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    Mon Roi
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    566 critiques spectateurs

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    Nicothrash
    Nicothrash

    368 abonnés 3 025 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 novembre 2015
    Une claque, une nouvelle fois Maïwenn tape juste et nous livre un film touchant et percutant. On débute par une sorte de comédie réaliste et particulièrement drôle aux dialogues ciselés et à la mise en scène plutôt dynamique pour le genre et plus on avance, plus on ressent un problème, un malaise latent, insidieux. Tout l'enjeu commence alors à prendre forme et on comprend la scène d'entrée, ainsi que l'état mental de Tony car oui ce film est par moment très drôle mais il dénonce surtout et de manière très intelligente l'emprise qu'ont les pervers narcissiques sur leur entourage, c'est saisissant et on passe du rire à l'émotion en un rien de temps grâce notamment à un duo d'acteurs exceptionnel. Vincent Cassel livre une de ses meilleures prestations et Emmanuelle Bercot est impressionnante de justesse, les deux se donnent corps et âme pour leurs rôles, bien aidés également par des seconds rôles intéressants et très justes. Justes, comme les dialogues qui claquent et résonnent dans les têtes lorsque Cassel passe de la bienveillance au cynisme le plus dur, des dialogues et une direction d'acteur qui rappellent Jacques Audiard, on y croit et certaines scènes prennent vraiment aux tripes. Maïwenn parait connaitre son sujet sur le bout des doigts, la perversion, l'intelligence, l'érudition et la manipulation transpirent de Cassel, mi-ange mi-démon et on ressent la difficulté qu'éprouve Bercot à se sortir de ses griffes, plus rabaissée que jamais. Un film qui sonne juste, intelligent et utile, presque indispensable et une nouvelle preuve de la maestria de Maïwenn.
    Nyns
    Nyns

    215 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2015
    Je ne vois pas trop comment une personne ayant côtoyé de près ou de loin les bas fonds d'une relation amoureuse destructrice pourrait ne pas être saisi par le réalisme de Mon roi. Maïwenn est beaucoup critiquée, l'envers de la médaille pour son profil et son succès inattendu, mais si on enlève le délire bobos sous-jacent, on a quand même quelque chose de propre et bien réalisé (pareil que dans Polisse). Vincent Cassel évidemment, trop évident d'ailleurs, on a presque l'impression que ce rôle est écrit pour lui, il se régale et ça se voit : l'homme viril dans toute sa splendeur, maitrise totale! Mon roi est le film typique qui montre le mauvais côté de l'amour, le côté pire du "pour le meilleur et pour le pire" un peu à la manière d'un Blue Valentine que j'avais aussi adoré. Même si je suis très fleur bleue et que rien ne vaut un bon Titanic ou un Love Actually, ce genre de film fait aussi du bien et nous rappelle que le plus noble des sentiments humains n'apporte pas que du bonheur dans certains cas. La métaphore de la reconstruction qui se fait aussi physiquement dans le centre spécialisé n'est pas ce que j'ai trouvé de plus utile à l'histoire, ça meuble plus qu'autre chose. En tout cas Emmanuelle Bercot n'est pas qu'une bonne réalisatrice et nous le prouve avec une interprétation poignante. Le cynisme du personnage de Louis Garrel est aussi très apprecié. La dernière partie du film se perd un peu, mais dans l'ensemble ça fonctionne très bien. Je conseille.
    Marcel D
    Marcel D

    104 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 novembre 2015
    Appréciant le travail de Maiwenn et celui de Vincent Cassel, je suis allé voir ce film avec des attentes. Attentes tout à fait comblées : on est happé par cette histoire (pourtant très commune) grâce au talent des acteurs (Bercot, Cassel, Garrel) et à une réalisation réfléchie et investie. Les dialogues sont drôles et percutants, interprétés avec beaucoup de naturel ce qui permet au film de ne pas trop sombrer dans le pathos ou de l'alourdir inutilement.

