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Un visiteur
5,0
Publiée le 4 août 2017
Enfin un très beau film!! C’était un énorme plaisir de le découvrir. Avec toute honnêteté c'est un très beau film, une très belle histoire, un conte des temps modernes. Une belle interprétation, un très beau montages et des effets spéciaux très réalistes. Si vous aimez les belles histoires et le grand cinéma,et que avez envie de passer un bon moment, alors n'hésitez pas à aller voir ce film!
Treeees décevant. Scénario faiblard et larmoyant. Rien à voir avec les deux premiers. Où les effets spéciaux sont bons, mais les caractères du film sont plats. Cesar est l'ombre de lui même, Le méchant est très méchant et stupide, La petite fille très mimi mais à quoi elle sert vraiment.
Niais, lent, long. La saga vient d'être massacrée. Le singe "bad ape" vient achever le tout en proposant Jar Jar Binks chez les singes. La catastrophe simiesque est née
Le problème des trilogies créées pour se raccorder à une autre emblématique, c’est que souvent le travail s’en retrouve bâclé ! Car si les auteurs ont une idée bien définie de la fin, il est souvent plus difficile d’y arriver, particulièrement sur trois films. Ce fut le cas avec la plus ou moins désastreuse trilogie préquel de « Star Wars », où George Lucas s’est pris les pieds dans le tapis avec une histoire à l’introduction ratée (Episode 1) et une conclusion sans contenance (Episode 3) en oubliant au passage la cohérence visuelle et artistique nécessaire pour se raccrocher à l’épisode 4. Même chose pour Peter Jackson, qui a voulu faire du « Hobbit », un point de liaison avec la trilogie du « Seigneur des anneaux », mais qui a eu les yeux plus gros que le ventre en décidant d’adapter le livre, qui fait la moitié d’un seul des trois autres, en trois films. Résultat : un « Hobbit : La bataille des cinq armées » inutile et trop étiré sur la longueur.
Et bien avec « La planète des Singes : Suprématie », c’est la même chose ! Initiée en 2011, cette trilogie raconte comment la planète est devenue : « La Planète des singes ». Et si les deux premiers volumes laissaient espérer une trilogie bien pensée et dont le final serait à la hauteur de l’attente suscitée par une histoire qui peut être lue en filigrane comme une alerte aux ravages de l’homme sur les espèces animales et végétales de notre planète (C’est d’ailleurs, le sujet principal du roman de Pierre Boule qui reste la pierre angulaire de l’ensemble), ce troisième volume se révèle bien décevant et particulièrement déroutant par un trop plein de mise en scène étirée en longueur et une excessive mauvaise idée : Le parallèle avec L’Exode dans l’ancien testament.
Dans son scénario, le scénariste Mark Bomback qui avait déjà signé le précédent Opus, se laisse aller à une intrigue qui suit presque dans chacune des étapes, celle de Moise et particulièrement l’Exode avec ce peuple réduit en esclavage, qui ne veut que vivre sur ses terres, cette demande de son leader de ne pas faire la guerre mais de rester dans la forêt voisine sans aucune interaction avec les humains pour que les deux espèces vivent en harmonie et puis bien sûr la lutte sanguinaire obligatoire qui résulte de l’obstination des hommes. Tout cela aurait pu être une bonne idée, mais voilà, le scénario ne va pas assez loin ou, au contraire, se perd dans les méandres d’une histoire qui a bien du mal à se raccorder à celle de Pierre Boule, sachant que ce dernier était plus inquiet de l’usage de la bombe nucléaire que de la cohabitation des espèces. Du coup, le scénario se limite maladroitement à enfiler les clichés, mais oublie le principal, se raccorder à l’œuvre originale, pour qu’elle soit cohérente avec de Franklin J. Schaffner de 1968, dont il reprend des personnages clés comme Cornelius, par exemple.
Et côté mise en scène, on n’obtiendra pas mieux, on retrouve évidemment, des références à « Apocalypse Now », que ce soit dans l’environnement dans lequel évoluent les personnages mais également dans le personnage du colonel qui n’est pas sans rappeler le colonel Kurz du film de Coppola. Le véritable problème de la réalisation de Matt Reeves, qui avait déjà signé le précédent, c’est qu’il étire sur la longueur des scènes dont on aimerait qu’elles prennent fin rapidement. Pour garder tout de même un peu de surprise je ne détaillerais pas ces scènes étirées mais le réalisateur appuie de manière pesante sur la dualité des sentiments qui font le singularité de César, une dualité intérieure pour ne pas ressembler à son ennemi précédent Koba, rongé par la haine, et pour garder une part d’humanité face à des hommes qui en manque cruellement. Mais le résultat est pesant et le spectateur se demande en permanence s’il ne s’est pas fait flouée.
