Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Vinz1
175 abonnés
2 425 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 14 septembre 2020
Dans ce prequel, c'est l'homme qui traque le singe et non plus Charlton Heston qui est pourchassé par les primates, sur fond d’extinction de l’humanité à cause d’un virus. L’heure du combat décisif est venue et c’est à cela que l’on assiste tout au long du film avec d’un côté, le chef des humains, le très bon et impitoyable Woody Harrelson et de l’autre, un César emblématique, sorte de Moïse moderne, habité par son devoir de protéger son peuple et sa haine envers les hommes. Si côté effets spéciaux et personnages secondaires attachants (Nova et l’autre singe parlant) ainsi qu’avec une nouveauté scénaristique on est servi (cf. le virus touchant au langage), le métrage pèche par son manque d’action et de combats véritables, en clair cela manque clairement de scènes de bataille dantesques ! Mais bon, au final, si le film a quelque peu menti sur son contenu et qu'il n'y a pas de véritable « guerre de la planète des singes » pure et dure, Matt Reeves nous offre quand même une très bonne conclusion quant à cette nouvelle trilogie aux multiples références, qu’elles soient d’actualité ou bibliques.
3e et dernier opus du reboot de la planète des singes avec une histoire du point de vue des singes cette fois ! C'était pas mal mais j'ai trouvé quand même que le film était un poil trop long, 20 minutes en moins n'auraient pas fait de mal pour dynamiser le film. Sinon les singes très bien faits et les batailles entre les deux groupes de soldats avec les hélicos assez spectaculaires. Quelques explications supplémentaires sur le virus auraient été apprécié aussi... 3/5
déception... aucune originalité dans le scénario. belle prouesse technologique pour les effets spéciaux qui reproduisent les singes. mais ce groupe de paramilitaire avec son gros méchant a lunettes ça gâche vraiment tout. bref c'est du hollywood d'aujourd'hui. Ça pourrait être bien mais ça ne l'ai pas.
tout d'abord, je voudrais mettre certains points du film au clair. pour ceux qui se rappellent des premiers volets avec Charlton Heston,, le singe, mari de la scientifique qui l'aide à s'échapper, s'appelle " Cornélius " ! tiens, le flls de César s'appelle aussi Cornélius.coïncidence étrange non ? ben non, en fait, parce que si on suit la logique de la suite que seront les premiers volets, on le retrouvera parmi les singes qui parlent, alors que les êtres humains non. d'autant plus qu'un prénom pareil, ça ne s'invente pas ! autre chose : je lis un peu partout ici, que l'humanité s'est éteinte. non, il reste des humains qui petit à petit, vont perdre la parole et qui vont être les esclaves des singes.
pour en revenir au contenu du film, ce n'est pas pour moi, le meilleur. ça traine en longueur, ça manque d'action, mais en faisant abstraction de cela, on peut dire que war of the planet of the apes, ( gardons le titre original ) est le volet le plus sombre de la pré trilogie. la fin est logique, bien que je me demande encore ce que la petite fille vient faire là ?? les personnages sont tous très sombres, seul le petit singe comique nous soutire quelques sourires. dommage que le film s'éternise en palabres parfois ( presque) inutiles.
Je viens de voir ce dernier volet. Comme beaucoup d'entre vous, je suis bluffé par les effets spéciaux. Que du bonheur. Par contre, pour le reste, je reste très dubitatif. Longueur mais aussi beaucoup d'incohérences (certaines décrites dans les commentaires ci-dessous). Pour ma part, je n'en relèverai qu'une, de taille: comment est-ce possible qu'un cheval puisse supporter le poids d'un gorille (250 à 300 kg) et même galoper ?
Pour infos:
Un ratio poids du cavalier/poids du cheval de 10 à 15 % est l'idéal. Au-delà, le poids du cavalier aurait des conséquences néfastes pour la santé du cheval. Ainsi pour un cheval de 400 kg le poids du cavalier ne devrait pas dépasser 60 kg. De même pour un cheval de 500 kg le poids du cavalier ne devrait pas excéder 75 kg.
