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Votre avis sur Ant-Man et la Guêpe ?
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Le premier volet m'avait plu, avec un nouvel héros rafraîchissant, des effets spéciaux spectaculaires, et un scénario tenant la route. Là, tout a disparu, où presque. On retiendra dans le bon rayon, des dialogues sympathiques, et des effets spéciaux réussis. En revanche, le scénario est très brouillon (je n'ai pas tout compris dans leur jargon scientifique), nous n'avons pas de réels supers méchants, c'est gros (sans mauvais jeu de mots) et surtout plein d'incohérences ! Hank est en cavale mais fait apparaître des immeubles au beau milieu des villes sans que ça choque personne. Ils retrouvent la mère 20 ans après, comme si de rien n'était. Les retrouvailles se font tranquilles.
Bref, plein de déception, et en plus, ça n'apporte pas grand chose à l'univers Avengers.
Bref, plein de déception, et en plus, ça n'apporte pas grand chose à l'univers Avengers.
Ce Marvel m'a plus, plus que les autres que j'ai pu voir. L'humour est bon, les modifications anatomiques sont un vrai plus et rendent le film intriguant.
Pire que le 1er opus . Vide de sens , le scénario se perd dans des interactions entre divers personnages.
Se veut marrant mais c’est pathétique.
Les méchants digne des annees 90
Se veut marrant mais c’est pathétique.
Les méchants digne des annees 90
Franchement nul. Tout est naze, humour de daube, scénario pourri, vraiment un navet. C'est tellement ridicule que je n'ai même pas de mots.
Une comédie Marvel assez divertissante, au scénario sans surprise. L’absence d’un méchant charismatique (une fois de plus) et une trop grande légèreté en font l’un des films les plus faibles du MCU. Le 1er volet était bien meilleur !
Les enjeux de ce film ne sont pas très entraînants et c'est amplifié par des opposants faibles, peu charismatiques voire loufoques. L'intrigue se voulait peut-être plus sérieuse et passionnante en abordant la physique quantique, mais c'est l'inverse qu'il se produit. Les héros et les dialogues sont toutefois assez sympathiques.
Une suite assez simple dans le fond, mais réel plaisir de revoir Ant-Man sur grand écran ! Le scénario va surtout tourner autour d'une histoire familiale et de retrouvaille , contrairement au premier Michael Douglas est bien plus vu, avec en parallèle une méchante pas méchante mais perdue. le dynamisme du film, à ses effets spéciaux, aux pouvoirs des costumes et technologies. On en prend plein les yeux, on en a pour toutes les tailles, du plus minuscule au plus gigantesque, autant pour les objets que pour les personnages. La course poursuite en voiture est géniale. Evangeline Lily alias la Guêpe est plus mise en avant dans ce rôle ainsi que son père , quitte à voler la vedette à Ant man. En clair , on passe un excellent moment de détente et on n'a pas regarder sa montre
Malgré un scénario assez léger et convenu, le film est agréable grâce à son humour loufoque et absurde.
Conformément à ce qu'a été le premier volet, cette suite est un pur divertissement, qui contraste grandement avec le ton dramatique de "Avengers - Infinity War". En effet, l'humour y est omniprésent
spoiler:
(la magie en ligne; la séquence hilarante à l'école; l'urgence de la chaussure de soccer; l'Ant-onio Banderas; le sérum de vérité avec les histoires délirantes de Luis; l'ennui de Scott suite à son assignation à résidence (expliquant son absence d'Avengers 3); Scott en Janet)
et le film utilise créativement son concept des différences de grandeurs pour amuser spoiler: (les gros pigeons; le bâtiment-valise; Scott remplacé par une fourmi géante; le combat bien mené dans la cuisine du resto; le camion-skate; la poursuite en voiture très Matrix 2 et l'essuie-glace)
. En bonus, le scénario a de nombreux atouts, que ce soit son pitch prometteur spoiler: (Janet qui communique à travers Scott; Elle est coincée dans l'espace quantique)
ou bien ses 3 déclinaisons père-fille satisfaisantes: Scott et sa petite fille spoiler: (le jeu drôle d'ouverture du film; la fille s'amuse de la relation Hope-Scott; elle aide son père à échapper au FBI)
, Hank et Hope spoiler: (les 2 s'entraident pour retrouver respectivement leur femme et leur mère)
