Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Il faut reconnaître au vieux cinéaste un certain savoir-faire pour relater l’effroi avec délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Simon Riaux
Cette bascule inattendue achève de rendre le film précieux, fragile et fort, nous permet soudain d’entrevoir toute la violence d’une époque absurde, dont ne semble avoir survécu qu’une mélancolie vénéneuse.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Vincent Ostria
L’intrigue n’apparaît pas immédiatement. Elle est distillée dans plusieurs flash-back. Mais, même cette relation coupable n’apparaît pas comme telle. Elle reste infinitésimale et secrète, ce qui ajoute au trouble que suscite cette œuvre délicate.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La grâce habite ce film empreint de nostalgie et de la culpabilité mystérieuse avec laquelle Taki vécut jusqu’à son dernier jour.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film tout de délicatesse et de sensibilité, dans une période du Japon peu connue.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un mélodrame délicat.
Première
par Christophe Narbonne
Film à l’érotisme et à l’homosexualité latents, au pouvoir d’évocation comparable à celui d’une estampe, "La Maison..." déborde d’enjeux en apparence minuscules qui déclenchent des bourrasques intimes qu’on n’avait pas vu venir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Sidy Sakho
Tout dans "La Maison au toit rouge" se veut littéral, immédiatement accessible au regard et à notre déduction. Cette transparence est l'un des rudiments du bon cinéma populaire.
Télérama
par Samuel Douhaire
Pas de discours radical, ni d'audaces formelles dans "La Maison au toit rouge". Mais un récit fluide en flash-back, qui relie trois époques avec délicatesse. Et une mise en scène à l'élégance discrète, presque surannée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Leslie Guyomard
Avec sa réalisation épurée, "La Maison au toit rouge" dépeint avec intelligence et sensibilité une tranche de vie, au travers des affres de l’Histoire avec un grand H.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Benoît Smith
Les sous-entendus sur la relation maître-domestique ne s’avèrent pas très neufs, mais Yamada semble s’intéresser plus attentivement aux rapports de jugement, les postures des uns s’autorisant à faire peser un regard moral sur les autres.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Sentiments enfouis, aspirations contrariées, révélations inattendues, rien ne manque à ce tableau filmé par un vétéran qui fait montre de plus de savoir-faire que de réelle inspiration. Ce n'est pas déplaisant, même si un peu long (...).
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Avec la guerre en toile de fond, le film décrit avec sensibilité un mode de vie bourgeois révolu.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Superbe sens du détail. Complexité des sentiments et intelligence de la forme qui s’allient idéalement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Hubert Niogret
Si une certaine vigueur n'est pas présente dans la narration ou son environnement, la réalisation, appliquée, n'apporte rien de plus que le simple filmage : la mise en scène n'élève pas le récit.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Yamada se veut un héritier d’Ozu ou Naruse chez qui il puiserait la fausse mesure de son style. En réalité l’absence de style de "La Maison au toit rouge" en fait un film n’appartenant à aucune époque, ni à la nôtre ni à celle de l’âge d’or des studios. Désuet et inoffensif, il évoque plutôt les ultimes films d’Henri Verneuil.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Empesé et dénué de vitalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Clément Ghys
Une mise en scène si plan-plan que l’on a un peu l’impression de se trouver face à une resucée nippone de "la Bicyclette bleue".
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
20 Minutes
Il faut reconnaître au vieux cinéaste un certain savoir-faire pour relater l’effroi avec délicatesse.
Ecran Large
Cette bascule inattendue achève de rendre le film précieux, fragile et fort, nous permet soudain d’entrevoir toute la violence d’une époque absurde, dont ne semble avoir survécu qu’une mélancolie vénéneuse.
L'Humanité
L’intrigue n’apparaît pas immédiatement. Elle est distillée dans plusieurs flash-back. Mais, même cette relation coupable n’apparaît pas comme telle. Elle reste infinitésimale et secrète, ce qui ajoute au trouble que suscite cette œuvre délicate.
La Croix
La grâce habite ce film empreint de nostalgie et de la culpabilité mystérieuse avec laquelle Taki vécut jusqu’à son dernier jour.
Le Dauphiné Libéré
Un film tout de délicatesse et de sensibilité, dans une période du Japon peu connue.
Ouest France
Un mélodrame délicat.
Première
Film à l’érotisme et à l’homosexualité latents, au pouvoir d’évocation comparable à celui d’une estampe, "La Maison..." déborde d’enjeux en apparence minuscules qui déclenchent des bourrasques intimes qu’on n’avait pas vu venir.
Transfuge
Tout dans "La Maison au toit rouge" se veut littéral, immédiatement accessible au regard et à notre déduction. Cette transparence est l'un des rudiments du bon cinéma populaire.
Télérama
Pas de discours radical, ni d'audaces formelles dans "La Maison au toit rouge". Mais un récit fluide en flash-back, qui relie trois époques avec délicatesse. Et une mise en scène à l'élégance discrète, presque surannée.
aVoir-aLire.com
Avec sa réalisation épurée, "La Maison au toit rouge" dépeint avec intelligence et sensibilité une tranche de vie, au travers des affres de l’Histoire avec un grand H.
Critikat.com
Les sous-entendus sur la relation maître-domestique ne s’avèrent pas très neufs, mais Yamada semble s’intéresser plus attentivement aux rapports de jugement, les postures des uns s’autorisant à faire peser un regard moral sur les autres.
L'Obs
Sentiments enfouis, aspirations contrariées, révélations inattendues, rien ne manque à ce tableau filmé par un vétéran qui fait montre de plus de savoir-faire que de réelle inspiration. Ce n'est pas déplaisant, même si un peu long (...).
Les Fiches du Cinéma
Avec la guerre en toile de fond, le film décrit avec sensibilité un mode de vie bourgeois révolu.
Les Inrockuptibles
Superbe sens du détail. Complexité des sentiments et intelligence de la forme qui s’allient idéalement.
Positif
Si une certaine vigueur n'est pas présente dans la narration ou son environnement, la réalisation, appliquée, n'apporte rien de plus que le simple filmage : la mise en scène n'élève pas le récit.
Cahiers du Cinéma
Yamada se veut un héritier d’Ozu ou Naruse chez qui il puiserait la fausse mesure de son style. En réalité l’absence de style de "La Maison au toit rouge" en fait un film n’appartenant à aucune époque, ni à la nôtre ni à celle de l’âge d’or des studios. Désuet et inoffensif, il évoque plutôt les ultimes films d’Henri Verneuil.
Le Monde
Empesé et dénué de vitalité.
Libération
Une mise en scène si plan-plan que l’on a un peu l’impression de se trouver face à une resucée nippone de "la Bicyclette bleue".