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    Mister Babadook
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    2,9
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    450 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 août 2014
    bien mais je m attendais à être un peu plus surpis dommage, sinon ca nous fait réfléchir
    Pathé t'es pas fan.
    Pathé t'es pas fan.

    19 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 août 2014
    Le film d'horreur qui fait peur mais que dans l'imagination d'un spectateur que l'on conte l'histoire... c'est narration personnage à chier
    Vic76
    Vic76

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 août 2014
    On reste sur sa fin avec ce film. De nombreuses incompréhensions restent, on manque cruellement d'informations pour pouvoir tout comprendre, le frisson et l'angoisse n'atteignent absolument pas le niveau de Insidious ou The Conjuring comme pouvait laisser entendre l'affiche du film.
    luccy13
    luccy13

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 août 2014
    Un film qui traine en longueur, aucun sursaut, "un monstre" très peu crédible.Je ne recommande pas ce film au fan du genre épouvante-horreur!
    A souligner un très bon jeu d'acteur.
    miouze
    miouze

    53 abonnés 158 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 octobre 2022
    Bof bof ... pas de frisson malgré l'ambiance anxiogène, le môme est insupportable, le monstre ridicule... nan, pas accroché.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 6 août 2014
    Suite aux critiques plutôt positives j'ai décidé d'aller le voir et ma déception est plus que grande. Il ne se passe rien, le film est plat. Même les acteurs ont l'air de s'ennuyer.. Aucune surprise, rien de neuf. Perte de temps.
    Guiciné
    Guiciné

    161 abonnés 1 240 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 août 2014
    Un film de genre plutôt réussi, même si l'originalité fait défaut, mais la mise en scène est efficace et l'interprétation superbe. Dommage que la fin semble bâclée et grotesque, car la tension tout au long du film était bien ressentie. A voir quand même, même si la réussite semble mineur.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 août 2014
    Assez décevant!
    Sous sa description de film d'épouvante, "Mister Babadook" est surtout sujet de la crise familiale d'une mère et de son fils qui souffrent de l'absence du père, décédé lors de la naissance du petit. En effet, le film, non sans rappeler le thème de "the shining", traite de la psychose d'une mère à bout de nerf à cause d'un enfant perturbé. spoiler: Le Babadook, sous la forme d'un croque mitaine, se révèle en fait être l'incarnation du défunt père
    . Ce dernier ne fait que de très rares apparitions angoissantes, et la principale source de tension que représente ce film réside dans le fait que minutes aprés minutes on se demande quand est ce que le monstre jaillira hors du placard... et ce, jusqu'à la fin...

    spoiler: "Un mot, un regard ne suffira pas, le Babadook jamais ne partira !"... C'est une des phrase récurrente du film. Et en effet, bien que la fin soit plutôt optimiste, on voit la mère nourrir le babadook, ce qui symbolise le deuil de son mari en acceptant de vivre avec ses démons.


    Il faut néanmoins souligner les très bon jeu du duo d'acteur qui réalisent une belle performance!
    Chucky.
    Chucky.

    16 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 août 2014
    Une véritable déception. Aucun moment de terreur. Les acteurs sur-jouent mort. Ce film n’arrive même pas à la cheville d' « Insidious » ou de « Conjuring ».
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 août 2014
    Film intriguant, très intriguant...

    Un début qui peut paraître un peu longuet, mais qui en réalité, amène divinement l'intrigue du film.
    La performance de l'actrice principale est époustouflante ! Celle du petit garçon l'est tout aussi.
    Un film haletant, saisissant, on se demande toujours ce qu'il va se passer, on est pris de compassion face au tourment de l’héroïne.

    Très anxiogène, un petit bijou
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 août 2014
    Ô, profond désespoir dans lequel tu me plonges, pourquoi "Babadook", pourquoi décides-tu de t'acharner si cruellement sur ceux qui attendait un minimum de toi … Comme tous les étés, j'arpente les ruelles sombres de cette ville dès lors plongées dans le noir à l'apogée de son crépuscule, et je pénètre dans la première salle venue présentant un film "d'Epouvante-Horreur" comme un pucelard-campagnard entrerait dans un bordel à peine débarqué en ville. Oh non, loin de moi l'idée de blâmer ces êtres venus de la campagne, j'en ai parmi mes gens, et je sais ce qu'est la campagne, Louis-Ferdinand le savait aussi. Dis moi Céline, que penses-tu de la campagne ? "J'aime pas la guerre parce que ça se passe à la campagne, et la campagne ça m'emmerde ". Merci Céline. Bref, j'ai de nouveau failli me perdre dans mon flot textuel de banalités alarmantes et monotones. Parlons peu, parlons bien, et parlons des choses qui fâchent.

