Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Monde
par Thomas Sotinel
"Happily Ever After" témoigne aussi de la puissance du cinéma.
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
Une introspection audacieuse teintée de maïeutique, doublée d'un autoportrait passionnant.
Marianne
par Élodie Emery
"Happily ever after" n’est pas un conte de fées à l’envers ; on n’en sort pas déprimé, bien au contraire.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
De cet autoportrait nombriliste sur la crise conjugale ressort la personnalité touchante d'une excentrique en quête perpétuelle d'elle-même à travers les autres.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un postulat original et un montage très habile, pour un road-movie qui, toutefois, oublie un peu son sujet en route.
Critikat.com
par Marie Gueden
Tatjana Božić émeut par son autoportrait-vérité sans concessions, mais ses choix de mise en scène et de montage parfois judicieux (les surimpressions notamment), souvent maladroits voire naïfs, comme une grande hétérogénéité dans les régimes d’images, empêchent le film de fonctionner.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Clément Graminiès
Ces retrouvailles qui mélangent le road-movie autobiographique à des images d'archives sur fond d'orchestre folklorique paraîtront au mieux touchantes, mais sans doute aussi un peu anecdotiques.
Première
par Bernard Achour
Un autoportrait masochiste qui stimule parfois (on pense forcément à soi-même) mais agace souvent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
"Happily Ever After" témoigne aussi de la puissance du cinéma.
Les Fiches du Cinéma
Une introspection audacieuse teintée de maïeutique, doublée d'un autoportrait passionnant.
Marianne
"Happily ever after" n’est pas un conte de fées à l’envers ; on n’en sort pas déprimé, bien au contraire.
aVoir-aLire.com
De cet autoportrait nombriliste sur la crise conjugale ressort la personnalité touchante d'une excentrique en quête perpétuelle d'elle-même à travers les autres.
Studio Ciné Live
Un postulat original et un montage très habile, pour un road-movie qui, toutefois, oublie un peu son sujet en route.
Critikat.com
Tatjana Božić émeut par son autoportrait-vérité sans concessions, mais ses choix de mise en scène et de montage parfois judicieux (les surimpressions notamment), souvent maladroits voire naïfs, comme une grande hétérogénéité dans les régimes d’images, empêchent le film de fonctionner.
Libération
Ces retrouvailles qui mélangent le road-movie autobiographique à des images d'archives sur fond d'orchestre folklorique paraîtront au mieux touchantes, mais sans doute aussi un peu anecdotiques.
Première
Un autoportrait masochiste qui stimule parfois (on pense forcément à soi-même) mais agace souvent.