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    La Planète des Singes - Suprématie
    Note moyenne
    4,0
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    983 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 juillet 2017
    Fan de cette saga, j ai adore les 2 premiers mais celui la c'est la deception totale : lent, pas d'action, une fin vraiment pourri...bref ne perdez pas votre temps
    Christella S.
    Christella S.

    5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 août 2017
    Superbe film qui montre bien l'évolution psychologique de César qui une fois de plus s'avère être plus humain que les humains eux-mêmes. Le film met en avant de façon subliminal les émotions des personnages grâce aux effets spéciaux mais aussi grâce à des scènes touchantes. Pour moi ce film retranscrit parfaitement la définition subjective que l'on se fait du bien et du mal à travers l'évolution de César. Je conseille ce chef d'œuvre.
    Naïla64
    Naïla64

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 août 2017
    Pour l’avoir vu en avant première : Très belle histoire où l’émotion pour les singes est vraiment transmissible, les décors somptueux et la qualité de la bande originale du film excellente.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 27 août 2017
    De très belles images de synthèse. A part cela, les facilités scénaristiques omniprésentes rendeuce film inintéressant alors que la situation d'une société qui se créé me donnait pleins d'espoir. Enfin, que de clichés...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 septembre 2017
    vraiment mauvais, mise en scène nul, réalisation faible, musique d'opérette.
    peu d'inspiration.
    moralisme à deux balles, scène attendu
    Caine78
    Caine78

    6 790 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 septembre 2017
    Troisième et dernier volet de cette nouvelle saga de « La Planète des singes », « Suprématie » apparaît dans la lignée des précédents, au moins en matière de qualité. Il y a même peut-être une légère montée en puissance concernant les titres, d'autant qu'on sait gré aux scénaristes de parvenir à trouver une histoire vraiment différente à chaque fois, empêchant l'impression de lassitude qui aurait pu s'installer. De plus, techniquement et visuellement cela reste très propre, très soigné, avec un vrai sens du spectacle tout en prenant un minimum soin des personnages (celui d'Amiah Miller est une belle trouvaille) et de leurs motivations, le parti pris évident pour les singes pouvant paraître un peu manichéen, mais offrant un regard différent et intéressant en comparaison des blockbusters habituels. Dommage qu'en définitive, le film ne m'ait pas emporté plus que ça. J'apprécie la démarche, la force de certaines images (la traversée sous la neige avec cette musique imposante : vraiment pas mal), sans jamais réellement m'enflammer. Peut-être cette numérisation des singes avec lesquelles j'ai vraiment un souci, ou cette difficulté qu'a Matt Reeves à nous impliquer corps et âme dans la bataille, quelques soucis de cohérence spoiler: (la petite fille se baladant dans le camp comme à l'hôtel, l'évasion finale rondement menée)
    empêchant également l'œuvre de se situer au sommet de la hiérarchie des blockbusters hollywoodiens récents, comme en témoigne le protagoniste (bien) incarné par Woody Harrelson : gros potentiel, intéressant, sans parvenir à être aussi marquant qu'il ne le devrait. Reste qu'en matière de spectacle intelligent, mené avec talent et sobriété, avec ce qu'il faut d'enjeux et de modernité dans le propos, « La Planète des singes : Suprématie », n'oubliant nullement son glorieux ancêtre de 1968, apparaît comme l'une des grosses productions de qualité en cette année jusqu'ici plutôt moyenne.
    selenie
    selenie