    Deux bémols : un peu de longueur et de répétitions (qui peuvent se justifier pour appuyer le propos du film) et une vision donnant clairement et un peu trop avec caricature le beau rôle à Madame et le mauvais rôle à Monsieur.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 novembre 2015
    Le roi de Tonie (Emmanuelle Bercot) est Giorgio (Vincent Cassel) la tornade. Amoureuse et passionnée de son homme, elle l’a dans la peau au point d’accepter de tenter l’aventure avec un être si différent d’elle. Dès le début, le spectateur tout comme Tonie se rendent bien compte où les rouages de la relation vont gripper. Giorgio, le séducteur, est un ouragan, un être bouillonnant de vie ; engloutissant tout sur son passage. A l’image de Tonie, les spectateurs passent à la lessiveuse. Maïwenn renoue ici avec l’énergie dévastatrice de son premier film (« Pardonnez-moi »). Giorgio joué par un Vincent Cassel énorme bouffe Tonie, les spectateurs, la caméra et l’écran ; un très grand numéro. Tout se gâte lorsque l’enfant arrive dont aucun d’entre eux ne veut se séparer. Le grand tour de force de Maïwenn est de parvenir à ne pas faire ni de Giorgio un sombre salaud manipulateur et ni de Tonie la victime de son gourou. Par contre, dans son scénario, elle ne parvient pas à sortir durant 2h de film, et c’est long et épuisant de la rhétorique attirance – répulsion. Elle décline toute la palette des conflits extra conjugaux sans arbitrer et faire de choix. Tout est très réaliste, mais la machine finit par tourner à vide ; amputer le film de quelques disputes pour réduire le tout de 20’ n’aurait pas été un luxe. Heureusement, Maïwenn ne cède pas à la facilité de durcir le propos de son sujet en y ajoutant la violence physique.
    On ne voit pas trop l’apport narratif des scènes en centre de rééducation ; si Maïwenn veut par là nous montrer par des flash backs à répétition la reconstruction physique et psychique de Tonie ; çà s’avère un peu boursoufflé.
    Donc cette histoire de deux êtres qui forment un couple qui s’autodétruit est un bon sujet surtout parce qu’il est porté par des acteurs transcendés par leur rôle. Vincent Cassel nous cannibalise par son charisme, Emmanuelle Bercot nous émeut par sa dépendance maladive à cet homme, Louis Garrel nous enthousiasme en homme simple à la parole libre au milieu d’un couple atypique… porté par un seul souci : sauver sa sœur de sa dépendance affective.
    Epuré çà aurait été mieux, mais que les acteurs donnent le meilleur.
    AHEPBURN
    AHEPBURN

    101 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2015
    J'ai beaucoup aimé le synopsis et l'interprétation est poignante pour Cassel et Bercot. C'est le deuxième film réalisé par Maiwen que je vois et je trouve que c'est une bonne réalisatrice. Je recommande vivement ce film.
    Juan 75
    Juan 75

    59 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2015
    Maïwenn confirme avec ce film être une directrice d'acteurs extraordinaire, Emmanuelle Bercot et Vincent Cassel sont éblouissants, d'une justesse extrême et leur jeu donne aux personnages des caractères extrêmement subtils alors que l'on pourrait avec un tel sujet être dans la caricature et l'excès. Comme toujours avec Maïwenn l'émotion est forte, elle naît d'une retenue sourde, d'une attente rentrée ; quand elle éclate, on est au bord des sanglots et de la suffocation. La réalisation, le montage et la bande son très discrète sont d'une grande sobriété mais on reconnait le style de la réalisatrice. Même si le film est différent de Polisse on retrouve les thèmes chers à Maïwenn : la trahison, la souffrance des sentiments, l'amour et l'amitié, la passion, l'excès... Pour moi, un des plus beaux films de l'année.
    opuhi
    opuhi

    5 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 octobre 2015
    En 1er lieu je ne trouve pas du tout que cassel soit un pervers et il est plutôt émouvant.
    le propos du film est de nous montrer qu'il y a forcément un fossé quand 2 personnes essaient de vivre ensemble alors qu'elles ont des modes de vie différents.
    le film est excellent et pas du tout hystérique à l'inverse des sous-entendus de certaines critique
    comme à son habitude maiwenn a un ton très juste et le film est bien construit et met des touches d'humour bienvenues
    je mets une note de 4 sur 5
    "Mon roi" c'est l'amour lui-même c'est merveilleux mais se mettre en danger et bercot et cassel ont chacun à supporter ce poids et de faire comme ils peuvent pour gérer les choses sans renoncer ...
    un conseil : aimer un poisson rouge
    bouddha5962
    bouddha5962

    61 abonnés 735 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 novembre 2015
    Maïween nous offre encore un long métrage plein de questionnement ! Elle nous avait déjà bluffé avec Polisse, avec Mon Roi, elle nous gifle encore une fois. Un thème simple : l'amour et la passion...

    Peut on aimer sans dépendance ?
    Peut on connaître à 100% sa moitié ?

    Elle nous renvoie à nos histoires personnelles, en nous présentant un être vivant et mystérieux : Georgio et une femme amoureuse : Tony (oui oui c'est un prénom féminin)...

