Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Paris Match
par Alain Spira
Energique jusqu’à l’hystérie, dialoguée avec brio, cette comédie dramatique écrite avec une profondeur charnelle, donne un bon coup de fouet à la compétition.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Guillemette Odicino
POUR : Ce film est une tempête. Un précipité amoureux. Chaque scène, comique ou tragique, est saisissante. Chez Maïwenn, une simple scène de drague prend une tournure insolite et désopilante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
par La Rédaction
Avec l’humour et la sensibilité qui la caractérisent, Maïwenn sonde au plus près l’intimité d’un couple lié par un amour dévastateur. Sa mise en scène est solide et les interprètes brillants.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Le film danse au bord des précipices de la leçon de psychologie et nous n'y voyons que vertiges de l'amour.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par La Rédaction
La raison principale d’aller voir "Mon roi", ce sont les acteurs. Ils nous entraînent n’importe où et surtout là où Maïwenn les mène.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Maïwenn a une incroyable capacité à tirer vers le haut tous ses acteurs, en particulier un Vincent Cassel meilleur que jamais.
Gala
par Jean-Christian Hay
Pour sa quatrième réalisation, Maïwenn filme avec légèreté et subtilité une histoire d’amour destructeur pourtant lourde et douloureuse. La rencontre entre Tony et Georgio est magique, pleine de charme et d’humour.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Express
par Eric Libiot
La caméra est à distance et pourtant si proche. La mise en scène capte au plus près les personnages et dit la singularité du couple. (...) Magnifiques, insupportables, aimables, aimants et amants. Leur histoire pour un grand film.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
À l’image de sa réalisatrice, le film fait preuve à la fois d’une lucidité impitoyable et d’une sensibilité à fleur de peau. La puissance de sa mise en scène et de son écriture, c’est cette impression troublante de pénétrer dans l’intimité des personnages pour assister à des moments de vérité.
Le Point
par Clara Brunel
La réalisatrice de "Polisse" met en scène avec brio une histoire d'amour tumultueuse portée à l'écran par Vincent Cassel et Emmanuelle Bercot.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Maïwenn a un talent qui éclipse tout, un coup de main qui agit comme une redoutable colonne de défense camouflant les déficiences de ses films : elle sait fabriquer de la scène, essorer ses acteurs dans des numéros de jeu extrêmement intenses et créer, à l’épuisement, l’illusion du réel par l’entremise d’un simple goût pour la gueulante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Jérôme Vermelin
C’est doux, c’est fort, c’est beau, c’est dur. C’est toujours juste grâce à la patience de la caméra et l’infinie générosité des comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
Chacun s'y reconnaitra, peu ou prou. Il y a comme un sentiment de déjà-vu, une sensation de déjà vécu, dans un scénario qui colle, avec conviction, à la réalité sociale du moment. (...) Surtout, il y a ses interprètes, qu'elle (Maïwenn) a l'art de choisir.
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
"Mon roi" est un regard féminin et les moments où Maïwenn tient cette promesse sont des instants de grâce : quand la caméra caresse le visage, les mains, la nuque de Cassel à la fin, après dix ans de drame et de fureur, avec un amour et un désir intacts, on touche à une vérité troublante.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
La cinéaste ne se complaît à aucun moment dans le pathos, prenant même soin d'éviter de charger davantage le personnage de Georgio.
TF1 News
par Romain Le Vern
Si "Mon Roi" n'est pas exempt de réelles faiblesses (la partie Norman, très ratée), Maïwenn dirige magistralement ses comédiens, les révélant comme on ne les a jamais vus. C'est valable pour Emmanuelle Bercot, pour Vincent Cassel mais aussi pour Louis Garrel.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Royal dans tous les registres, séduction, humour, violence, Vincent Cassel habite son rôle avec la force de l'évidence. Face au virtuose, la cinéaste a choisi sa complice Emmanuelle Bercot (...). Bluffante, elle y révèle une intensité et une vérité dans le jeu, dignes des plus grandes.
CinemaTeaser
par La Rédaction
Une tragédie intime et un peu vaine.
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Maïwenn renoue avec sa veine autobiographique, pour un récit trop binaire mais porté par un imposant duo d'acteurs.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Le film peut agacer, mais il est pourvu de réelles qualités d'écriture et d'interprétation.