    C'est l'histoire d'une mère, veuve, et loin d'être joyeuse, qui éduque son salle mioche seule dans une grande maison un peu flippante (mais juste un peu parce que les films d'horreurs ne peuvent pas se passer dans des maisons modernes). Le gamin, hanté par les monstres, décide de faire lire à sa douce, jeune et jolie maman un livre nommé "Mr. Babadook". Après lecture de ce livre (sans doute plus intéressante que la lecture du scénario), le Babadook se manifeste, mais la mère n'est pas dupe, le Babadook n'existe pas. Que nenni, le fils endosse sa panoplie Rambo et part à la chasse aux monstres. Et tout ça dans des moments ridicules, souvent pas joli à l'écran, et tout le temps accompagné d'une musique exagérée et perce-tympan.

    Par où commencer ? Alors que nous attendions avec impatience des films qui nous prennent autant aux trippes que " Répulsion " ou " Rosemary's Baby " puisqu'il en est comparé, nous avons le droit à " Mr. Babadook ", un espèce de long-métrage aux ambitions faiblardes et à une ambiance injustement absente. Je suis là, je tend mon billet pour aller te voir, je veux te voir, je t'aime déjà, je lis tes critiques et les gens te comparent à des chef d'œuvre (mais aussi à The Conjuring alors là je m'inquiète un peu tout de même), je suis devant toi, je te fixe pendant une heure et demi, je m'apprête à voir un film, non pas brillant mais plus ou moins correct, j'attends de toi que tu me fasses frissonner l'échine, je tremble déjà, mais toi, violemment, tu me jettes ton générique à la gueule sans rien m'expliquer, hop, comme ça. Oui "Mr. Babadook", pour parler poliment, tu m'as fais l'amour. Parfaitement. Et tu ne m'as même pas dis merci.

    La plupart des choses ont été dite en quelques jours, le duo mère/fils est brise burne, l'un comme l'autre ne peut nous attirer la moindre empathie. Le fils, un dégénéré mental à caractère violent et parfois même psychopathe, nous donnera des envies brutales d'additionner tous les moyens contraceptifs du monde. (L'abstinence étant le meilleur, quoi que l'homosexualité aussi d'après mon coiffeur qui est moins grec que Nikos Aliagas mais qui l'est tout de même un peu … deux clichés pour le prix d'un). La mère, paranoïaque et schizophrène, fait plus flipper que n'importe quel monstre de film d'horreur, et ne dégage aucune sympathie, ni même un brun de pitié. Outre le caractère surjoué de ce "couple", le film est plat en rebondissement, l'intrigue est mollassonne, l'épouvante pointe le bout de son nez sous la forme du " babadook " qui n'est qu'un mauvais prétexte pour nous plonger de force dans le sujet de la perte d'un être cher. Au final, on comprend rapidement que nous ne sommes pas dans un film d'horreur mais dans un drame et que ce monstre est dispensable. Très dispensable.

    Alors certes, nous avons à faire à un film dénué d'originalité, un thème facile à aborder et de plus en plus fréquent, que ce soit sous le visage de l'horreur, du drame ou de la vengeance, nous en bouffons de plus en plus au cinéma. Plus ou moins bien abordé d'ailleurs. Mais nous foutre un monstre à la Nosferatu, nous bourrer le mou avec des personnages considérés comme originaux et brillants de la trempe de Rosemary, nous gaver de scène à la Shining (si, avouez que tout de même, le coup de l'imitation + "i'm gonna bash your brain", ça va mieux à Nicholson), nous incendier de clichés du genre, est-ce bien raisonnable ? (Dixit Desproges). Ami cinéphile, je ne vais pas pisser sur le cadavre du film, non, bien au contraire, je me dois aussi d'applaudir la non-présence de Jump-scares. Cette mode " Jump Scares " est pou le genre "Horreur" ce qu'est la paix pour les militaires : elle est son pire ennemi. Je dois aussi dire que la fin m'a surpris, un peu, même si trop brève, disons que c'est la seule chose qui ne rentre pas dans le moule du " film d'horreur lambda".