Une conclusion à l'image de la trilogie : décevante.
Cet opus est axé sur l'exode des singes de la forêt pour vivre en paix, loin des humains voulant la guerre. Mais finalement on a droit a une débâcle d'action, et les passages qui ont réellement du sens, ou pourrait nous faire poser les bonnes questions sur nous mêmes sont bâclés et trop rapides. Bref un film d'action, un volet "Planète des singes" tout aussi décevant et hors propos que son prédécesseur.
plus de 45 ans après la saga originelle, cette nouvelle variation n'apporte guère grand chose de nouveau dans le fond! au milieu de quelques invraisemblances, on notera l'intensité émotionnelle, la solidarité parfaitement mis en avant : des singes finalement plus humains que les humains eux-mêmes! des décors superbes pour agrémenter, quelques scènes héroïques, un face à face entre Cesar et le colonet (W. Harrelson) pour maintenir l'intérêt.
J'avais bien aimé les deux premiers opus. Mais le scénario est ultra linéaire et téléphoné. Je me suis ennuyé du début à la fin. Le rythme est très mal géré, les incohérences se succèdent... À fuir...
Caesar, le chef des singes, décide de lancer une vendetta personnelle contre le colonel McCullough qui a tué sa femme et sa fille.
Mon résumé est bien court ? C'est que le scénario de ce troisième volet du reboot de l'indépassable chef d’œuvre de 1968 avec Charlton Heston est indigent.
Mais revenons un instant en arrière. En 1963 le Français Pierre Boulle écrit un bref roman de 270 pages qui devient immédiatement un best-seller. Les droits sont achetés par Hollywood qui le porte à l'écran en 1968. Le film est un succès mondial. Sa scène finale - qui ne figurait pas dans le livre - est restée dans toutes les mémoires. Des suites, de plus en plus médiocres, sont tournées en 1970, 1971, 1972 et 1973. En 2001, Tim Burton en refait l'adaptation. Il est de bon ton d'en dire du mal. "La Planète des singes" serait un accident de parcours dans la filmographie éblouissante du grand réalisateur. Pourtant, il n'est pas si mauvais. Sa scène finale, sans égaler celle de 1968, n'est pas sotte. En 2011, Hollywood décide de redémarrer ("rebooter") la franchise. Trois films sont prévus qui raconteront comment les Singes sont devenus les maîtres de la Terre. Leur titre a manifestement plongé dans la confusion la plus absolue leurs traducteurs français. "Rise of the Planet of the Apes" a été traduit "La Planète des Singes : Les Origines". "Dawn of the Planet of the Apes" devient "L'Affrontement". Et le troisième opus, "War of the Planet of the Apes" est traduit "Suprématie". J'avoue un certain désarroi. Voire un léger agacement.
Mais le plus grave n'est pas là. "La Planète des singes" repose sur un mécanisme simple et formidablement efficace : le renversement des hiérarchies biologiques ou raciales. L'homme détrôné de sa place centrale est remplacé par un animal de cirque. Or ce ressort a été totalement abandonné dans le dernier épisode. Caesar est devenu humain, trop humain. C'est un personnage en quête de vengeance. Une vengeance qu'il veut exercer contre un humain qui, lui, est réduit au rang d'une brute animale ivre de violence.
"La Planète des Singes : Suprématie" a coûté 150 millions de dollars. Pour ce prix là, on en a sans doute pour ses yeux en guise d'effets spéciaux de chimpanzés filmés en motion capture, de combats et de batailles. Mais ce déploiement extravagant de moyens n'a aucun sens s'il est au service d'un scénario étique qui a perdu de vue les fondamentaux de la série.
Trés bonne écriture du scénario! Très bon film dans l'ensemble! Les scènes et la tournure que prend le scénario est parfait et imprévisible a mon goût.
Comment faire un film qui annihile "La Planète des singes" : ou pourquoi quand on cherche à faire de la money on ne peut réaliser une oeuvre. Obligé d'arrêter à la moitié du film, insipide, au scénario ridicule. C'est du cinéma ça ?