    6 331 abonnés 6 203 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 août 2017
    On remarque plusieurs références dont "Apocalypse Now" (1979) et "Les Sentiers de la Gloire" (1957). On reste une nouvelle fois ébloui par les effets spéciaux, la performance capture est sublime jusqu'au moindre poil primate et on a gagné encore au niveau émotion, à tel point que Reeves insiste lourdement sur les regards des singes avec longueurs, ralentis et pathos de circonstances. Mais surtout le scénario, s'il reste très prenant, est plombé par 2-3 rebondissements illogiques. Néanmoins on reste scotché au siège par le réalisme et l'émotion qui en découle. Le film surnage clairement grâce à ça. Note généreuse...
    Site : Selenie
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    197 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 août 2017
    Le meilleur volet qui surpasse de loin le deuxième. Émotions garanties du début à la fin et qui s'achève en bouclant la boucle... César restera dans les mémoires.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 octobre 2017
    Commençons par le positif:
    Les effets spéciaux, en particulier des visages sur les singes. C'est à peu près tout.
    Film d'une lenteur incommensurable, épaulé par une musique vue et revue, dont pas mal de notes sont pompées sur de grandes compositions.
    Un film qui nous amène insidieusement dans la bien pensance et le politiquement correct, avec une diabolisation de l'humain, supérieur au singe, et un message pour rappeler les "erreurs" du passé.
    Un film niais et lourd, bourré de malfaçons incroyables (l'évasion des singes, l'inefficacité voire l'idiotie des soldats incroyable, pour ne citer que ça).
    Bref, un navet sur-encensé par la critique aveugle.
    THE-CHECKER
    THE-CHECKER

    112 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 août 2017
    Dernier volet en demie teinte pour cette saga simiesque malgré des qualités narratives et techniques indéniables (les singes de WETA sont démentiels!!).

    Focalisant son discours du seul point de vue des primates, le film de Matt Reeves pèche par une approche bien trop communautaire à mon goût, faisant d'un Caesar une figure mi Christique (tel un Jésus crucifié pour sauver son peuple) mi Messianique (Moïse libérant les siens de la tyrannie de Pharaon pour les mener vers la terre promise à laquelle il n'a pas accès...) sur fond de camp de concentration Nazi (on pense presque au "Pianiste" de Polanski en voyant le gorille allié avec les tortionnaires de son espèce...) propre à emporter l'adhésion inconditionnelle d'un public pas nécessairement venu payer sa place pour se faire bourrer le mou une fois de plus!

    Car en considérant les actions humaines du film comme illégitimes (les singes ne faisant donc que "se défendre"...), d'autant plus que dans ce cas elles sont menées par un ersatz du colonel Kurtz (Malron Brandon dans Apocalypse Now) totalement illuminé (genre spoiler: le type prêt à sacrifier son propre gosse
    pour "la cause"...) , difficile de ne pas se sentir abusé intellectuellement par un discours aux bons relents manichéens (ce qui n'est jamais bon), comme si entre être un singe et un "humain animalisé" (faisant par conséquent des singes les vrais "Humains" les autres étant des "bêtes") il n'y avait aucune alternative (hormis le statut de "nova" la "gentille" petites filles adoptées par les singes) qui ne force à prendre part d'un coté comme de l'autre (n'y a t-il pas assez de place pour tout le monde?

    Un film bien trop orienté pour être honnête donc, d'autant plus dommage que l'opus précédent était beaucoup plus nuancé...
    Yves G.
    Yves G.

    1 494 abonnés 3 512 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 octobre 2017
    Caesar, le chef des singes, décide de lancer une vendetta personnelle contre le colonel McCullough qui a tué sa femme et sa fille.

    Mon résumé est bien court ? C'est que le scénario de ce troisième volet du reboot de l'indépassable chef d’œuvre de 1968 avec Charlton Heston est indigent.

    Mais revenons un instant en arrière.
    En 1963 le Français Pierre Boulle écrit un bref roman de 270 pages qui devient immédiatement un best-seller. Les droits sont achetés par Hollywood qui le porte à l'écran en 1968. Le film est un succès mondial. Sa scène finale - qui ne figurait pas dans le livre - est restée dans toutes les mémoires. Des suites, de plus en plus médiocres, sont tournées en 1970, 1971, 1972 et 1973. En 2001, Tim Burton en refait l'adaptation. Il est de bon ton d'en dire du mal. "La Planète des singes" serait un accident de parcours dans la filmographie éblouissante du grand réalisateur. Pourtant, il n'est pas si mauvais. Sa scène finale, sans égaler celle de 1968, n'est pas sotte.
    En 2011, Hollywood décide de redémarrer ("rebooter") la franchise. Trois films sont prévus qui raconteront comment les Singes sont devenus les maîtres de la Terre. Leur titre a manifestement plongé dans la confusion la plus absolue leurs traducteurs français. "Rise of the Planet of the Apes" a été traduit "La Planète des Singes : Les Origines". "Dawn of the Planet of the Apes" devient "L'Affrontement". Et le troisième opus, "War of the Planet of the Apes" est traduit "Suprématie". J'avoue un certain désarroi. Voire un léger agacement.

