Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Critikat.com
par Vincent Avenel
Jennifer Kent conjugue avec un formidable talent la grammaire horrifique pure et une profondeur thématique bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un conte onirique, à la fois terrifiant et bouleversant, déjà un classique du genre.
20 Minutes
par Caroline Vié
Malgré ses maladresses, Mister Badabook vaut cent fois mieux que la plupart des films d’horreur sortant sur nos écrans.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Ilan Ferry
S'il y a bien une chose que ce conte allégorique sait cultiver, c'est l'effroi.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La réalisation de Jennifer Kent est très sombre. Tout le film se déroule pratiquement la nuit. Elle y induit constamment la peur de ce qui cache sous le lit, dans l’armoire, avec un réalisme à chaque fois sensible, par une poésie visuelle, non spectaculaire, mais émotionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Maniant avec la même puissance l'émotion, la fragilité, l'amour, la haine et la fureur, [Essie Davis] habite le film de bout en bout, et apporte toute la folie indispensable au film.
La Voix du Nord
par CC
[...] un premier long métrage qui emprunte autant à Polanski qu'à l'expressionnisme allemand. Son étude familiale (...) affronte un tabou hissant son oeuvre au-dessus du simple film de genre, même s'il n'en délaisse pas les codes.
Le Monde
par Sandrine Marques
Dans un geste élégant et assuré, Jennifer Kent déploie ses visions d'éffroi qui s'allient à la grande plasticité d'un film, visuellement saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Un premier long métrage à rebours des modes, tourné presque en huis clos et qui repose sur la prestation d'Essie Davis.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Un premer essai australien, élégant et flippant, qui renoue avec les origines du cinéma d'horreur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Bruno Icher
Bien structuré par ce motif de l’impossible oubli, le film est surtout l’occasion pour la cinéaste de s’amuser, se confronter à ses propres mythes et, sans doute, à ses propres peurs enfantines.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Remarquablement intelligent, le scénario s’appuie sur le fantastique pour plonger dans l’inconscient des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Dominique Martinez
Ce qui sidère, dans ce premier film australien, c'est la beauté des plans qui se succèdent (...), l'élégance des décors. Le scénario, finement taillé à la frontière de la folie dépressive et du surnaturel, ancre le film dans la réalité.
TF1 News
par Romain Le Vern
Film d'angoisse ultra-efficace sur l'instant, "Mr Babadook" recèle surtout un drame émouvant sur le désarroi d'une mère et son fils, seuls avec leurs démons.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
aVoir-aLire.com
par Pierre Vedral
Au final quand le frisson parcourt l’échine, que les personnages sont traités avec autant de justesse et que l’interprétation suit, on ne peut qu’applaudir ce premier jet à la fois modeste et éminemment réussi..
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
par Hubert Lizé
Efficacement réalisé, ce film d'horreur aux effets spéciaux minimalistes (...) repose essentiellement sur l'atmosphère oppressante qui saisit peu à peu les personnages, et les conduit aux frontières de la folie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La rédaction
Un premier film (...) qui cultive habilement tous les ingrédients du genre, à défaut de les réinventer. Mais ça fonctionne, avec une frissonnante présence du duo parmé par Noah Wiseman et Essie Davis.
Première
par Thomas Agnelli
A l'instar de "Sixième Sens", "Mister Babadook" examine par le prisme du mélodrame horrifique la relation émouvante entre une mère névrosée et son fils, qu'elle n'a jamais su aimer.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le basculement dans l’horreur se confond bientôt avec l’application d’un programme, et les apparitions décevantes du croque-mitaine achèvent de lui retirer la moindre parcelle de mystère et d’épouvante.
Le Dauphiné Libéré
par La rédaction
Un film d’épouvante un peu trop lourdement fidèle aux lois du genre.
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Visiblement persuadée d'être plus intelligente que son sujet, Kent passe dès lors à côté de ses idées les plus prometteuses, [...].
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Contrecoup de ce savoir-faire : trop appliqué, réfléchi, soucieux de remplir les blancs, il dilapide le pouvoir de mystère et d’effroi du film.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jérémie Couston
Jennifer Kent enquille dans ce premier film, sans jamais les renouveler, ni même s'en amuser, tous les clichés du film de possession et de maison hantée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
Jennifer Kent conjugue avec un formidable talent la grammaire horrifique pure et une profondeur thématique bouleversante.