Pour ma part, un film réussi avec une notation comme ici et sur IMDb. Très axé émotion avec des effets très humanisés et bluffants. Si l'histoire est lente à se mettre en place (point de faiblesse pour moi), la suite tient la route, orientée drame et peu d'action (ouf ! çà change), on prend le temps de se poser, sans l'affluence routinière des scènes de "guerre". Quelques scènes amusantes, d'autres bercées de mélancolie, l'émotion passe. Au final, un bon film 4/5 !!!
5 pour les effets spéciaux, inégalés. 0 pour le scénario ni fait ni à faire. 2.5, en moyenne, pour tout le reste. Je passe sur les "niaiseries" abondamment commentées ailleurs : Je ne recherche pas spécialement des œuvres amorales ou immorales, et le thème de l'auto-destruction de l'humanité ou encore de son remplacement par une autre espèce qui serait "meilleure" puisque moins auto-destructrice recèle un minimum de profondeur. Le fait d'illustrer tout ça d'une manière pouvant plaire avant tout à des gosses, pourquoi pas. Franchement, je ne pourrais pas voir que des films comme ça, mais un de temps en temps, c'est ok pour moi. Non, ce qui pose vraiment problème à mes yeux, c'est LA grosse invraisemblance majeure au cœur du film : Les singes qui parlent. Non, je déc#nne. Il y a beaucoup d’invraisemblances "mineures" dans ce film, spoiler: la gamine qui arrive à rentrer dans une base en alerte, les soldats qui ne s'enfoncent pas dans 20 cm de terre friable, etc... MAIS l'évidente invraisemblance, invraisemblable en soi pour un film avec un tel budget, qui m’oblige à mettre carrément zéro au scénario, c'est que spoiler: des exterminateurs de singes - et même d'Hommes contaminés à leur contact - décident de laisser en vie ceux-là même qui refilent le plus évidemment l'agent pathogène et de vivre avec eux quotidiennement... Que ce soit les "mulets" dès le début du film, et à fortiori tout "la harde" capturée au milieu, qu'est-ce que ces soldats "purgateurs" ont dans la tête en prenant ainsi le risque maximum de propager la contamination, à commencer par eux-même, alors que leur mobile obsessionnel, celui de leur colonel qu'ils adorent en bons fachos, est justement d'éradiquer le pathogène et ceux qui le véhiculent ? C'est tellement GROS et CENTRAL comme incohérence que même avec toute la bonne volonté du monde, on ne peut pas fermer les yeux là-dessus : Tout le reste du film s'écroule en une improbable avalanche nihiliste, une hémorragie ebolesque de cerveau, à cause de ça... - Oui, ça fait saigner du cerveau si on en a un. Du coup, les allusions très téléphonées à de véritables problèmes sociologiques d'actualité ( frontière matérialisée par un mur, travaux forcés et exploitation "raciste" / spéciste, exode, etc... ) TOUT prends l'eau : Alors pourtant que c'est d'une importance capitale de nos jours que de véhiculer certains messages humanistes, le fait d'ainsi les véhiculer sur une base sapée par une insondable faille de bêtise se traduisant par des facilités scénaristiques entraînant elles-même des incohérences et invraisemblances majeures est un pur sabotage de l'idéologie humaniste elle-même. Triste. Le scénario mériterait même une notre négative, du coup.
Film vraiment lourd, dans le mauvais sens du terme. Abus de la musique pour jouer sur les émotions. Comme si la lourdeur du choix de ne faire parler les singes que par la langue des signes ajoute encore de la lourdeur.
La trame scénaristique est très faible voire insuffisante. On voit les ficelles grosses comme des maisons. Les effets spéciaux sont omniprésents et pourtant ils font si peu naturels dans pas mal de scènes importantes...
Je n'ai pas vu le premier opus et ne compte pas le voir. On est à des années lumières de la planète des singes historique.
Je ne sais pas trop quoi retenir de ce film si ce n'est que j'ai l'impression d'avoir perdu 2 heures trente à regarder un blockbuster sans intérêt.