Mon compte
    Mon Roi
    Note moyenne
    3,9
    9455 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Mon Roi ?

    566 critiques spectateurs

    5
    94 critiques
    4
    270 critiques
    3
    101 critiques
    2
    54 critiques
    1
    28 critiques
    0
    19 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Vergnus
    Vergnus

    9 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mars 2016
    Emmanuelle Bercot exceptionnelle et servie merveilleusement par la caméra de Maiwenn et aussi par un très bon Vincent Cassel dans son rôle de pervers.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 janvier 2016
    Plus qu'un duo, une symbiose. Maiwenn pousse le jeu des acteurs de façon magistrale. On vit le film. Bravo.
    The Rotisseur
    The Rotisseur

    47 abonnés 494 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 janvier 2016
    Encore une très belle surprise de la part de Maïwenn. Après le très bon et choquant "Polisse", celle-ci part sur un schema de film plus classique, mais doté d'une écriture soignée. Après ça, les performances des acteurs s'ajoutent avec la présence de Vincent Cassel et Emmanuelle Bercot sur un duo qui fonctionne avec brio. Mon Roi est donc une énième oeuvre de qualité qui entre sans hésitation dans la catégorie des films à voir de Maïwenn.
    Michel P.
    Michel P.

    5 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 janvier 2016
    Après le bouleversant "Polisse", le nouveau Maïwenn conte l'histoire d'une passion destructrice entre Gregorio, un sacré connard, insouciant, déconneur et fêtard, et Tonie, une fille banale et simple, amoureuse folle, qui en fait, découvre qu'elle ne ne connaît pas vraiment l'homme qui lui a donné un enfant.

    « On quitte quelqu'un pour la même raison que celle qui nous l'a fait aimer

    Impressionnants sont Vincent Cassel et Emmanuelle Bercot : lui passe à merveille d'un personnage joyeux vers un registre sombre en incarnant cet être changeant, immature et instable, Elle joue une femme qui essaie de résister mais qui craque à force de vouloir se raconter des histoires. Une rupture psychologique mais aussi physique. La réalisation est brillante. La dernière scène est psychologiquement très forte.

    Le film est parfois drôle, à l'image de Grégorio qui essaie de recoller les morceaux, en se transformant en serveur de restaurant devant les clients hilares pour épater son ex-femme.

    Mention spéciale aux jeunes du centre de rééducation d'hossegor, dont le bien connu Norman du web.

    Pourtant, il n'y a pas la claque de "Polisse". Le cinéma nous offre déjà beaucoup d'histoires d'amour qui finissent mal en général. Mon Roi est une de plus, certes brillante, mais qui vaut essentiellement par ses interprètes.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 janvier 2016
    Ne pas avoir été conquis par les précédents films de la réalisatrice - si ce n'est peut-être par "Polisse" - n'empêche pas le désir de lui redonner une chance. Et de fait, durant la première moitié de "Mon Roi", on veut y croire, le film est séduisant et présente d'indéniables qualités : l'intensité des émotions, une bande originale accrocheuse et une superbe scène de rencontre entre les deux protagonistes, dans une boîte de nuit, au début du film. Et pourtant le film est rattrapé par ses faiblesses, qui sont en germe dès la première partie, et finalement se déploient dans la seconde. La psychologie des personnages est caricaturale, les traits sont forcés, ce n'est pas la première fois chez Maïwenn. Or, dans "Mon Roi", ce défaut se fait de plus en plus net, et finit par agacer. Et puis, à force de vouloir faire surgir les émotions chez le spectateur, le film en fait trop et finit par atteindre l'effet contraire au résultat espéré. Toutefois, les acteurs sont bons: Bercot, Cassel, ainsi que Louis Garrel, d'ailleurs un peu à contre-emploi sans pour autant perdre son aura. Les faiblesses du film ne sont pas à mettre à leur compte mais s'expliquent plutôt, sans doute, par les partis pris douteux du metteur en scène et des scénaristes. Le film finit par tourner en rond une fois que l'on en a compris les enjeux ; il arrive un moment - qui vient bien trop tôt - où l'on sent que tout est joué d'avance et que le film n'offrira plus aucune surprise. On ne passera jamais un mauvais moment à regarder "Mon Roi" ; cependant on perd peu de choses si l'on décide de s'en dispenser.
    jloup13
    jloup13

