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Un visiteur
2,0
Publiée le 18 janvier 2015
Un film d'épouvante qui n'en est pas un, complètement assommé par un faux rythme très énervant. Les deux premiers tiers sont extrêmement ennuyeux. Les dernières minutes sont pathétiques. Dur.
Très bon film, mais attention a ne pas voir si vous voulez un film a sensation comme insidious, conjuring... Ca n'a rien a voir ici, l'horreur est psychologique. spoiler: En réalité, le monstre est sortit tout droit de l'esprit d'une femme qui délire, ce qui change un peu des films de paranormal avec des démons partout .Ce film nous livre une belle métaphore de nos peurs, avec une histoire intelligente et de bons acteurs. "On arrete de chercher des monstres sous notre lit quand on réalise qu'ils vivent dans notre intérieur."
"The Babadook" est un film assez complexe, qui peut être classé dans le genre épouvante, mais aussi dans la catégorie drame psychologique. Ici on suit une mère et son enfant, qu’elle ne supporte pas et qu’elle n’arrive pas à aimer suite à la mort de son mari survenue le jour de la naissance de l’enfant. On dit toujours que les enfants ressentent parfaitement les non-dits et c’est le cas ici, l’enfant est insupportable, il dort mal chaque nuit, il essaye d’être en fusion avec sa mère alors qu’elle le repousse toujours plus ou moins, et cet amour devient de plus en plus étouffant pour cette mère borderline. Quand ils découvrent le livre du Babadook, l’enfant peut enfin mettre un nom sur ses angoisses, tout comme sa mère qui au fur et à mesure prend conscience de la "réalité" de ce personnage. Les scènes d’apparition du Babadook sont assez effrayantes, surtout que le cadre de vie de la famille n’est pas rassurant, une grande maison silencieuse, toute en nuances de gris, le Babadook fait irruption dans la chambre à coucher, lieu sacré pour les parents mais lieu d’angoisse pour beaucoup d’enfants. Rêve ou réalité, la question peut se poser mais finalement le dénouement du film ne laisse plus de doute, à vous de découvrir cette fin bien entendu, il serait dommage d’en dire plus. Mais "Mister Babadook" est clairement un film qui donne à réfléchir et non pas uniquement un film d’horreur. Aussi, j’ai beaucoup aimé le look du Babadook, très simple mais tellement angoissant, cette silhouette d’épouvantail sinistre représente à merveille les peurs enfantines dignes du croque-mitaine, certains pourront le trouver plutôt grotesque, mais dans l’imaginaire d’un enfant j’imagine que c’est une bonne représentation de la peur. Je ne peux que vous conseiller de le voir, en mettant de côté la bande annonce qui fait du sensationnel.
Ce films me laisse un sentiment insatisfaction qui résulte d'un scénario qui a force de prendre le contre-pied, devient bancale. Le monstre au final se résume à tamagoshi, Nintendog, animal crossing. Les scénaristes portent atteintes à sa dignité
Ce film utilise brillamment les codes du film d'horreur pour traiter des affres de la maternité. Résultat : un drame terrifiant et superbement réalisé.
Bien que le film dispose d'une ambiance réussie, le film peche par le choix des acteurs. Surtout celui du petit garçon, qui agace beaucoup trop. Les jumpscare sont ultra prévisibles, et le film ne renouvelle pas le genre. S'oubliera très vite
Sans Spoiler ce Mister Babadook Jennifer Kent enquille dans ce premier film, en les renouvelant et même en s'en amusant, tous les clichés du film de possession et de maison hantée. Du grand cinéma!
Malgré un début laborieux, « Mister Babadook » se révèle un film agréable à suivre. La jeune réalisatrice Australienne Jennifer Kent, dont c'est le premier film, ne semble pas manquer de repères cinématographiques et on reconnaît pas mal d'influences plutôt intéressantes dans sa première œuvre. Elle parvient fort bien à installer une ambiance glauque et oppressante qui fait lentement monter la tension au fur et à mesure qu'on approche du dénouement. Certaines scènes sont d'ailleurs assez flippantes même si le manque d'argent est parfois évident. En jouant habilement sur nos peurs primales et sur le caractère terrifiant des contes pour enfants, l'histoire nous trimbale entre un personnage imaginaire plutôt effrayant et la folie pathologique dont semblent souffrir les deux personnages principaux. On hésite entre les deux jusqu'à la scène finale qui fait pencher la balance du côté de la maladie mentale. La fin aurait d'ailleurs méritée un meilleurs traitement et nous laisse un peu sur notre faim. Ceci dit, « Mister Babadook » se révèle plutôt prometteur pour la suite de la carrière de Jennifer Kent, dont on entendra sans doute reparler. Le festival du film fantastique de Gerardmer ne s'y est pas trompé en lui accordant 4 prix dont celui de la critique et celui du jury... Pas mal pour un début !
Pas mal, fais bien flipper. Par contre, le dernier 1/4 d'heure est un peu décevant, ça finit en queue de poisson... Dommage, car la nuit où le Babadook est énervé ça envoie sérieusement du bois ! J'ai eu quelques frissons qui m'ont parcouru ! Bon film d'angoisse, pas un must mais bien cool quand même.
L'angoisse pesante est clairement la,avec une actrice principal campant vraiment bien son rôle en mère désabusé,mais le problème s'est qu'il manque quelque chose on se demande ou la réalisatrice veut nous emmener avec son Mister Babadook comme si on s'etait fait tromper sur la marchandise fort dommage car y'avait de l'idée
L'histoire est pas trop mal mais le gamin a été très pénible à gueuler tout le temps dans la 1ere partie du film, ça m'a un peu saoulé ^^ Sinon le film était quand même angoissant et c'est bien ce qu'on demande à ce genre de film. La moyenne 2,5/5 (j'enlève 0,5 à cause du gosse !)
L'ambiance est prenante. La photographie est tres dénaturée ce qui donne une atmosphère très particulière. Car c'est bien là tout le film. Le scénario est tres moyen.
Décidemment je ne comprends rien au cinéma. 3,5 en critique presse? Ce film est du vent, complètement du vent. Partant déjà mal avec un gamin totalement insupportable et une mère avec 2 de tension, le film tourne pas mal avec l'apparition du livre et à savoir si tout est inventé ou si le Babadook existe vraiment. Et... voila. Le néant s'en suit, néant scénaristique avec aucune explication plausible et une fin incompréhensible. Des scènes très longues et ne servant à rien sont sûrement là pour combler ce puits sans fond. Même curieux, évitez vous ce supplice.
Pour son premier film, la réalisatrice arrive à un mélange équilibré entre les codes du film de genre et tous les éléments contribuant à rendre véritablement poignant le drame familial se déroulant sous nos yeux.
Un équilibre qui n'existerait pas sans la justesse d'interprétations poussées pourtant dans les extrêmes, surtout pour la mère. On appréciera aussi que le surnaturel soit ici employé pour quelque-chose d'un peu plus profond que simplement vendre du popcorn et foutre les chocottes aux spectateurs. De ce côté, on vous rassure, le film y arrive très bien.
Véritable entité surnaturelle ou conséquences effrayantes d'une mère au fond du gouffre ? À vous de juger !!!