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    Boyhood
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    4,2
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    544 critiques spectateurs

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    Juan 75
    Juan 75

    59 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 août 2014
    La fausse bonne idée de voir vieillir les acteurs n'est pas exploitée par Linklater ! Aucun scénario, des dialogues plats, aucune réflexion profonde sur le temps qui passe à part le petage de plomb incongru et bref de la mère.
    Un message extrêmement conservateur sur la famille : étrange scène du cadeau de la carabine par le grand-père, une ou deux remarques homophobes...
    nathaliewell
    nathaliewell

    21 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 août 2014
    Le réalisateur a filmé chaque année durant 12 ans les mêmes comédiens pour faire un film unique sur la famille et le temps qui passe. Idée originale qui donne immédiatement envie d’aller voir ce film. Si cette originale façon de réaliser son film est indéniable, à part cette originalité, il ne se passe pas grand-chose. Le film qui fait 2h45, m’a semblé durer 12 ans ! C’était long, et je n'ai pas réussi à ressentir une émotion quelconques. C’est banal, c’est plat. 12 ans à faire son film okay, mais encore faut-il qu’à l’écran on ressente une émotion, une adéquation, hors il n’en est rien. C’est ennuyeux à en mourir. Je n’ai pas quitté la salle parce qu’il est important pour moi de voir une œuvre jusqu’au bout pour me faire un avis, mais je me suis terriblement ennuyé. Film pathétique tant il n’en ressort qu’un immense vide. Le réalisateur a peut-être passé 12 ans de sa vie à faire ce mauvais long métrage, moi j’ai perdu 2h45 de mon temps.
    TommySenti
    TommySenti

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 septembre 2014
    Une suite de petits moments de vie. Un grand film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 septembre 2014
    Ce film est un miracle. Qui aurait pu penser qu'on puisse dire aussi peu de choses en autant de minutes (165min) ? Personne. L'idée originale était pourtant... originale. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 juillet 2014
    Comment ne pas se laisser bercer par cette jolie chronique du temps qui passe. La vie y est racontée sans emphase mais avec un réel talent dans la narration. La société américaine est superbement décrite avec toutes ses contradictions : La liberté et l'insouciance face aux traditions et aux combats quotidiens pour payer ses factures, fonder une famille, éduquer ses enfants, s'accomplir dans sa vie professionnelle. Le projet cinématographique était au départ ambitieux. Il est parfaitement réussi grace à la constance des acteurs mais surtout grâce à la qualité du montage qui nous emmène d'une séquence à l'autre tout au long de l'enfance du petit Mason.
    Shinny
    Shinny

    41 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 janvier 2016
    Le concept de suivre un acteur de son enfance à l'âge adulte rend le film original et change en effet le regard du téléspectateur. Les difficultés sont montrées avec simplicité comme elles le sont dans la vie, sans melodrama. Cependant je n'ai pas su rentrer entièrement dans la peau du personnage principal, qui devient un peu trop lisse en grandissant. Dommage car ca donne une certaine lenteur au film qui reste dans la tête et donne un arrière goût d'inachevé.
    Cyril B
    Cyril B

    14 abonnés 330 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juillet 2014
    Ça faisait un moment que j'attendais ce film conceptuel. Et whaou ! J'ai adoré ! Et pourtant plein de gens n'aimeront pas. Parce que le film est long (et je l'ai ressenti dans le dernier quart uniquement). Parce que l'histoire est relativement commune et certains s’ennuieront. Pourtant j'ai adoré. Adoré le concept : un film qui se déroule sur 12 ans et filmé périodiquement pendant 12 ans pour paralléliser les vieillissements des acteurs et de leurs personnages. On n'avait jamais vu ça dans un seul long métrage (je mets bien sur les sagas (Harry Potter...) et les séries de côté). Adoré malgré tout le scénario qui fait a su faire évoluer les personnages, les lieux, et qui les intègrent parfaitement dans les événements réels de leurs années respectives. Le scénario a donc du être modelé au fur et à mesure des 12 années de tournage pour coller à l'époque correspondante. Adoré les acteurs. Adoré la mise en scène. Adoré la bande originale : de très bons choix ont été fait et ont pioché dans certains groupes que j'apprécient particulièrement, notamment Coldplay ou Pink Floyd. Adoré ce time movie particulier qui nous fait voyager réellement dans le temps. A privilégier en VOST. Excellent film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 septembre 2014
    C'est la première fois que je regrette d'être allée au ciné seule tellement j'étais bouleversée à la sortie de ce film avec juste l'envie de partager toutes ces émotions avec quelqu'un. Histoire simple, acteurs magnifiques, bande son exceptionnelle... J'en avais presque les larmes au yeux en sortant de la salle, triste de quitter ces personnages après avoir partagé ces 12 ans avec eux. Il faut aussi avouer qu'en tant que mère, je n'ai pas pu me m'empêcher de me projeter en voyant Patricia Arquette faire le bilan de sa vie lorsque Mason quitte le "nid". Pour moi, c'est le meilleur film de l'année, limite le meilleur film que j'ai jamais vu au cinéma. J'en rédige même ma première critique !
    elriad
    elriad