, Bill et Ava spoiler: (la seconde est une antagoniste ambivalente puisqu'elle est autant une victime (parents morts à cause d'Hank, problème de phase) qu'une coupable (le vol du labo; elle est prête à sacrifier Janet pour guérir); le premier est le pendant parfait à Ava, car à la fois en quête de justice pour Ava mais aussi plus nuancé dans ses méthodes et ayant des limites morales)
. Toutefois, le script a aussi quelques lacunes, comme le fait d'être trop axé sur la quête du labo au détriment de l'espace quantique (pas développé), de ne pas creuser du tout le personnage de Sonny (marchand véreux juste là pour l'action), d'être un peu lourd avec le gars du FBI (Randall Park est gonflant) et d'avoir quelques moments prévisibles spoiler: (l'évasion mitigée de Hank et Hope; Janet qui guérit Ava en 2 secondes; la combinaison pas détruite)
. On oublie vite ses détails à la fin lorsque le film se connecte à Avengers 3 de manière terrifiante spoiler: (Hank, Hope et Janet disparaissent tous, laissant Scott coincé dans l'espace quantique; la scène post-générique donne un aperçu glaçant du monde post-Avengers 3, où la moitié de la population est décimée, les médias diffusent un message d'urgence et l'avenir de Scott est en suspens)
. Côté casting, rien à redire, toute la distribution est dans le ton énergique et comique du film. En bilan, "Ant-Man and the Wasp" est une récréation super-héroïque extrêmement plaisante, à qui il ne manque un scénario plus abouti sur certains points.
et le film utilise créativement son concept des différences de grandeurs pour amuser spoiler: (les gros pigeons; le bâtiment-valise; Scott remplacé par une fourmi géante; le combat bien mené dans la cuisine du resto; le camion-skate; la poursuite en voiture très Matrix 2 et l'essuie-glace)
. En bonus, le scénario a de nombreux atouts, que ce soit son pitch prometteur spoiler: (Janet qui communique à travers Scott; Elle est coincée dans l'espace quantique)
ou bien ses 3 déclinaisons père-fille satisfaisantes: Scott et sa petite fille spoiler: (le jeu drôle d'ouverture du film; la fille s'amuse de la relation Hope-Scott; elle aide son père à échapper au FBI)
, Hank et Hope spoiler: (les 2 s'entraident pour retrouver respectivement leur femme et leur mère)
, Bill et Ava spoiler: (la seconde est une antagoniste ambivalente puisqu'elle est autant une victime (parents morts à cause d'Hank, problème de phase) qu'une coupable (le vol du labo; elle est prête à sacrifier Janet pour guérir); le premier est le pendant parfait à Ava, car à la fois en quête de justice pour Ava mais aussi plus nuancé dans ses méthodes et ayant des limites morales)
. Toutefois, le script a aussi quelques lacunes, comme le fait d'être trop axé sur la quête du labo au détriment de l'espace quantique (pas développé), de ne pas creuser du tout le personnage de Sonny (marchand véreux juste là pour l'action), d'être un peu lourd avec le gars du FBI (Randall Park est gonflant) et d'avoir quelques moments prévisibles spoiler: (l'évasion mitigée de Hank et Hope; Janet qui guérit Ava en 2 secondes; la combinaison pas détruite)
. On oublie vite ses détails à la fin lorsque le film se connecte à Avengers 3 de manière terrifiante spoiler: (Hank, Hope et Janet disparaissent tous, laissant Scott coincé dans l'espace quantique; la scène post-générique donne un aperçu glaçant du monde post-Avengers 3, où la moitié de la population est décimée, les médias diffusent un message d'urgence et l'avenir de Scott est en suspens)
. Côté casting, rien à redire, toute la distribution est dans le ton énergique et comique du film. En bilan, "Ant-Man and the Wasp" est une récréation super-héroïque extrêmement plaisante, à qui il ne manque un scénario plus abouti sur certains points.
On peut difficilement reprocher de gros défauts à Ant-Man and the Wasp : c’est un divertissement classique, mais efficace. Cependant, si on prend en considération le MCU en général, le film souffre d’un réel manque d’ambition que cela soit dans ses thématiques ou même simplement son scénario. Heureusement pour lui le film dispose de personnages attachants, joués par de bons acteurs, et d’un plutôt bon dosage humour-action qui rend le moment devant sympathique. Clairement, ce n’est pas le film du MCU qui restera dans les mémoires, mais il reste acceptable.