    Un film sulfureux et très dérangeant. Vous ne ressortirez pas de ce film, sans vous poser au moins une question !
    Tony L'Ambassadeur
    Tony L'Ambassadeur

    35 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    Maïwenn nous prouve avec ce nouveau long métrage son grand talent de réalisatrice et arrive même à imposer un style, son style. On rit, on s’énerve, on sourit puis on pleure et on s’inquiète pour Tony, le personnage principal de Mon Roi. La réalisatrice réussit avec brio a ancrer des sentiments, des états d’esprit et des fatalités sur la toile. Le spectateur supporte, soutient, vit Tony et ça, c’est assez unique de nos jours au cinéma. Vincent Cassel est absolument bluffant et nul autre que lui ne pouvait donner vie et assumer le rôle de Georgio. Emmanuelle Bercot, quant à elle, est tout simplement hors norme, hors catégorie pour sa prestation qui perce littéralement l’écran. Une récompense plus que méritée!
    DarkAkuma02
    DarkAkuma02

    57 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 novembre 2015
    Vincent Cassel et Emmanuelle Bercot forment un couple ayant une relation destructrice. L'histoire nous est présentée sous forme de différents flash-back vus par Emmanuelle Bercot, très marquée, qui se remet d'un accident de ski.
    Je trouve que Maïwenn a réussi à cerner de manière très réaliste la manière dont peut se mettre en place une relation conflictuelle au sein d'un couple, tout en entraînant une certaine dépendance. Bien qu'Emmanuelle Bercot paraisse victime d'une certaine forme de violence psychologique, j'estime qu'une qualité de ce film est que les personnages sont nuancés. Ainsi, Vincent Cassel semble sincère dans ses réactions et chacun des personnages a l'air subir la situation. La très bonne interprétation des deux protagonistes contribue à la qualité de ce long-métrage. Même si le sujet est des plus austères, j'ai apprécié ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 octobre 2015
    Le film est bon...malgré tout j'ai quelques réserves par moment l'ambiance hystérique peut être agaçante et lassante...Vincent Cassel est tout simplement divin...une performance d'acteur génial
    Alisson G
    Alisson G

    19 abonnés 235 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 novembre 2015
    Un superbe film, une grande claque dont on se délecte à chaque minute car, chose rare pour le genre, aucune longueur ou temps mort ne sont à déplorer durant ces 2 heures ! Au-delà de l’exceptionnelle justesse d’interprétation des deux acteurs (et même des seconds rôles, qui ne sont pas en reste!), le style de Maïwenn dépote, malgré un sujet très souvent abordé au cinéma. Entre émotion, déchirements et fous rires, la réalisatrice nous emmène au plus profond de l’intimité de ses personnages, sans fausse note. Une réussite !
    Loïck G.
    Loïck G.

    336 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 octobre 2015
    Maïwenn sort une fois encore des sentiers battus pour parler cette fois de l’amour et du désamour, en y incluant un parallèle osé, très documenté, sur la rééducation du genou. Connaissant un peu le sujet, je n’ai rien à redire sur la méthode, même si elle peut rebuter certains propriétaires de prothèses. Le sujet est bien ailleurs, dans cette rééducation à la vie qu’entame une jeune femme sur son lit douleur. Une convalescence propice à une analyse de son récent passé en compagnie d’un homme qu’elle a aimé jusqu’à la déraison, s’arrêtant un jour de penser, elle dont la profession, avocate, était justement de venir en aide aux autres. Une liaison fracassante que Maïwenn aborde très frontalement, sans prendre de gants, ni de capote. Elle mêle tel un patchwork l’avant et l’après, dans des corps à corps abandonnés et des coups de gueule qui se succèdent. En compagnie d’une kyrielle d’excellents comédiens. Vincent Cassel, Emmanuelle Bercot (prix d’interprétation à Cannes), Louis Garrel …
    Pour en savoir plus
    virnoni
    virnoni