    Bon Film :)
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 août 2014
    Un film qui à mon humble avis demande une seconde lecture, au delà du simple conte horrifique, et se veut d'avantage une métaphore sur le deuil et la dépression. Du style et de la maitrise dans la narration, et une actrice principale assez bluffante (qui n'est pas sans me rappeler une certaine Sissy Spacek); plus dérangeant que flippant en fait. A voir donc ;-)
    Fritz L
    Fritz L

    181 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 août 2014
    Jennifer Kent revisite la genèse du cinéma en choisissant pour le traitement graphique de son film l’illusion, l’apparence trompeuse (bel hommage à Méliès entre autre). Et là où le distributeur nous assure pour une promotion racoleuse, que le film se situe sur la lignée d’un « Conjuring » ou d’un « Rosemary’s baby » (rien que çà !), on s’attendait, avec un peu d’appréhension tout de même, au mieux à un film d’épouvante flippant, au pire à une daube aussi consommée qu’oubliée. Il n’en est rien ! « Mister Babadook est avant tout un film profondément ancré sur la psychologie, une sorte de thriller psychanalytique. Toute représentation réaliste (la folie) est ici intentionnellement évitée. Kent s’appuie sur le mythe du croquemitaine qui s’attaque à Amélia, veuve inconsolable et à son fils aussi perturbant que perturbé. C’est le schéma classique. Le monstre s’invite, s’immisce et sévit. A la première lecture, tous les poncifs du genre s’y concentrent : maison lugubre, sons et bruits suspects et stridents, musique flippante, invasion d’insectes… Mais, dès le début de ce film, on sent que le propos se situe ailleurs, qu’il y a une dimension supplémentaire qui vient transcender le surnaturel. Un montage nerveux, des flash back troublants et décalés, des visions d’horreurs, sont autant de scènes où la peur se concentre non pas autour de l’enfant, mais bien de la mère qui se délite humainement au fur et à mesure de la progression du récit. On pense bien sur à « Shining », à « Amityville » ou « Insidious », où là aussi l’icône parentale s’effondre. Mais à la différence de ces œuvres, les dernières scènes de « Babadook » viennent confirmer nos soupçons, on se remémore tout ce que l’on vient de voir, le puzzle nous apparaît et nous scotche. Jennifer Kent, nous a leurré pour mieux nous cueillir ! Et ce n’est plus aux maîtres du genre horrifique auxquels on pense, mais bel et bien à Murnau (certains plans de « Faust », « Nosferatu » ou de L’aurore » sont quasiment repris) qui n’a eu de cesse, avec ses paraboles expressionnistes, de montrer le combat incessant entre lumière et ténèbres. Kent accentue encore cette impression surréaliste avec une technique pointue et très étudiée avec ses jeux de clairs obscurs, cette palette de couleurs éteintes, ses prises de vue tranchées et ses belles perspectives. Un ensemble qui participe à la peur (celles de l’enfance notamment) et l’angoisse (la perte de la raison). On a rarement atteint un tel sommet de psychologie autour d’un personnage. On pourrait évoquer « L’emprise », « L’Orphelinat » ou encore « Fragile », mais ici on touche la perfection sur ce jeu d’illusions qui place l’optique sur les méandres les plus profonds de l’esprit.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 5 août 2014
    Le huis clos est plus agaçant qu'oppressant. On ne sait pas très bien qui de la mère ou du fils relève de l'HP, ou de l'exorcisme. Tout ça pour servir un plat de vers de terre au mari défunt confiné dans sa cave et en attente de la suite. Le scénario parait à plusieurs reprises mal ficelé.
    Jean Marc Dinaut
    Jean Marc Dinaut

    21 abonnés 294 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 août 2014
    Prenez une pincée de : Exorciste, Poltergeist, Le cabinet du Docteur Caligari, Conjuring, ou, autres perles du cinéma d'horreur et vous y ajoutez quelques noirs placards, une sombre chambre,une cave mal éclairée, un livre enchanté, une mère possédée, son gamin en souffrance de voir sa mère dans cet état, et vous voilà projeté dans ce énième opus horrifique avec cris et hurlements. Bien sur, Essie Davis et Noah Wiseman ( la mère et l'enfant) sont parfaits et crescendo va l'angoisse et un peu la peur. La fin est un peu bizarre et laisse ouverte cette histoire de possession que l'on oublie aussitôt sortie du cinéma.
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