Critique complète et sans spoils ici : spoiler: http://lantredesopinions.over-blog.com/2019/03/ant-man-and-the-wasp-ant-man-et-la-guepe-de-peyton-reed-une-parenthese-qui-se-laisse-regarder.html
Critique complète et sans spoils ici : spoiler: http://lantredesopinions.over-blog.com/2019/03/ant-man-and-the-wasp-ant-man-et-la-guepe-de-peyton-reed-une-parenthese-qui-se-laisse-regarder.html
Il est rare qu'un 2 soit aussi réussi que le 1 et là le challenge est réussi. Il est certain qu'il n'y a plus la surprise mais le développement de l'univers est parfait.
Il est agréable qu'un énième héros Marvel n'est pas pour mission de sauver le monde.
Il est agréable qu'un énième héros Marvel n'est pas pour mission de sauver le monde.
excellent marvel avec pleins d humours, d effets speciaux et un scenario toujours aussi accrocheur. un avengers qui vous met la banane avec pleins d amour comme on les aime 😎😎😎😎
Bon film, effets spéciaux bien exploités, bons acteurs, bien aimé, moins aimé l’absence de véritable vilain
Cinememories
Le réalisateur de « Yes Man » et du premier volet « Ant-Man » rempile pour un volet très anecdotique, notamment dû à une incohérence temporelle qui l’isole de l’univers étendu. En effet, Peyton Reed n’est pas le mieux servi pour enchaîner sur le dénouement d’Avengers Infinity War, qui a conditionné un public impatient de découvrir la suite. Or, ce prolongement constitue une parenthèse dispensable et qui tourne aisément à un épisode de remplissage afin de faire patienter une audience capricieuse. L’enjeu est donc ailleurs dans ce projet qui ne vise ni la lune, ni le sommet. On nous offre simplement un divertissement familial, conformément aux thèmes exploités dans le premier opus, intéressant, mais tout juste suffisant pour nous combler entièrement.
Il n’est donc pas surprenant de constater une non-prise de risque dans une écriture déjà connue. Dans les faits, on raccorde les bouts avec les volets précédents, mais l’on n’a jamais le temps d’observer le poids des conséquences de « Civil War ». On pardonne trop facilement avec le passé pour se créer une marge de manœuvre tantôt subtile, tantôt sans saveurs. Chacun pourra cependant y trouver son compte, le temps de quelques passages épiques, là où l’on se montre beaucoup plus audacieux qu’auparavant. Il n’y a plus que les personnages qui changent de taille et c’est au niveau du décor, qu’on trouvera de belles surprises. Mais le visuel ne peut pas tout justifier, notamment le manque de justesse dans les dialogues ou bien dans l’inconsistance scénaristique. L’ensemble tient dans une bonne comédie, mais tout juste pour qu’on oublie ce pour quoi nous sommes venus, à savoir pour un film de super-héros. Ce volet est pourtant essentiel dans l’intégration d’une nouvelle héroïne au sein d’un groupe macho et irresponsable, de temps à autres. Mais cela dérape souvent et la qualité en prend un coup, là où l’émotion reste encore artificielle.
Scott Lang (Paul Rudd) fait ainsi équipe avec une Hope (Evangeline Lilly) habile et qui prend rapidement les devants de la scène. Elle possède un charisme qui lui permet de convaincre de son utilité, mais comme toute période transitoire pour un héros, ce dernier possède bien trop de faiblesses à exploiter et le film joue là-dessus, par le biais d’un méchant trop décousu pour qu’on en vienne à l’adopter dans nos cœurs. Ce n’est que la partie où Scott tente de défendre ses valeurs qui sont loin d’être héroïques dans les intentions, mais dans l’âme d’un père qui cherche constamment à se justifier une bonne conduite. Parallèlement, les influences du sous-genre policier sont admirables, à défaut d’être rapidement désamorcées par du burlesque poussif et peu inventif. Et dans cette vulnérabilité, on exploite la partie qui intéresse les fans, à savoir le monde quantique, là où la matière interagit anormalement avec notre réalité. Ce sera aux côtés de Hank Pym (Michael Douglas) qu’on sera aiguillé dans un concept, fort en ouvertures possibles.