    433 abonnés 1 859 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 février 2015
    Ou la petite musique de vie filmée avec une rare subtilité. La caméra semble se poser, témoin sans parti-pris, fluide,discrète, pour suivre cette famille qui pourrait être vous, moi, l'américain moyen.
    Avec ses joies, ses amours, ses divorces, ses peines, ses espoirs....
    Tranche après tranche, année après année, les visages s'épaississant, les corps se transformant, les mentalités se modelant...
    la pendule de la vie avance, immuable, parfois douce et violente, toujours sans parti-pris, et l'on se surprend à rire, à être ému, à se reconnaitre même.
    Incroyable projet d'avoir suivi cette famille sur 12 ans, rendant avec force la volonté de semer la petite graine , le petit souffle qui nous anime tous, nous fait avancer.
    Jusqu'à l'émancipation. Un cycle se termine, un autre s'ouvre, c'est la petite musique de la vie.
    Et le film s'arrête après 2H45.
    Déjà?...
    Vivien19
    Vivien19

    63 abonnés 443 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 août 2014
    Il paraît impossible d'émettre un avis à chaud de Boyhood. Une oeuvre si dense, si longue, si monumentale qu'une prise de recul - plus ou moins importante - s'impose pour en percevoir les tenants, les aboutissants, les enjeux, la force, l'universalité. Il y a douze ans, Richard Linklater se lançait dans le projet de ce film fleuve - déjà auteur d'une autre oeuvre marquée par le long terme (la trilogie Before... qui s'étale sur vingt ans), il s'est au fur et à mesure des années caractérisé comme l'un des cinéastes expérimental les plus "grand public" de sa génération. Avec un planning de tournage de trois quatre jours par an, réparti sur plus d'une décennie, aucun doute qu'une telle ambition nécessitait énormément de patience, dans une industrie qui semble se presser de plus en plus. En suivant la jeunesse et l'adolescence d'un jeune garçon du Texas, Linklater pose sa caméra dans notre quotidien. Le seul moteur narratif, l'unique fil rouge de cette aventure c'est l'histoire de Mason, interprété par Ellar Coltrane qui, pendant cette décennie de cinéma, va grandir avec son personnage.

    De tels ambitions, un tel risque technique, menaçait le film de se heurter à de multiples pièges - le sentimentalisme, l'habituelle et redondante morale Carpe Diem, l'absence d'enjeux scénaristiques (le film était effectivement écrit au fur et à mesure des années par Linklater). Mais Boyhood évite tout cela. Jamais tire-larme, subtil et habile dans sa manière de filmer le temps qui passe, usant d'ellipses à peine perceptibles, arrivant à capter l'instant présent sans jamais l'entacher d'un quelconque message archétypique - c'est juste, c'est tellement juste. Chaque seconde du film porte une odeur du passé, l'impression d'un souvenir anecdotique de l'enfance, comme on en possède tous. Des simples moments de bonheur et de malheur silencieux, du camping avec le père invisible jusqu'à l'épreuve d'un déménagement soudain - des briques, posées une à une, que le héros semble nous rapporter de sa mémoire, comme si ce dernier plan - magnifique - était l'occasion pour lui de se remémorer toutes ces années. Perdues ? Non. Juste quelques mètres derrière. Et cette chronique que Linklater conte avec un charme et une intelligence folle est un moment à la fois de dépaysement et de retrouvailles - impossible de ne pas retrouver une parcelle de soi chez Mason, sorte de figure universelle de chacun d'entre nous mais qui n'en demeure pas moins un personnage travaillé, attachant et parfois détestable, mais qui regorge d'humanité.

    C'est avec une once de nostalgie qu'on en vient à se remémorer Boyhood - sur le moment cela ne semblait pas si génial, pourtant ? Les scènes nous reviennent en tête, comme si elles avaient rejoint nos propres souvenirs. Un passage qui n'avait rien de particulier lors de son visionnage mais qui nous hante, encore et encore, comme si l'on n'en avait pas assez profité. C'est avec classe et finesse que le film de Linklater vient remplir une certaine définition que l'on peut avoir du cinéma - fin des images, début du film. Comme si les impressionnantes 2h42 que dure Boyhood ne suffisaient pas, sa force et sa puissance reviennent vers nous de temps à autres dans les jours, les semaines qui suivent. Est-ce donc un film qui marque ? Pas au sens strict. Plutôt un film qui fait son effet après la fin du générique, laissant cette empreinte très profonde mais forgée sans prévenir.
    Quelque part, Linklater fait beaucoup appel au ressenti de chacun, à une subjectivité qu'on a tendance à refouler - alors qu'elle est parfois l'essence même d'un film. Expérience au-delà de toute notation, aussi terre à terre et réaliste qu'elle est rêveuse - il semble alors impossible d'avoir pris assez de distance avec Boyhood pour prétendre en faire une analyse complète et irréprochable.