    40 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 janvier 2016
    Difficile a priori d'être touché par cette rencontre entre une femme faible et presque hystérique et un séducteur narcissique. Pourtant l'intelligence du scénario et les deux acteurs parviennent à nous faire nous sentir concernés
    NewBoorn
    NewBoorn

    60 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2016
    "Mon roi", comme le précédent "Polisse", représente la marque de fabrique Maïwenn, véritable condensé d'émotions fortes qui finit par éclater, au plus près des personnages, de leur joie, leur souffrance, leur frustration... Ici, l'auto-destruction du couple Cassel/Bercot est usante psychologiquement pour le spectateur, bien évidemment due au formidable duo d'acteurs. Si le premier en fait parfois un peu trop des caisses, la seconde est criante de vérité, dans sa désolation et sa perdition, mais aussi son indéboulonnable volonté de se raccrocher au petit grain de sable qui pourrait lui permettre de respirer, d’espérer. Véritables montagnes russes émotionnelles, la représentation de ce mariage fait la part belle au questionnement chez nous, on sort de la salle légèrement sonné avec la désagréable impression que cela peut nous arriver. L'amour est également une autre forme d'addiction, et comme n'importe quelle autre drogue, peut être dangereux et dévastateur. "Mon roi" existe pour nous le démontrer, et on y croit.
    Charles G
    Charles G

    34 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 janvier 2016
    Voici le dernier film de Maïwenn, très attendu car le dernier, Polisse, fait partie des rares 4 étoiles décernées par Noir Amer. Ici, on se penche sur la rencontre de Tony (une femme jouée par Emmanuelle Bercot, récompensée pour ce rôle par le prix d'interprétation féminine au festival de Cannes) et Georgio (Vincent Cassel), qui les mènera à une rupture assez violente. Toute la partie rencontre, séduction, premiers émois du couple est très agréable à suivre, bien qu'on sache que cela ne durera pas ; le film se passe en flash-backs et on voit bien que Tony est détruite, physiquement et mentalement. Et puis, le film entre dans le coeur du sujet. Passée la phase merveilleuse de la découverte innocente, arrive la vie à deux et le quotidien. Georgio ne souhaite pas perdre sa liberté, ce qui saoule Tony, qui se braque et saoule Georgio à son tour. On a tous connu ça, et il y a bien quelques scènes de discorde qui feront mouche à vos yeux, vous rappelant quelques heures sombres de votre passé. Sauf que c'est la répétition des comportements immatures de Georgio qui épuise Tony, et donc le couple, et Maïwenn décode de nous montrer toutes ces scènes, en alternant les belles promesses et les déceptions. Et si Tony vit tout cela de moins en moins bien, il en va de même du spectateur, qui fatigue également de ce traitement. De plus, la narration du film lui ôte tout suspense, et vient un moment où le spectateur éprouvé se demande ce qu'il a encore à attendre du film. Le générique de fin, sans doute. Il y avait de l'idée derrière cette histoire, mais elle n'a à mon avis pas été assez travaillée pour l'adapter au cinéma en en faisant un film vraiment intéressant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 janvier 2016
    Très beau film. Bien mieux que Polisse. D'une grande maitrise. On est emporté par cette histoire toxique. Un des grands films français de l'année 2015.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 décembre 2015
    Ce film très pertinent et drôle par moments permet de bien saisir la difficulté à s'extraire de l'emprise d'un pervers narcissique. Il montre avec finesse l'ambiguité de ces derniers, leurs mouvement d'humeur incompréhensibles, leur pouvoir de séduction.
    Ciné2909
    Ciné2909

    69 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 décembre 2015
    C'est une réalisatrice qui ne peut pas vous laisser indifférente et c'est pourquoi Maïwenn était encore une fois attendue avec Mon roi. Le film s'ouvre sur une femme brisée à la fois physiquement et mentalement ; les origines de ce mal nous sont alors dévoilés progressivement à renforts de flashbacks. Évidemment tous nos regards sont braqués sur une formidable Emmanuelle Bercot très justement récompensée par le Prix d'interprétation féminine durant le Festival de Cannes 2015. Un film intense qui nous fait passer par toutes les émotions servi par un casting solide et une mise en scène moderne.
    Torrance1980
    Torrance1980