Le Journal du Dimanche
Un conte onirique, à la fois terrifiant et bouleversant, déjà un classique du genre.
20 Minutes
Malgré ses maladresses, Mister Badabook vaut cent fois mieux que la plupart des films d’horreur sortant sur nos écrans.
CinemaTeaser
S'il y a bien une chose que ce conte allégorique sait cultiver, c'est l'effroi.
Franceinfo Culture
La réalisation de Jennifer Kent est très sombre. Tout le film se déroule pratiquement la nuit. Elle y induit constamment la peur de ce qui cache sous le lit, dans l’armoire, avec un réalisme à chaque fois sensible, par une poésie visuelle, non spectaculaire, mais émotionnelle.
L'Ecran Fantastique
Maniant avec la même puissance l'émotion, la fragilité, l'amour, la haine et la fureur, [Essie Davis] habite le film de bout en bout, et apporte toute la folie indispensable au film.
La Voix du Nord
[...] un premier long métrage qui emprunte autant à Polanski qu'à l'expressionnisme allemand. Son étude familiale (...) affronte un tabou hissant son oeuvre au-dessus du simple film de genre, même s'il n'en délaisse pas les codes.
Le Monde
Dans un geste élégant et assuré, Jennifer Kent déploie ses visions d'éffroi qui s'allient à la grande plasticité d'un film, visuellement saisissant.
Les Fiches du Cinéma
Un premier long métrage à rebours des modes, tourné presque en huis clos et qui repose sur la prestation d'Essie Davis.
Les Inrockuptibles
Un premer essai australien, élégant et flippant, qui renoue avec les origines du cinéma d'horreur.
Libération
Bien structuré par ce motif de l’impossible oubli, le film est surtout l’occasion pour la cinéaste de s’amuser, se confronter à ses propres mythes et, sans doute, à ses propres peurs enfantines.
Paris Match
Remarquablement intelligent, le scénario s’appuie sur le fantastique pour plonger dans l’inconscient des personnages.
Positif
Ce qui sidère, dans ce premier film australien, c'est la beauté des plans qui se succèdent (...), l'élégance des décors. Le scénario, finement taillé à la frontière de la folie dépressive et du surnaturel, ancre le film dans la réalité.
TF1 News
Film d'angoisse ultra-efficace sur l'instant, "Mr Babadook" recèle surtout un drame émouvant sur le désarroi d'une mère et son fils, seuls avec leurs démons.
aVoir-aLire.com
Au final quand le frisson parcourt l’échine, que les personnages sont traités avec autant de justesse et que l’interprétation suit, on ne peut qu’applaudir ce premier jet à la fois modeste et éminemment réussi..
Le Parisien
Efficacement réalisé, ce film d'horreur aux effets spéciaux minimalistes (...) repose essentiellement sur l'atmosphère oppressante qui saisit peu à peu les personnages, et les conduit aux frontières de la folie.
Ouest France
Un premier film (...) qui cultive habilement tous les ingrédients du genre, à défaut de les réinventer. Mais ça fonctionne, avec une frissonnante présence du duo parmé par Noah Wiseman et Essie Davis.
Première
A l'instar de "Sixième Sens", "Mister Babadook" examine par le prisme du mélodrame horrifique la relation émouvante entre une mère névrosée et son fils, qu'elle n'a jamais su aimer.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
Le basculement dans l’horreur se confond bientôt avec l’application d’un programme, et les apparitions décevantes du croque-mitaine achèvent de lui retirer la moindre parcelle de mystère et d’épouvante.
Le Dauphiné Libéré
Un film d’épouvante un peu trop lourdement fidèle aux lois du genre.
Mad Movies
Visiblement persuadée d'être plus intelligente que son sujet, Kent passe dès lors à côté de ses idées les plus prometteuses, [...].
TéléCinéObs
Contrecoup de ce savoir-faire : trop appliqué, réfléchi, soucieux de remplir les blancs, il dilapide le pouvoir de mystère et d’effroi du film.
Télérama
Jennifer Kent enquille dans ce premier film, sans jamais les renouveler, ni même s'en amuser, tous les clichés du film de possession et de maison hantée.