Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Entre l’observation des gestes ou de la pièce et l’évocation bien plus large d’une histoire de la désindustrialisation. Les épaves de tôle abandonnée racontent quelque chose de la façon dont la société consumériste méprise les objets qu’elle utilise.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Un beau film sur l'arrachement qui gît aujourd'hui au coeur de notre conception du travail.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Un beau docu.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gilles Renault
Un documentaire étonnant sur des hommes occupés à trifouiller dans un cimetière de voitures.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O'Neill
La "mise en scène" associe la chaleur à la rigueur.
Première
par Hendy Bicaise
Non seulement Nadège Trebal filme bien la "ferraille", mais elle sait également filer intelligemment la métaphore attendue, celle qui transcende ces hommes brisés par la vie, à réparer, en kit, de seconde main, etc.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Transfuge
par Frédéric Mercier
Fasciné par ses personnages, Trebal les transforme en aventuriers dérisoires et superbes. Les ultimes déchiffreurs des secrets de la mécanique.
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Ce documentaire passionnant orchestre brillamment un bal des corps en action, tout en essayant de reconstruire une sociabilité mise à mal par la crise actuelle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
L’approche très particulière des personnages, qui n’évacue pas une sensibilité érotique à toutes ces rencontres, cristallise l’intérêt comme les limites du film, quelque part entre curiosité enthousiaste, légèreté bienvenue et séduction passagère.
La Croix
par Arnaud Schwartz
La casse, avec ses épaves que l’on désosse sans toujours bien savoir comment s’y prendre, cette adversité mécanique qu’il faut vaincre à force d’opiniâtreté, offre une métaphore puissante de la vie qui, elle aussi, ne s’offre pas facilement.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Nadège Trébal a su capter la parole, rare et précieuse, des hommes dans une casse. Travellings soignés, musique langoureuse aident à révéler les belles âmes cachées dans la ferraille.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Mathilde Blottière
Ex-disciple de Claire Simon à la Fémis, Nadège Trebal semble plus proche de la démarche de Claire Denis : érotiser le corps des hommes au travail. Sans renoncer à faire oeuvre politique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
Entre l’observation des gestes ou de la pièce et l’évocation bien plus large d’une histoire de la désindustrialisation. Les épaves de tôle abandonnée racontent quelque chose de la façon dont la société consumériste méprise les objets qu’elle utilise.
Le Monde
Un beau film sur l'arrachement qui gît aujourd'hui au coeur de notre conception du travail.
Les Inrockuptibles
Un beau docu.
Libération
Un documentaire étonnant sur des hommes occupés à trifouiller dans un cimetière de voitures.
Positif
La "mise en scène" associe la chaleur à la rigueur.
Première
Non seulement Nadège Trebal filme bien la "ferraille", mais elle sait également filer intelligemment la métaphore attendue, celle qui transcende ces hommes brisés par la vie, à réparer, en kit, de seconde main, etc.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Transfuge
Fasciné par ses personnages, Trebal les transforme en aventuriers dérisoires et superbes. Les ultimes déchiffreurs des secrets de la mécanique.
aVoir-aLire.com
Ce documentaire passionnant orchestre brillamment un bal des corps en action, tout en essayant de reconstruire une sociabilité mise à mal par la crise actuelle.
Cahiers du Cinéma
L’approche très particulière des personnages, qui n’évacue pas une sensibilité érotique à toutes ces rencontres, cristallise l’intérêt comme les limites du film, quelque part entre curiosité enthousiaste, légèreté bienvenue et séduction passagère.
La Croix
La casse, avec ses épaves que l’on désosse sans toujours bien savoir comment s’y prendre, cette adversité mécanique qu’il faut vaincre à force d’opiniâtreté, offre une métaphore puissante de la vie qui, elle aussi, ne s’offre pas facilement.
Les Fiches du Cinéma
Nadège Trébal a su capter la parole, rare et précieuse, des hommes dans une casse. Travellings soignés, musique langoureuse aident à révéler les belles âmes cachées dans la ferraille.
Télérama
Ex-disciple de Claire Simon à la Fémis, Nadège Trebal semble plus proche de la démarche de Claire Denis : érotiser le corps des hommes au travail. Sans renoncer à faire oeuvre politique.