A Girl Walks Home Alone At Night : Critique presse
A Girl Walks Home Alone At Night
Note moyenne
3,1
15 titres de presse
aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
Franceinfo Culture
L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
Première
TF1 News
Télérama
Culturopoing.com
L'Ecran Fantastique
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Positif
Chronic'art.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Marianne Renaud
Etrange, sombre et pourtant éclatant d’énergie, d’une puissance séductrice indéniable, "A Girl Walks Home Alone At Night" insuffle un air frais et revigorant en cette rentrée cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Ilan Ferry
Nimbé dans un noir et blanc sublime, rythmé par une musique très moriconnienne (personnage à part entière du film), cet OFNI (...) est à voir d'abord comme un objet résolument pop.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ce film iconoclaste a des allures de vampire spaghetti hors norme, dans le sens d’un Tarantino.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce petit bijou pop-rock est le plus beau pied de nez possible aux ayatollahs iraniens.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une variation originale sur le thème du vampirisme.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une oeuvre surréaliste et graphique, d’une noirceur merveilleuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Christophe Narbonne
Son atmosphère envoûtante s’inscrit dans une mouvance arty qui rebat plutôt joliment les cartes d’un cinéma indépendant américain légèrement sclérosé.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
"A Girl Walks Home Alone At Night" (...) impose son rythme et soumet son ton comme dans un long rêve flottant.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Jacques Morice
Graphique et chorégraphique, d'une lenteur planante, le film joue avec nombre de codes (...), en assumant l'exercice de style. Même si le scénario est un peu mince, on reste captivé par l'atmosphère (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
"A girl walks home alone at night" confond lenteur et langueur et sous-entend que le noir est blanc constitue une légitimité esthétique, un gage de qualité et de goût sûr. Ici, il est juste plat, oscillant entre expressionnisme langien et pub de parfum.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Les séquences horrifiques sont réduites au strict minimum (...), la réalisatrice s'intéressant plus au parcours de ses deux âmes perdues dans cette grande ville nocturne qui fait le nid des vices et de la mort.
Le Monde
par Noémie Luciani
(...) un premier film un peu figé dans l'exercice de style, mais autour duquel se crée, en noir et blanc et en musique, un petit monde poétique et intrigant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
Un premier long métrage bourré de références, aux images très (trop ?) travaillées et à l'ambiance parfois prenante, mais qui tourne à vide.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Vincent Thabourey
L'ambiance est joliment morbide, désincarnée, veloutée... mais assez superficielle.
Chronic'art.com
par Yal Sadat
Ce maniérisme buté trahit en somme l'incapacité du film à se penser autrement que comme variation d'écolier sur un thème déjà rebattu.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
aVoir-aLire.com
Etrange, sombre et pourtant éclatant d’énergie, d’une puissance séductrice indéniable, "A Girl Walks Home Alone At Night" insuffle un air frais et revigorant en cette rentrée cinématographique.
CinemaTeaser
Nimbé dans un noir et blanc sublime, rythmé par une musique très moriconnienne (personnage à part entière du film), cet OFNI (...) est à voir d'abord comme un objet résolument pop.
Franceinfo Culture
Ce film iconoclaste a des allures de vampire spaghetti hors norme, dans le sens d’un Tarantino.
L'Humanité
Ce petit bijou pop-rock est le plus beau pied de nez possible aux ayatollahs iraniens.
Le Dauphiné Libéré
Une variation originale sur le thème du vampirisme.
Le Journal du Dimanche
Une oeuvre surréaliste et graphique, d’une noirceur merveilleuse.
Première
Son atmosphère envoûtante s’inscrit dans une mouvance arty qui rebat plutôt joliment les cartes d’un cinéma indépendant américain légèrement sclérosé.
TF1 News
"A Girl Walks Home Alone At Night" (...) impose son rythme et soumet son ton comme dans un long rêve flottant.
Télérama
Graphique et chorégraphique, d'une lenteur planante, le film joue avec nombre de codes (...), en assumant l'exercice de style. Même si le scénario est un peu mince, on reste captivé par l'atmosphère (...).
Culturopoing.com
"A girl walks home alone at night" confond lenteur et langueur et sous-entend que le noir est blanc constitue une légitimité esthétique, un gage de qualité et de goût sûr. Ici, il est juste plat, oscillant entre expressionnisme langien et pub de parfum.
L'Ecran Fantastique
Les séquences horrifiques sont réduites au strict minimum (...), la réalisatrice s'intéressant plus au parcours de ses deux âmes perdues dans cette grande ville nocturne qui fait le nid des vices et de la mort.
Le Monde
(...) un premier film un peu figé dans l'exercice de style, mais autour duquel se crée, en noir et blanc et en musique, un petit monde poétique et intrigant.
Les Fiches du Cinéma
Un premier long métrage bourré de références, aux images très (trop ?) travaillées et à l'ambiance parfois prenante, mais qui tourne à vide.
Positif
L'ambiance est joliment morbide, désincarnée, veloutée... mais assez superficielle.
Chronic'art.com
Ce maniérisme buté trahit en somme l'incapacité du film à se penser autrement que comme variation d'écolier sur un thème déjà rebattu.