Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Une véritable expérience sensorielle entre thriller et cinéma expérimental.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Express
par Eric Libiot
Thriller norvégien inquiétant et un brin formaliste, mais qui intrigue suffisament pour tenir la distance.
TF1 News
par Romain Le Vern
Premier film aussi séduisant que roublard, naviguant à vue entre réalité et fantasme pour travailler la frustration, l'imagination, la sensualité.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
"Blind" reste un joli objet, mais trop sage pour nous faire partager pleinement sa singularité et prolonger la beauté du mirage.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Première
par Frédéric Foubert
Par définition, la cécité est un formidable enjeu de cinéma. Signé par le scénariste d’"Oslo, 31 août", "Blind" se veut un exercice de style mental et sensoriel, qui a les défauts et les qualités typiques des premiers longs : bourré d’idées et de bonnes intentions, un peu bancal et vain à l’arrivée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Pendant une grosse demi-heure, le premier film du coscénariste de Joachim Trier (Oslo, 31 août) entretient habilement le doute entre fantasmes et réalité. Mais l'accumulation de scènes voyeuristes et une réalisation par trop glaciale finissent par bloquer toute émotion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Aussi dérangeant que fascinant, "Blind" réforme remarquablement les codes du film miroir, en replaçant la sensualité au centre de son intrigue.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Enserré dans une lumière métallique et interprété par des acteurs sans passion, "Blind" tient alors beaucoup de l’ennuyeux exposé autour de la-solitude-urbaine-contemporaine et ne suscite qu’à de rares reprises le vertige de la vision d’un couple devenu incapable de se regarder en face.
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Esthétiquement, "Blind" gonfle les muscles, déroule toute la signalétique attendue d’un film d’auteur désuet (…) mais il lui manque une vision, quelque chose à raconter ou, tout simplement, un sens, peut-être celui du cinéma.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si l’aspect sensoriel du récit est plaisant, en revanche les tours de passe-passe destinés à exprimer la subjectivité de l’héroïne en modifiant divers personnages ou décors déconcertent.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un curieux film où le spectateur n’y voit pas toujours très clair, en relation avec les zones obscures du sexe qu’arpente le film.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film d'Eskil Vogt se perd dans un érotisme chichiteux, lesté par la recherche à tout prix d'images traduisant des concepts prédigérés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Rien à voir avec une œuvre incarnée et sensible. Un exercice chicos et aquoiboniste, donc.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Le film, par sa facture glacée et la sophistication de son montage, est trop proche de ce que Joachim Trier a fait jusqu’ici pour ne pas lui être comparé et, hélas !, pas à son avantage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Olivier De Bruyn
A force de multiplier faux-semblants et situations dramatiques artificielles, le cinéaste se perd dans un scénario inutilement alambiqué et ses personnages, d'abord mystérieux, deviennent des pions interchangeables, s'agitant en vain selon la volonté d'un cinéaste qui ne sait plus où les entraîner. Frustrant.
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Un paradigme de scénario inutilement et ostentatoirement alambiqué et de mise en scène poseuse.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
En dépit d'une tonalité plus goguenarde que chez Michael Haneke ou Lars von Trier, Blind se nourrit donc aux mêmes mamelles : humiliation (pour le personnage) et mauvaise conscience (pour le spectateur).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Josué Morel
Un homme seul, devant son ordinateur ou sa fenêtre : voilà la grande image du film, qui nous dit que chacun est quelque part aveugle et prisonnier de ce monde ultra-connecté.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Guillaume Loison
Le problème de "Blind" est double. D'abord, l'ambiguïté qu'il affiche n'est qu'une baudruche trouée. Et puis le mépris du cinéaste pour ses personnages, dont il n'enregistre que les pulsions misérables et la déchéance programmée, précipite le film dans la vacuité. Antipathique.
Le Parisien
par Hubert Lizé
Sous couvert d'érotisme soft et de voyeurisme de proximité, ce film qui met en scène des êtres mal dans leur peau développe un scénario complètement fumeux qui plonge le spectateur dans le brouillard le plus opaque.
20 Minutes
Une véritable expérience sensorielle entre thriller et cinéma expérimental.