On finira par la distribution complètement absente, à commencer par Woody Harrelson (True Detective) que l’on a vu en meilleur forme et qui se laisse enfermer par son inspiration du personnage de Kurz qui en font une mauvaise caricature et face à un Andy Serkis qui ne sait plus comment donner plus d’humanité à son personnage surjoue en permanence. Et c’est effectivement tout le drame de ce troisième volume attendu que de trop vouloir en faire et de ne pas assez se donner les moyens ou tout du moins de manquer à ce point d’originalité pour en sortir un film sans âmes ni singularité. Même la démarche des singes perd en précision par rapport aux précédents.
Dans un été (ou même une période serait-on tenté de dire) où tous les blockbusters se ressemblent et où on a l’impression d’arriver dans un système en surchauffe où règnent remakes, suites, reboots ou autre prequelles, cette trilogie antérieure chronologiquement à l’œuvre initiale de « La Planète des singes » de Schaffner est une réussite qui se clôture plutôt en beauté même si ce dernier volet est peut-être le plus faible. Une belle trilogie de films qui nous a amené à comprendre comment les singes ont pris le contrôle de la planète. Cependant celui-ci est certainement le moins impressionnant, ou plutôt le moins surprenant des trois. « La Planète des singes, suprématie » fait près de deux heures et vingt minutes et au vu de son récit, somme toute assez simple et direct, il aurait pu facilement faire trente minutes de moins. Cela aurait moins fait traîner le récit en longueur et l’aurait rendu plus tendu.
De plus, cet opus privilégie le drame à l’action, ce qui n’est pas forcément un tort surtout qu’on le droit à de très beaux moments empreints de tragédie familiale ou d’émotion pure. A ce titre, le personnage de la petite fille muette est un plus non négligeable qui véhicule beaucoup de sentiments et même de larmes comme lors de la scène avec la fleur. Mais ce n’est pas une raison pour délaisser les morceaux de bravoure et les scènes d’action, et c’est là que le bât blesse un petit peu. Hormis la scène d’ouverture et le dernier quart d’heure efficaces mais qui ne resteront pas inoubliables (comparés, par exemple, au duel final sur le pont de San Francisco dans le premier opus), il y a peu d’action dans ce troisième volet et ça joue un peu sur le rythme général. Sur un blockbuster de cette trempe c’est un peu dommage qu’un gros combat ou une belle cascade en milieu de récit ne vienne pas donner encore plus de nerf à l’ensemble.
En revanche, la précision et la magnificence des effets spéciaux pour le réalisme des singes est ici poussé à son apogée. C’est tout à fait bluffant, on les croirait vraiment l’égal des humains dans leurs expressions faciales, leurs mouvements et même leurs sentiments. Comme dans les précédents chapitres, il y a ici des questionnements moraux intéressants qui sont développés, des questionnements qui rendent « La Planète des singes, suprématie » plus intelligent que la moyenne des blockbusters actuels et sont en phase avec certains événements de notre époque. Dommage qu’ils ne soient pas encore plus poussés, cela aurait rendu le film encore plus fort. Ce volet emprunte à beaucoup de genres, que ce soit le western, le film de guerre à la « Apocalypse Now » (hommage peut-être un peu trop poussé avec le personnage du colonel) ou même au film d’évasion. D’ailleurs cette dernière partie souffre d’invraisemblances, difficile de croire en effet qu’aucun soldat ne voit les primates s’enfuir. Une conclusion de haute tenue et bien au-dessus de la moyenne du genre mais en deçà du bouquet final espéré.
Quelle magnifique conclusion pour cette trilogie de La Planète des Singes! Beaucoup d'émotions sortent de ce film. On ne peut rester indifférent face à César luttant entre sa vengeance et sa volonté de sauver son peuple. On découvre des primates plus humains que les soldats qu'ils combattent. Le Colonel est d'une cruauté sans limites. C'est un méchant comme on n'en fait plus: charismatique et concentré sur sa mission qu'il pense juste. Les décors ont aussi toute leur importance en nous transportant dans des mondes sauvages que la Nature a su se réapproprier. Les combats sont d'une rare violence face à deux communautés qui font tout pour survivre.