    Annoncé comme le chef d'oeuvre de la décennie, il faudra du temps au film de Linklater pour acquérir complètement la réputation qu'il mérite, et encore plus à certains spectateurs pas forcément impressionnés au premier abord pour prendre conscience de la teneur de cet objet filmique à la fois unique et inimitable. Il n'y avait que Linklater pour réaliser un tel miracle, et il l'a fait. À l'heure où certains critiquent le manque de prise de risque du cinéma américain, Boyhood remet les pendules à l'heure et rappelle avec une maîtrise et une construction ô combien brillante que le Septième Art est encore loin d'avoir tout dit. Il fallait du courage, et ça a payé.
    Amaury F
    Amaury F

    27 abonnés 151 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 février 2015
    Boyhood est un film magnifique, mais c'est surtout un projet fou signé Richard Linklater : En 2002, le réalisateur de Before Sunrise fait passer une audition à un garçon de six ans, il débute ensuite un tournage qui s'étalera sur une période de douze années, tout en gardant les mêmes comédiens. Ce procédé, ainsi que la mise en scène naturaliste et l'absence de maquillage, rendent le film très réaliste. Linklater filme tout simplement la vie, le temps qui passe. Un beau moment de cinéma.
    selenie
    selenie

    6 241 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 février 2016
    Richard Linklater, un réalisateur qu'on apprécie beaucoup connu notamment pour sa trilogie du couple avec Ethan Hawke. Il retrouve son acteur fétiche pour ce film qui ne manque pas d'ambition. Filmer la vie d'un gamin sur 12 années, de ses 6 ans à ses 18 ans avec les mêmes acteurs et la même équipe technique ! Si le projet est prometteur, la thématique universel et les acteurs tous bons et investis (il le faut sur 12 ans !) on a pourtant un soucis de taille. 12 années où la vie de Mason reste très banale et sans enjeu véritable. Pas d'intrigue, pas de tension, Mason a une vie trop classique, sans surprise, sans piment... Un tel destin ne méritait pas un long métrage de cinéma.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    109 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mars 2015
    Récipiendaire d’un Golden Globe pour meilleur film dramatique, récompensé au BAFTA comme meilleur film, Boyhood, de Richard Linklater, n’aura finalement manqué que l’Oscar suprême. Son concept novateur, soit un tournage échelonné sur douze bonnes années, en aura fait un illustre prétendant à toutes formes de récompenses. Mais Boyhood vaut-il réellement tous les efforts déployés, vaut-il intrinsèquement la portée de son mode de fabrication inédit? Eh bien pas forcément. On admet volontiers l’intérêt d’un tel film, produit atypique mais diablement curieux qui voit le cycle de la vie prendre un réel sens à l'écran. Linklater, habile artisan du cinéma indépendant américain, pousse le passage du temps à son apogée en filmant une famille décomposée, plus spécifiquement le cadet de la famille, d’abord enfant, adolescent puis finalement jeune adulte. L’évolution de ce personnage central, physique, mentale, est sans conteste l’atout majeur de la production. On admet également les très bonnes prestations à la fois d’Ethan Hawke et de Patricia Arquette, cette dernière ayant été récompensée, pour la forme, par un Oscar.

    Mais finalement, la force originale du métrage en constitue aussi sa faiblesse. Curieusement, s’il est intéressant de suivre l’évolution du jeune adolescent, il apparaît que les sauts de puces temporels incessants prétéritent la lisibilité de l’œuvre. En vérité, on ne peut décidément tout avoir sans que des grains de sable ne viennent enrayer cette belle mécanique de précision. Bien souvent, au cours des deux heures et trente minutes que dure le film, seules les coiffures des intervenants viennent nous signifier une évolution, un écart dans le temps. Dans un premier temps, cela n’est certes pas gênant, mais cette machinerie devient lassante sur la durée, empêchant résolument le public de réellement s’attacher aux divers protagonistes. Il apparaît également que la première moitié du métrage s’avère sacrément meilleure que la seconde. En effet, le cinéaste orientant durant celle-ci notre regard sur l’enfance, on découvrira la partie du film le plus naturelle et surtout la moins philosophique et futile. En somme, lorsque le jeune Mason était enfant, il était attachant, innocent et amusant. Devenu grand, le gaillard se noie en paroles veines et en grandes réflexions sur le sens de la vie.