L'Express
Thriller norvégien inquiétant et un brin formaliste, mais qui intrigue suffisament pour tenir la distance.
TF1 News
Premier film aussi séduisant que roublard, naviguant à vue entre réalité et fantasme pour travailler la frustration, l'imagination, la sensualité.
Culturopoing.com
"Blind" reste un joli objet, mais trop sage pour nous faire partager pleinement sa singularité et prolonger la beauté du mirage.
Première
Par définition, la cécité est un formidable enjeu de cinéma. Signé par le scénariste d’"Oslo, 31 août", "Blind" se veut un exercice de style mental et sensoriel, qui a les défauts et les qualités typiques des premiers longs : bourré d’idées et de bonnes intentions, un peu bancal et vain à l’arrivée.
Télérama
Pendant une grosse demi-heure, le premier film du coscénariste de Joachim Trier (Oslo, 31 août) entretient habilement le doute entre fantasmes et réalité. Mais l'accumulation de scènes voyeuristes et une réalisation par trop glaciale finissent par bloquer toute émotion.
aVoir-aLire.com
Aussi dérangeant que fascinant, "Blind" réforme remarquablement les codes du film miroir, en replaçant la sensualité au centre de son intrigue.
Cahiers du Cinéma
Enserré dans une lumière métallique et interprété par des acteurs sans passion, "Blind" tient alors beaucoup de l’ennuyeux exposé autour de la-solitude-urbaine-contemporaine et ne suscite qu’à de rares reprises le vertige de la vision d’un couple devenu incapable de se regarder en face.
Charlie Hebdo
Esthétiquement, "Blind" gonfle les muscles, déroule toute la signalétique attendue d’un film d’auteur désuet (…) mais il lui manque une vision, quelque chose à raconter ou, tout simplement, un sens, peut-être celui du cinéma.
L'Humanité
Si l’aspect sensoriel du récit est plaisant, en revanche les tours de passe-passe destinés à exprimer la subjectivité de l’héroïne en modifiant divers personnages ou décors déconcertent.
Le Dauphiné Libéré
Un curieux film où le spectateur n’y voit pas toujours très clair, en relation avec les zones obscures du sexe qu’arpente le film.
Le Monde
Le film d'Eskil Vogt se perd dans un érotisme chichiteux, lesté par la recherche à tout prix d'images traduisant des concepts prédigérés.
Les Inrockuptibles
Rien à voir avec une œuvre incarnée et sensible. Un exercice chicos et aquoiboniste, donc.
Libération
Le film, par sa facture glacée et la sophistication de son montage, est trop proche de ce que Joachim Trier a fait jusqu’ici pour ne pas lui être comparé et, hélas !, pas à son avantage.
Positif
A force de multiplier faux-semblants et situations dramatiques artificielles, le cinéaste se perd dans un scénario inutilement alambiqué et ses personnages, d'abord mystérieux, deviennent des pions interchangeables, s'agitant en vain selon la volonté d'un cinéaste qui ne sait plus où les entraîner. Frustrant.
Studio Ciné Live
Un paradigme de scénario inutilement et ostentatoirement alambiqué et de mise en scène poseuse.
Chronic'art.com
En dépit d'une tonalité plus goguenarde que chez Michael Haneke ou Lars von Trier, Blind se nourrit donc aux mêmes mamelles : humiliation (pour le personnage) et mauvaise conscience (pour le spectateur).
Critikat.com
Un homme seul, devant son ordinateur ou sa fenêtre : voilà la grande image du film, qui nous dit que chacun est quelque part aveugle et prisonnier de ce monde ultra-connecté.
L'Obs
Le problème de "Blind" est double. D'abord, l'ambiguïté qu'il affiche n'est qu'une baudruche trouée. Et puis le mépris du cinéaste pour ses personnages, dont il n'enregistre que les pulsions misérables et la déchéance programmée, précipite le film dans la vacuité. Antipathique.
Le Parisien
Sous couvert d'érotisme soft et de voyeurisme de proximité, ce film qui met en scène des êtres mal dans leur peau développe un scénario complètement fumeux qui plonge le spectateur dans le brouillard le plus opaque.