    98 abonnés 578 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 novembre 2015
    Une chose est sure : Maïwenn ne laissera jamais indifférente! On assiste ici encore une fois à un film assez coup de poing, dans un autre registre que Polisse : les sentiments amoureux, la vie et le mort (ou pas!) d'un couple. On sent une direction d'acteurs assez hallucinantes. Le prix d'interprétation pour Emmanuelle Bercot n'est pas usurpé mais déception que Cassel ne l'est pas eu aussi. Les rôles de salauds seraient-ils effrayants à récompenser ? Honneur aux victimes ? Leur couple fait littéralement des étincelles. On les sent corps et âmes dans leurs rôles, rare de ressentir autant de naturel et spontanéité. Bravo. Visuellement, la caméra suit de près ces 2 personnages (fêlés dans tous les sens du terme) et capte chaque souffle, émotion, cris etc comme autant de vérités mises à nues. Bouleversants, dérangeant aussi et étouffant parfois. On vibre et ressent avec cette femme. Le processus de la manipulation psychique est aussi bien exprimé et rendu. Pas de jugement possible. Qui ne craquerait pas pour Cassel et sa séduction incarnée? Après, c'est ici que l'on voit que tout réside dans ce couple d'acteurs. Avec d'autres on aurait pu tourner au ridicule, à la perte du magnétisme et de notre empathie, autant pour elle que pour lui (exploit!). Car c'est ici que frappe souvent fort la réalisatrice : oser oui, risquer des scènes, se tenir à la frontière du "border line", mais toujours rester à la limite du "tolérable" et "pardonnable" au final. Le fait de ne pas surligner par de la musique par exemple y contribue. Quelques scènes sont accompagnées par un son simple et presque tendre, en parfaite adéquation avec la scène, pas de "fard" inutile. J'espère une séance de rattrapage pour Cassel aux Césars, rien que pour son immense carrière et ses paris osés. Le film ne laisse donc pas indifférent, les hommes peuvent ressentir d'autres émotions que les femmes (pour preuve entre mon mari et moi : grand débat en sortant sur chacun des "héros" de cette histoire). car ce film secoue et réveille des sensations contradictoires et même brutales sur le couple. La manipulation amoureuse pourrait-elle arriver à tout le monde ? Est-ce quand même de l'amour pour celui qui manipule ?
    Ce qui est d'autant plus intéressant, c'est que Maiwenn ne fait pas de psycho à 2 sous, pas de portrait caricatural et psy de cet homme et de cette femme (alors qu'on se doute bien que leur vécu commun est lié à leur propre histoire familiale et affective précédente) : on les prends tels quels à un moment donné. Comme eux, on prend les choses au fur et à mesure, brutes comme merveilleuses.
    Mention à Louis Garrel également; seul élément "réel" côté sentiment, un port d'attache pour l'héroïne. Assez magistral lui aussi. Bémol : toujours cet aspect "bobo" dans ses films, assez clinquant mais on lui pardonne!
    A voir donc sans hésitation pour être secoué, parler du couple et même de bien au-delà que ce seul thème : que et qui sommes-nous face au sentiment amoureux ?
    Septième Sens
    Septième Sens

    84 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 novembre 2015
    « Tu me reconnais non ?! ». Première apostrophe de Tony lancée vers Georgio, qui se rencontrent pour la première fois. Avant même de commencer leur romance, les deux amants ont déjà vécu dix vies, traversé cent problèmes, éprouvé mille sentiments. Ensemble. Maïwenn retrace dix ans de cette histoire (pas) comme les autres.

    Bercot (faible, puissante, éclatante) et Cassel (dominateur, ensorcelant, dangereux) livrent des prestations démesurées pour incarner l'amour jusqu'à l'épuisement. La passion, venimeuse et flamboyante, inonde le cadre de la cinéaste qui filme un récit construit telle une mosaïque. Comme Polisse précédemment, l'existence s'apparente à un puzzle assemblé de pièces déchirantes d'humanité. Chacune abrite son lot de pulsions intérieures, de sentiments inavoués, de compromis destructeurs. Elles dissimulent aussi un flot de mots continu. Parler d'abord, pour recoller les morceaux. Crier ensuite, pour tenter de les défaire. Pleurer enfin, puisque les personnages n'y arrivent plus.

    Mon Roi incarne le mouvement. La fuite en avant, la boucle infinie, l'éternel recommencement. Tant de voies prises pour espérer voir un jour notre foyer se reconstruire, sans jamais vraiment y croire. La réalisatrice parle du couple avec détresse et fait du cinéma comme si sa vie en dépendait. Avec démesure, aversion, mauvaise foi, exaltation. Tant d'émotions ressenties pour voir une œuvre totale germer d'un esprit habité. Celui d'une femme, intranquille mais sereine, n'ayant plus besoin de se mettre en scène pour nous raconter une histoire.

    « Tu me reconnais non ?! » n'est pas seulement une invective destinée à Georgio. C'est également un message pour le public qui a lui aussi, tout de suite, les cartes en main. Que le jeu commence.
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