    18 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 décembre 2015
    Maïwenn a, depuis ses débuts derrière la caméra en 2006 avec Pardonnez-moi, fait son trou dans le circuit du cinéma français. Si elle est à ce jour, l’une des artistes les plus en vogue de l’hexagone (depuis le succès du Bal des actrices, chacun de ses films est attendu par un large panel), l’actrice/réalisatrice divise autant qu’elle ne plaît. Mon Roi, n’échappe pas à la règle, sa présentation au dernier Festival de Cannes a généré de nombreux ébats, parfois élogieux ou au contraire, calomnieux.
    Réunissant à l’écran, Emmanuelle Bercot et Vincent Cassel, Mon roi raconte la relation tumultueuse entre Tony (Bercot) et Georgio (Cassel). Georgio est un pervers narcissique et Tony une femme fragile et instable. Partant de ce postulat de départ, tout laisse présager une kyrielle de crises de nerfs ! Et comme on est chez Maïwenn, le résultat n’est pas décevant. Rentré dans le vif du sujet, il ne se passe pas une minute sans que ça crie, se dispute, se sépare, se réconcilie,… La réalisatrice de Polisse ne nous épargne rien. Sans pour autant que ça en devienne ampoulé et pompeux, le film manque cruellement d’enjeux, il n’y a un peu prêt rien d’intéressant dans l’évolution des personnages. Que ce soit Tony qui reste victime de sa dévotion durant une grosse partie du film avant de se ressaisir ou Georgio qui n’est rien d’autre qu’une ordure qui ne cesse de manipuler et séduire ; l’écriture caricaturale de ces deux archétypes d’un cinéma français populaire et bourgeois empiète sur cette pseudo-réflexion de relations humaines et de mœurs sans grande perspicacité. Et si Vincent Cassel arrive à insuffler une certaine ambiguïté à cet ogre vert aux apparences de chevalier blanc, sa partenaire, Emmanuelle Bercot, semble avoir un peu plus de mal à donner corps à son personnage, cabotinant l’hystérie dans des scènes qui semblent aussi éprouvantes pour elle que pour nous spectateur.
    Pourtant, Maïwenn, filme ses acteurs comme on tombe amoureux, aucune pudicité, les corps s’entremêlent et ne font plus qu’un. La réalisatrice continue à utiliser la caméra à l’épaule (devenu marque de fabrique de son cinéma), mais semble plus apaisée, soignant une mise en scène qui était par moment exubérante. Ses cadres respirent la légèreté et la sensibilité à fleur de peaux, on ressent cette envie que Maïwenn a, de vouloir partager, de brasser ses expériences de vie (tous ses films ont une part autobiographique) non sans un brin d’égotisme.
    Maïwenn semblerait avoir atteint une certaine maturité au niveau de la forme pour son quatrième film (enfin diront certains). Maintenant reste le principale point faible de cette jeune artiste cabocharde, qui à force de puiser son inspiration dans ses acteurs et dans sa vie personnel risque de se répéter péniblement, si ce n’est déjà le cas.
    Veneto
    Veneto

    19 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 avril 2023
    Après le brillant Polisse, Maïwenn s’attaque à une relation amoureuse et destructrice du couple Georgio-Tony (Marie-Antoinette) magistralement interprété par le couple Vincent Cassel/ Emmanuelle Bercot.
    spoiler: Dire de ce film qu’il n’est féministe et Georgio est un pervers narcissique est évidemment réducteur. C’est beaucoup plus complexe…les sentiments ambigüs de Georgio, séducteur, magouilleur et fêtard invétéré aussi détestable que drôle à souhait, et qui voit en Tony la mère de son 1er enfant. Tony aime aussi à « sa » façon, sous le charme mais aussi sous l’emprise de son bourreau et des antidépresseurs, elle s’enlise…malgré le soutien indéfectible son frère (l’excellent Louis Garrel), consterné et impuissant.

    C’est un film vrai, les dialogues justes, parfois improvisés et on s’en réjouit, spoiler: l’histoire d’un couple qui s’aime et qui n’y arrive pas, qui se fuit autant qu’il se suit. Film qui ne déverse pas dans le pathos ni dans le manichéisme primaire, au contraire il y a un message d’espoir et de combat…comme celui de la rééducation du genou de Tony… la rééducation du « je-nous ».
    Sublime.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 décembre 2015
    Film brillant et puissant.
    Beaucoup d’émotion.
    Les acteurs Vincent Cassel et Emmanuelle Bercot sont époustouflants !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 décembre 2015
    Cassel est excellent. Cela peut évoquer des faits réels à de nombreuses personnes. Ou Maiwenn va chercher ses idées ?
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top