En résumé : déçu. Déçu par rapport aux épisodes précédents qui installaient une mythologie, avec des enjeux profonds, à long terme, alors qu’ici on est dans l’action, le court terme. Déçu par rapport aux critiques dithyrambiques qui ont fait que je m’attendais un chef d’oeuvre là ou je n’ai vu qu’un bon film d’action et encore en 2ème partie parce que la 1ère heure est plutôt soporifique. Il faut tout de même reconnaitre la prouesse technique qui permet aux singes d’être plus expressifs que jamais. On en oublie totalement qu’il s’agit d’effet spéciaux. Superbe mais au service d’un film moyen.
Planète des singes suprématie ou war planet of the apes pour les plus grand fans, est un excellent film. Le numérique est bien travaillé voir bluffant. Les personnages sont bien développés. Le personnage principal ( César ) reste toujours excellent et rejette toujours un charisme fou ! J'admire toujours la prise de risque d'utiliser le langage des signes. Pour certain ça va être gênant si ils regardent toujours les films en vf non sou-titrée pour les autres rien de gênant. Le film est beau laissant transmettre des émotions grave à travers des images et des musiques jouissantes.
Je conseille ce film aux spectateurs pourquoi ce priver d'un blockbuster intelligent ?!!
Le premier la planète des singes était plutôt réussi, mais voici que le troisième volet nous paraît plus ennuyant et long que le deuxième... Aucun scénario, des dialogues idiots ou inexistants, plus d' images ordinateur que d' acteurs. Déplorable, je ne vous le conseille pas du tout.
Le navet 2017, on reste mais pourquoi, pourquoi ???, tout va de pis en pis dans ce film entre les personnages stéréotypés (le pire du pire) , une musique affligeante à trois notes (aie aie aie) qui vous prévient quand on doit frissonner ou pleurer (c'est d'une tristesse en effet), c'est long , très long.
On ne sait pas si on doit rire ou pleurer (de toute façon c'est nerveux
Les effets spéciaux sur les visages sont supers (comme toujours aujourd'hui) mais ils deviennent misérables si on regarde les pattes lors du déplacement des singes , ils flottent sur le sol.
Peut on encore faire confiance aux critiques presse et spectateurs ?
En effet, je suis parti avec toute la famille voir ce dernier opus, et nous avons eu l'impression d'avoir été trompés sur la marchandise.
4.1 de moyenne spectateurs
et pourtant ça faisait bien longtemps que je n'avais pas voulu quitter une séance en cours de route.
Quel ennui ... quelle déception... quel calvaire...
Comment peut on en toute honnêteté donner plus de 1 à un tel navet... - trop long de 50% - scénario vide alors que la ligne directrice pourrait être vraiment intéressante - scènes "abracadabrantesques" - personnages vides, inutiles - musique mièvre, sirupeuse et pénible - alors que j'avais vraiment apprécié les 2 premiers épisodes de la série.
Je laisse donc un avis très négatif qui permettra à certain d'avoir un peu plus d'objectivité avant d'engloutir 12€
Film décevant ! Et pourtant je suis fan de la série. Je me suis vraiment ennuyé. J'ai failli quitter la salle à plusieurs reprises comme beaucoup de spectateurs.
J'ai trouvé ce film bon du début à la fin. La premières scène nous fais tout de suite entrer dans le film, elle arrive à nous capter et elle est spectaculaire en plus d'être bien filmé. Les effets spéciaux sont réussis avec des singes plus vrai que nature. Le scénario est très intéressant. Le leader des primates César paraît très humain dans son comportement, sa manière de s'exprimer, ses mimiques, il fait preuve d'une grande sagesse et d'intelligence. Woody Arelson joue très bien son rôle de chef militaire sans pitié. Le film est tourné dans des paysages naturels avec peu de moments où l'on peut voir des constructions humaines et cela est très plaisant. Les singes ont beaucoup d'intelligence comme peuvent l'avoir les humains mais ils sont tous beaucoup plus sage et dans l'ensemble plus pacifique que beaucoup d'entre nous !!! Ils sont de plus capable d'aimer de ressentir des émotions ainsi pour tout cela on compatit à leur souffrance d'être traqué et assujettis à être éliminé.