Sans avoir la mission de sauver le monde ou de soutenir des Avengers en difficultés, « Ant-Man et la Guêpe » se veut simplement être une thérapie pour ses propres personnages qui ont leur monde respectif à sauver. Il fallait sans doute cette comédie familiale pour décrocher après un cliffhanger particulièrement douloureux. Si l’attente ne convient pas à tout le monde, il y aura toujours preneurs dans cette industrie qui se tient à un standard attractif et bruyant. On nous bourre de sucre à ne plus en voir la couleur des effets spéciaux et dans la narration de personnages qui se perdent dans leur enfance. Malgré tout, on finira par l’oublier, car le plat le plus équilibré reste à venir !
Il n’est donc pas surprenant de constater une non-prise de risque dans une écriture déjà connue. Dans les faits, on raccorde les bouts avec les volets précédents, mais l’on n’a jamais le temps d’observer le poids des conséquences de « Civil War ». On pardonne trop facilement avec le passé pour se créer une marge de manœuvre tantôt subtile, tantôt sans saveurs. Chacun pourra cependant y trouver son compte, le temps de quelques passages épiques, là où l’on se montre beaucoup plus audacieux qu’auparavant. Il n’y a plus que les personnages qui changent de taille et c’est au niveau du décor, qu’on trouvera de belles surprises. Mais le visuel ne peut pas tout justifier, notamment le manque de justesse dans les dialogues ou bien dans l’inconsistance scénaristique. L’ensemble tient dans une bonne comédie, mais tout juste pour qu’on oublie ce pour quoi nous sommes venus, à savoir pour un film de super-héros. Ce volet est pourtant essentiel dans l’intégration d’une nouvelle héroïne au sein d’un groupe macho et irresponsable, de temps à autres. Mais cela dérape souvent et la qualité en prend un coup, là où l’émotion reste encore artificielle.
Scott Lang (Paul Rudd) fait ainsi équipe avec une Hope (Evangeline Lilly) habile et qui prend rapidement les devants de la scène. Elle possède un charisme qui lui permet de convaincre de son utilité, mais comme toute période transitoire pour un héros, ce dernier possède bien trop de faiblesses à exploiter et le film joue là-dessus, par le biais d’un méchant trop décousu pour qu’on en vienne à l’adopter dans nos cœurs. Ce n’est que la partie où Scott tente de défendre ses valeurs qui sont loin d’être héroïques dans les intentions, mais dans l’âme d’un père qui cherche constamment à se justifier une bonne conduite. Parallèlement, les influences du sous-genre policier sont admirables, à défaut d’être rapidement désamorcées par du burlesque poussif et peu inventif. Et dans cette vulnérabilité, on exploite la partie qui intéresse les fans, à savoir le monde quantique, là où la matière interagit anormalement avec notre réalité. Ce sera aux côtés de Hank Pym (Michael Douglas) qu’on sera aiguillé dans un concept, fort en ouvertures possibles.
Sans avoir la mission de sauver le monde ou de soutenir des Avengers en difficultés, « Ant-Man et la Guêpe » se veut simplement être une thérapie pour ses propres personnages qui ont leur monde respectif à sauver. Il fallait sans doute cette comédie familiale pour décrocher après un cliffhanger particulièrement douloureux. Si l’attente ne convient pas à tout le monde, il y aura toujours preneurs dans cette industrie qui se tient à un standard attractif et bruyant. On nous bourre de sucre à ne plus en voir la couleur des effets spéciaux et dans la narration de personnages qui se perdent dans leur enfance. Malgré tout, on finira par l’oublier, car le plat le plus équilibré reste à venir !
T-Tiff
Après l'incroyable "Avengers : Infinity War", Marvel revient avec "Ant-Man et la Guêpe", qui semble se situer en parallèle des événements se déroulant dans "Avengers". Mais Ant-Man n'est visiblement pas concerné par les péripéties qu'affrontent ses collègues Avengers, et même ici sa propre aventure en solitaire, ou plutôt en duo puisqu'il est accompagné par la splendide Evangeline Lilly, incarnant La Guêpe. Les deux héros tentent de retrouver la femme de Hank Pym, coincée depuis de nombreuses années dans le monde quantique. L'intrigue n'est pas très passionnante et, à l'image du premier "Ant-Man", cet épisode est sympathique mais n'a pas la consistance des autres sagas Marvel. Le point fort du film reste son humour assez efficace et très décalé avec Paul Rudd notamment dans le rôle principal mais aussi Michael Pena. On peut saluer également la présence de Michael Douglas, Marvel a tout de même réussi à rassembler des acteurs prestigieux dans ses différents films. "Ant-Man et la Guêpe" ressemble surtout à un sympathique intermède entre les deux "Avengers".
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