VSD
par Bernard Achour
Entre tessons de vérités humaines, flambées de haine et aurores boréales de bonheur, le film orchestre une corrida de sentiments et d'élans contradictoires. Souvent fulgurant, mais aussi parfois gravement hors sujet.
Voici
par La Rédaction
A l'image de cette relation, le film est exalté, hystérique. Tout est paroxystique : la jouissance, la souffrance. Mais il y a aussi de l'humour, de la tendresse. Et Vincent Cassel.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Maïwenn filme la rencontre explosive entre un ogre et une princesse, un hédoniste et une fille rangée. Un cocktail haut en couleur toutefois lesté par un scénario et une réalisation trop convenus.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
"Mon roi" est comme lui : un dragueur de boîte de nuit. L’énergie qu’il déploie pour séduire peut faire rire. De là à se montrer dupe de ce beau parleur…
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
La réalisatrice tente le coup du grand huit émotionnel mais transforme son récit en petit théâtre hystérique et artificiel.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une succession de flashback racontant de manière répétitive les ruptures et les réconciliations sexuelles d’un couple. On s’en lasse…
Libération
par Julien Gester
"Mon Roi" (...) a beau jeu de se river au seul point de vue de son personnage féminin de suppliciée consentante, pour mieux se plier en définitive, corps et âme, aux manières du bourreau.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
Le film fouille plutôt du côté de "Confessions intimes", dont il partage l’égard pour la vie privée, et dont il fait sien le principe fondateur : la mise en scène de soi annule et remplace la mise en scène tout court.
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
"Mon roi" ou le journal intime de la vie creuse de petites vedettes de cinéma à qui tout semble permis (l'atroce scène du restaurant), qui n'ont rien à dire, rien à partager, rien à montrer d'autre que leurs nombrils étriqués.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Et alors, ça captive ? Comme une rubrique "courrier du cœur" qui exigerait plus de deux heures de lecture.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Dans "Mon roi", tout tombe à plat.
Télérama
par Pierre Murrat
CONTRE : La réalisatrice prétend y détailler la passion destructrice d'une jeune femme pour un bad boy sexy et bas de plafond. Seul le style peut transcender un sujet si souvent traité, et par les plus grands. Mais le style est précisément ce que Maïwenn n'a pas.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Paris Match
Energique jusqu’à l’hystérie, dialoguée avec brio, cette comédie dramatique écrite avec une profondeur charnelle, donne un bon coup de fouet à la compétition.
Télérama
POUR : Ce film est une tempête. Un précipité amoureux. Chaque scène, comique ou tragique, est saisissante. Chez Maïwenn, une simple scène de drague prend une tournure insolite et désopilante.
CNews
Avec l’humour et la sensibilité qui la caractérisent, Maïwenn sonde au plus près l’intimité d’un couple lié par un amour dévastateur. Sa mise en scène est solide et les interprètes brillants.
Culturopoing.com
Le film danse au bord des précipices de la leçon de psychologie et nous n'y voyons que vertiges de l'amour.
Elle
La raison principale d’aller voir "Mon roi", ce sont les acteurs. Ils nous entraînent n’importe où et surtout là où Maïwenn les mène.
Franceinfo Culture
Maïwenn a une incroyable capacité à tirer vers le haut tous ses acteurs, en particulier un Vincent Cassel meilleur que jamais.
Gala
Pour sa quatrième réalisation, Maïwenn filme avec légèreté et subtilité une histoire d’amour destructeur pourtant lourde et douloureuse. La rencontre entre Tony et Georgio est magique, pleine de charme et d’humour.
L'Express
La caméra est à distance et pourtant si proche. La mise en scène capte au plus près les personnages et dit la singularité du couple. (...) Magnifiques, insupportables, aimables, aimants et amants. Leur histoire pour un grand film.
Le Journal du Dimanche
À l’image de sa réalisatrice, le film fait preuve à la fois d’une lucidité impitoyable et d’une sensibilité à fleur de peau. La puissance de sa mise en scène et de son écriture, c’est cette impression troublante de pénétrer dans l’intimité des personnages pour assister à des moments de vérité.
Le Point
La réalisatrice de "Polisse" met en scène avec brio une histoire d'amour tumultueuse portée à l'écran par Vincent Cassel et Emmanuelle Bercot.
Les Inrockuptibles
Maïwenn a un talent qui éclipse tout, un coup de main qui agit comme une redoutable colonne de défense camouflant les déficiences de ses films : elle sait fabriquer de la scène, essorer ses acteurs dans des numéros de jeu extrêmement intenses et créer, à l’épuisement, l’illusion du réel par l’entremise d’un simple goût pour la gueulante.