    Mais le plus grave n'est pas là. "La Planète des singes" repose sur un mécanisme simple et formidablement efficace : le renversement des hiérarchies biologiques ou raciales. L'homme détrôné de sa place centrale est remplacé par un animal de cirque. Or ce ressort a été totalement abandonné dans le dernier épisode. Caesar est devenu humain, trop humain. C'est un personnage en quête de vengeance. Une vengeance qu'il veut exercer contre un humain qui, lui, est réduit au rang d'une brute animale ivre de violence.

    "La Planète des Singes : Suprématie" a coûté 150 millions de dollars. Pour ce prix là, on en a sans doute pour ses yeux en guise d'effets spéciaux de chimpanzés filmés en motion capture, de combats et de batailles. Mais ce déploiement extravagant de moyens n'a aucun sens s'il est au service d'un scénario étique qui a perdu de vue les fondamentaux de la série.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 920 abonnés 12 474 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2018
    A l'exercice pèrilleux de la trilogie, "War for the Planet of the Apes" finit en beautè! Non seulement c'est le meilleur volet de la sèrie mais surtout c'est un film qui raconte une histoire palpitante et èmouvante! Matt Reeves souhaitait crèer une sorte de dernière partie mythique aux aventures de Cèsar à l'aube d'une guerre que ce dernier ne voulait pas! Une guerre qu'il n'avait pas dèclenchèe! C'est Koba qui l'avait dèclarèe! Pour la première fois, le film est du point de vue des singes! L'idèe de marier des formes de cinèma classiques, avec une technologie de pointe pour raconter une histoire imaginaire, rappelle certains films de Akira Kurosawa et Sergio Leone! Utilisation très impressionnante d'une technique de pointe (la capture de performance laisse pantoise en conservant la performance) pour faire des protagonistes des singes afin de vivre cette expèrience troublante où l'on regarde une histoire classique avec une collision entre personnages qui ne sont pas humains, mais auxquels on s'attache particulièrement comme s'ils ètaient humains! Le rèsultat à l'ècran est diablement spectaculaire et on ne s'ennuie à aucun moment! L'aspect èmotionnel l'emporte dans une aventure à couper le souffle! Ave Cèsar...
    Chris58640
    Chris58640