    On peut donc trancher clairement en faveur d’une entrée en matière excellente puis d’un final douteux. Voilà donc la grande faiblesse de ce concept étrange. Tout ce temps de visionnage pour que l’on nous serve finalement une pseudo-analyse sur la vie de l’homme, sur l’importance du moment présent, sur la nécessité de l’épanouissement. Le postulat aurait sans doute fait mouche si Linklater n’était pas qu’un simple voyeur passif ingénieux mais aussi un metteur en scène actif qui visait une conclusion déroutante. En tout et pour tout, Boyhood n’est rien d’autre qu’une chronique passive d’un morceau de vie parmi des milliards d’autres, sans réelle dramaturgie, sans une once d’humour, sans éclats. Seuls quelques dialogues habilement écrits, seules quelques séquences attendrissantes viennent nous rappeler que Boyhood est aussi un film et pas seulement une expérience.

    Très honnêtement, l’heure et demie passée, le film devient légèrement désagréable parce que long à se déployer, dans l’attente d’une vraie évolution qui ne viendra jamais. Accessoirement, ce type de tournage, étalé sur des années, est certes inédit au cinéma, mais le support cousin, la télévision, plus précisément la série, en a pourtant fait son mode de fonctionnement. Au final, Boyhood n’est peut-être pas si révolutionnaire. Le metteur en scène en a pris l’initiative, on l’en salue, mais peut-être pouvait-il se le permettre et d’autre non. Quoiqu'il en soit, si ce type de tournage par séquences annuelles devient légion, nous ne sommes pas prêts d’en découvrir les nouvelles créations. Attendons douze ans pour voir revenir un tel film, dans l’espoir qu’il soit actif et non passif, comme celui-ci. 09/20
    Le Guerrier
    Le Guerrier

    76 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 novembre 2020
    J'ai un avis mitigé sur ce film...En effet, l'idée est excellente: tourner avec les mêmes acteurs pendant douze ans, quoi de mieux pour parler du temps qui passe? Et effectivement le film y arrive plutôt bien, avec une évolution physique mais aussi psychologique des personnages (les deux parents et les deux enfants, mais aussi les personnages qui gravitent autour). Il s'agit de raconter les petits plaisirs et aussi les galères que rencontre une famille de classe moyenne aux Etats Unis (plus précisément au Texas). C'est assez immersif; et ce qui est par ailleurs intéressant c'est de voir les constantes qui peuvent se dégager dans la vie des personnages: par exemple la mère qui accumule une ribambelle d'ex-maris ou ex-petits amis plus fous les uns que les autres (excepté le premier, incarné par Ethan Hawke qui n'est pas vraiment fou mais plutôt totalement irresponsable...). Mais aussi de voir tout ce qui peut évoluer dans leur vie: par exemple le père incarné par Ethan Hawke change progressivement, devient plus mature, plus responsable...Toutefois j'ai trouvé l'exercice en définitive un peu vain...A quoi bon suivre ces vies qui n'ont rien d'exceptionnel (et qui sont même en réalité plutôt chiantes)? A quoi est-ce que cela sert de montrer cela à l'écran? La question, le film semble vouloir se la poser, surtout vers la fin, mais sans jamais arriver à en formuler clairement les termes...Dès lors, il n'arrive pas tout à fait à apporter une réponse...Effectivement, il s'agit pour chacun vaille que vaille d'avancer et de faire du mieux qu'il le peut, et de chercher à être heureux, y compris via les petits plaisirs de la vie quotidienne...Mais cela le film n'arrive jamais à vraiment le formuler, et en tout cas n'insiste pas assez là dessus...Donc au total un film original mais un peu vain...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 8 septembre 2014
    Allons directement à la raison pour laquelle le film a fait parler de lui : les mêmes acteurs sur une longue période, filmés à différentes étape de la vie d'une famille. Le concept est en lui même inutile et n'apporte qu' une complication supplémentaire à la production et l'avantage de ne pas devoir faire appel à différents jeûnes comédiens pour jouer les différents âges des enfants qui grandissent. Le film est évidemment trop long (2h45 …) , possède des scènes qui n'apportent rien et qui ne font echo à aucun autre moment du film : spoiler: par exemple celle dans les toilettes avec les enfants qui le bousculent, celle ou se sœur a oublié de le chercher ou encore certains scènes d'école
    … Ceci étant dit le film montre des moments touchants, notamment entre père et fils, ou le talent de Ethan Hawke est évident, comme de coutume avec l'acteur. Ou la scène traitant de contraception. Patricia Arquette fait le job même si elle possède moins de talent. Enfin le film nous montre un Texas hors des clichés habituels, même s'il effleure la vie de tous ces gens en accumulants les photographies à la manière du personnage principal, sans donner de véritable cohérence ou d'épaisseur au tout. Dans le genre, préférez lui The Spectacular Now sorti l'année précédente
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