Metro
C’est doux, c’est fort, c’est beau, c’est dur. C’est toujours juste grâce à la patience de la caméra et l’infinie générosité des comédiens.
Ouest France
Chacun s'y reconnaitra, peu ou prou. Il y a comme un sentiment de déjà-vu, une sensation de déjà vécu, dans un scénario qui colle, avec conviction, à la réalité sociale du moment. (...) Surtout, il y a ses interprètes, qu'elle (Maïwenn) a l'art de choisir.
Première
"Mon roi" est un regard féminin et les moments où Maïwenn tient cette promesse sont des instants de grâce : quand la caméra caresse le visage, les mains, la nuque de Cassel à la fin, après dix ans de drame et de fureur, avec un amour et un désir intacts, on touche à une vérité troublante.
Studio Ciné Live
La cinéaste ne se complaît à aucun moment dans le pathos, prenant même soin d'éviter de charger davantage le personnage de Georgio.
TF1 News
Si "Mon Roi" n'est pas exempt de réelles faiblesses (la partie Norman, très ratée), Maïwenn dirige magistralement ses comédiens, les révélant comme on ne les a jamais vus. C'est valable pour Emmanuelle Bercot, pour Vincent Cassel mais aussi pour Louis Garrel.
Télé 7 Jours
Royal dans tous les registres, séduction, humour, violence, Vincent Cassel habite son rôle avec la force de l'évidence. Face au virtuose, la cinéaste a choisi sa complice Emmanuelle Bercot (...). Bluffante, elle y révèle une intensité et une vérité dans le jeu, dignes des plus grandes.
CinemaTeaser
Une tragédie intime et un peu vaine.
Les Fiches du Cinéma
Maïwenn renoue avec sa veine autobiographique, pour un récit trop binaire mais porté par un imposant duo d'acteurs.
Transfuge
Le film peut agacer, mais il est pourvu de réelles qualités d'écriture et d'interprétation.
VSD
Entre tessons de vérités humaines, flambées de haine et aurores boréales de bonheur, le film orchestre une corrida de sentiments et d'élans contradictoires. Souvent fulgurant, mais aussi parfois gravement hors sujet.
Voici
A l'image de cette relation, le film est exalté, hystérique. Tout est paroxystique : la jouissance, la souffrance. Mais il y a aussi de l'humour, de la tendresse. Et Vincent Cassel.
aVoir-aLire.com
Maïwenn filme la rencontre explosive entre un ogre et une princesse, un hédoniste et une fille rangée. Un cocktail haut en couleur toutefois lesté par un scénario et une réalisation trop convenus.
Critikat.com
"Mon roi" est comme lui : un dragueur de boîte de nuit. L’énergie qu’il déploie pour séduire peut faire rire. De là à se montrer dupe de ce beau parleur…
Ecran Large
La réalisatrice tente le coup du grand huit émotionnel mais transforme son récit en petit théâtre hystérique et artificiel.
Le Dauphiné Libéré
Une succession de flashback racontant de manière répétitive les ruptures et les réconciliations sexuelles d’un couple. On s’en lasse…
Libération
"Mon Roi" (...) a beau jeu de se river au seul point de vue de son personnage féminin de suppliciée consentante, pour mieux se plier en définitive, corps et âme, aux manières du bourreau.
Cahiers du Cinéma
Le film fouille plutôt du côté de "Confessions intimes", dont il partage l’égard pour la vie privée, et dont il fait sien le principe fondateur : la mise en scène de soi annule et remplace la mise en scène tout court.
Charlie Hebdo
"Mon roi" ou le journal intime de la vie creuse de petites vedettes de cinéma à qui tout semble permis (l'atroce scène du restaurant), qui n'ont rien à dire, rien à partager, rien à montrer d'autre que leurs nombrils étriqués.
L'Obs
Et alors, ça captive ? Comme une rubrique "courrier du cœur" qui exigerait plus de deux heures de lecture.
Positif
Dans "Mon roi", tout tombe à plat.
Télérama
CONTRE : La réalisatrice prétend y détailler la passion destructrice d'une jeune femme pour un bad boy sexy et bas de plafond. Seul le style peut transcender un sujet si souvent traité, et par les plus grands. Mais le style est précisément ce que Maïwenn n'a pas.