dans de bonnes conditions, est assez vide. En effet, on ne connaît rien de lui, pas de légende, pas de motivation, rien. Pourquoi eux, pourquoi à ce moment-là, que veut-il ? C’est très flou. Pour ne rien arranger, d’un niveau esthétique ce n’est pas terrible du tout. Même les réactions des protagonistes face à ses « apparitions » sont très incohérentes. Cela fait perdre la logique qui s’était installée avant. Afin de boucler le tableau, la fin est tirée par les cheveux. On sent que la réalisatrice a voulu conclure de manière originale, mais triste est de constater, que ça n’a pas grand sens.
Premier long-métrage pour Jennifer Kent, qui adapte son court-métrage Monster (2005) pour le grand écran (via un crowdfunding).
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’on a rarement été aussi séduit par un 1er film, qui plus est, un film de genre (un exercice au combien difficile). Par chance, Mister Babadook (2014) nous épargne les ingrédients habituels du film de genre que l’on nous sert au cinéma. Pas de jump-scare et autres bruits stridents. Jennifer Kent opte pour une mise en abyme radicale. Où lentement mais surement, on va sombrer dans les délires paranoïaques de nos hôtes.
Le film brasse bons nombres de thématiques (la schizophrénie, les hallucinations, le deuil, les terreurs nocturnes, la dépression, …) et nous entraîne avec une facilité déconcertante au cœur de son histoire au combien terrifiante, grandement aidé par une mise en scène solide et des acteurs bluffants.
Quand un conte pour enfant qui se transforme en conte macabre…
Un film au succès absolument incompréhensible. Des bonnes intentions et de bonnes idées ( car oui il y en a beaucoup dans ce film) ne font pas un bon film, et n''excusent pas des lacunes si flagrantes et si grotesques en matière de réalisation et de jeu d'acteurs. Le film n'a aucune personnalité visuelle, il ne se construit que sur des poncifs vus et revus, le scénario est mal ficelé, l'aspect familial est caricatural, grotesque à souhait et sans intérêt car aucun développement, et l'aspect fantastique est encore pire, pas le moindre frisson, plutôt des rires... Bref, rien de honteux, mais rien qui justifie des prix. Non ce qui est honteux c'est le niveau des acteurs, et je suis étonné de ne pas le voir plus revenir dans les critiques. Le gamin est insupportable à voir tellement il est surjoué, et systématiquement ridicule dans chacune de ses interventions ( crise d'hystérie à mourir de rire) : de nombreux films ont prouvé qu'il était possible de bien diriger des enfants de cet âge, pas la moindre excuse donc pour la réalisatrice de présenter une performance aussi mauvaise. Au moins le gamin peut-il manquer d'expérience, ce qui n'est pas le cas de l'actrice de la mère, qui est terriblement peu crédible dans sa dépression qu'elle surjoue elle aussi terriblement et qu'elle a l'air de considérer comme l'unique caractéristique de son personnage. Ajoutons à ça une fin des plus mauvaises façon film d'horreur pour enfant de 6 à 9 ans, qui se résume à une énorme facilité scénaristique doublée d'une symbolique bien lourde, et nous avons un film absolument dispensable, même pas assez mauvais pour être regardé pour le plaisir du mauvais esprit, juste médiocre.
"Mister Babadook", premier long métrage réalisé par Jennifer Kent nous vient d'Australie d'où les surprises sont plutôt souvent bonnes. Après avoir suivi le cursus de l'Institut National d'Arts Dramatiques de Kensington pour devenir actrice, elle se réoriente très vite vers la réalisation après avoir assisté Lars Von Trier sur le tournage de "Dogville" en 2003. Intéressée par l'univers fantastique, elle écrit elle-même le scénario de "Mister Babadook", intense réflexion sur la relation d'une mère avec son jeune fils de sept ans après que son époux soit décédé en la conduisant à la maternité pour l'accouchement. Utilisant subtilement tous les ressorts des films classiques du genre horrifique mettant en scène des enfants dans un univers claustrophobe, Jennifer Kent opère une relecture progressive et très signifiante de la situation initiale présentant spoiler: le jeune garçon en proie à la terreur consécutivement à l'existence supposée d'un croque-mitaine répondant au nom plutôt avenant de Babadook. A travers le dévoilement de la psychologie de la mère très justement interprétée par la diaphane Essie Davis, la réalisatrice qui n'emprunte pas la voie facile d'une intervention démoniaque rappelle le rôle essentiel de l'adulte dans sa relation avec l'enfan t. Tout en nuances on l'a dit, le film pose beaucoup de questions et rappelle aussi quelques règles essentielles grâce au film de genre. Très justement reconnu "Mister Babadook" a permis à Jennifer Kent de réaliser un second long métrage ("The Nightingale" en 2018) présenté à la Mostra de Venise où la réalisatrice a reçu le prix spécial du jury. Espérons que la suite sera tout aussi réussie et personnelle.
Mister Babadook est un film qui ne fait pas les choses de façon classique. En effet, avant d'être un film de fantôme, Mister Babadook aborde de nombreux thèmes peu mis à l'image dans l'horreur. Ce genre ne fait que décupler ces thématiques comme la superficialité, le deuil, la solitude,... Le film est bien construit et prend le pari de rendre à un moment à un autre tout les personnages effrayants, capitalisant le danger de partout. Si le film utilise certains poncifs et rend hommage à certains classiques du genre ou même au surnaturel en général (l'un des éducateurs qui s'appelle Warren), il garde une identité propre et forge une ambiance glaçante. J'ai rarement peur devant les films d'horreur mais Mister Babadook fait figure d'exceptions tant certaines scènes font froid dans le dos. Je vous conseille ce film peu conventionnel qui prouve que l'horreur moderne peut faire tout aussi bien que les grands classiques lorsque les codes sont bien employés.
Alors ce film n'a rien d'horrifique mais alors rien du tout, le but de ce film est incompréhensible, on ne sait pas où ça veut nous amener et qu'est-ce que ça veut nous raconter. Un film grotesque.
J'ai vu ce film à sa sortie et je ne comprends pas comment il a obtenu de si bonnes critiques. C'est un film B avec un assez mauvais jeu des acteurs et de mauvais effets spéciaux. Avec une histoire ennuyeuse et prévisible. Comme tous les films d'horreur ça commence très lentement mais dans l'ensemble c'était ringard. Le Babadook, un film bien fait mais que j'ai trouvé très ennuyeux. Probablement parce que rien n'arrive...
Alors le film a un scénario intéressant, avec de bonnes idées. Le scénario est bien exploité avec des moments mémorables, soit très malsain, soit vraiment horrifiques. En gros, objectivement, le film est assez bon.... je pense. Mais, subjectivement, je n'apprécie pas vraiment ce film. Parce que les personnages sont insupportables. Et que je n'ai aucune patience. Le gamin est tellement insupportable à hurler et désobéir tout le temps, qu'au bout d'une heure, je n'en pouvais plus. Comme je n'ai aucune patience, je m'énerve très vite quand des persos sont insupportables, et donc je passe un très mauvais moment. Et la fin qui est, je trouve, vraiment.... ridicule. spoiler: "Ah bah maintenant tous les problèmes sont réglés, et le Babadook il est devenu gentil !"
Quel dommage, pour un film qui aurait vraiment pu être intéressant.