    216 abonnés 761 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 août 2017
    La force de cette trilogie est que d’emblée, on sait comment cela va finir, qui va l’emporter dans cette lutte à mort en apparence déséquilibrée, tout le sel est de savoir comment les choses vont arriver, ce que les films des années 70, et même le remake de Tim Burton (que beaucoup déteste mais qui n’était pas si mauvais que cela) n’ont jamais clairement expliqué. Il y avait donc matière à imaginer comment les singes allaient avoir définitivement le dessus sur la race humaine, c’est le sujet même de ce troisième et dernier volet. L’autre qualité de cette trilogie, qui en a beaucoup, c’est que par rapport au célèbre film avec Charlton Heston, l’empathie change de camp. Dans l’œuvre originale, c’est l’humain le héros, le faible, celui que l’on espère voir vaincre, ici, c’est juste l’inverse. Techniquement, le film est sans reproche. Les singes, grâce au numérique et à ce qu’on appelle le « motion capture » désormais parfaitement maîtrisé, sont merveilleusement bien rendus, toute la palette des émotions sont possibles, puisque il n’est plus question de maquillage ou de masques pour dissimuler les traits. Le film du réalisateur Matt Reeves (déjà aux manettes de l’épisode précédent) bénéficie également de décors magnifiques, que ce soient des décors naturels en foret, dans les Rocheuses ou de décors artificiels, avec une mention spéciale à la station de sport d’hiver envahie par la glace. La musique de Michael Giacchino (un des mes compositeur favoris) est bien à propos, pas envahissante, peut-être souligne-t-elle un peu trop certains effets parfois mais c’est un défaut difficile à éviter dans les blockbusters de toujours. Parce qu’il n’y a pas de doute, même si le scénario est inventif et sans manichéisme échevevelé, on est bien dans un blockbuster avec ses scènes d’actions au millimètre, des scènes de combats militaires, ses courses poursuites à cheval comme dans les westerns, avec un point d’orgue une scène assez courte mais diablement réussie spoiler: d’avalanche colossale. C’est paradoxalement la Nature avec un N majuscule qui décidera in-fine du vainqueur de cet affrontement à mort, sans son intervention finale, qui sait comment les choses auraient pu tourner pour les humains et pour les singes ?
    C’est une autre des qualités du film, son scénario est plus subtil et pointu que dans un blockbuster standard. C’était déjà à l’œuvre dans les deux opus précédents, il n’y a pas de manichéisme totale dans cette histoire : spoiler: il y a des singes qui trahissent et se rangent aux côtés des humains, il y a des humains qui combattent d’autres humains, il y a des singes belliqueux et des singes pacifistes.
    Evidemment il y a un héros sans reproche, César et un militaire humain détestable mais au-delà de cet affrontement entre héros et antihéros, il y a de la subtilité dans le traitement de ce préquel. On peut y voir aussi, de façon assez claire, une violente critique de cette Amérique si prompte à rétablir l’esclavage, cette fois-ci envers les singes prisonniers, comme si elle portait ça dans ses gènes. Enfin, je tempère un peu car le groupe de militaire qui pratique l’esclavage, ce n’est pas l’armée régulière mais un groupe de soldats dissidents, menés par un béret vert à l’attitude christique et mégalomane, qui a même (outrage suprême) détourné la bannière étoilée. Il y a donc critique d’une Amérique mais une Amérique dissidente et dévoyée, il ne faut pas exagérer quand même. Le scénario n’est évidemment pas exempt de défauts, il se réduit à un affrontement entre deux petits groupes sans évoquer jamais les autres groupe de singes ni les autres groupes d’humains, comme si le devenir d’une planète entière se jouait sur ce seul affrontement. C’est un défaut récurent dans les blockbusters, de ne jamais élargir le champ. Et puis la scène finale est un peu trop mélodramatique, et un peu trop téléphonée même si elle a la bonne idée de ne pas tirer en longueur. D’ailleurs en terme de longueur le film dure presque 2h20, ce qui flirte avec le « trop long » à mon gout, même si ici il n’est pas question de longueurs ni de temps morts. Et puis je m’interroge aussi sur l’intérêt de quelques personnages qui ne semblent être là que pour faire « consensuel » comme la petite sourde muette ou le singe de zoo, comme si il fallait absolument un humain sur lequel s’apitoyer et un singe marrant et maladroit, pour apporter un touche d’humour à un film qui, c’est vrai, en manque un peu. Je n’ai pas encore parlé du casting parce que, sur ce film, les performances d’acteurs sont difficiles à qualifier. On pourrait parler de Woody Harrelson en Colonel mégalo et un poil caricatural (le moins bien écrit de tous les personnages) mais ce sont les acteurs incarnant les singes qui ont évidemment la partition la plus difficile et au milieu d’eux : Andy Serkis. Lui qui a été l’inoubliable Gollum dans « Le Seigneur des Anneaux » et le King Kong de Peter Jackson (un singe, déjà) campe un César merveilleux, expressif et pétri d’une humanité qui manque aux humains de ce dernier volet. Je ne sais pas si on peu être nommé aux Oscars pour un rôle en motion capture mais si ce n’est pas le cas, c’est dommage car Serkis est un énorme acteur. Pour faire passer autant de chose avec cette technique, il ne suffit pas d’être un bon acteur, il faut être un énorme acteur ! Je regrette un petit peu, pour finir, que la fin de cette trilogie ne fasse pas plus le lien avec l’œuvre originale (il y a juste le fils de César qui se prénomme Cornélius et il aura un rôle primordial lorsque Charlton Heston débarquera !) et surtout que Pierre Boulle ne soit pas crédité au générique, ce qui est quand même fort dommage.
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    181 abonnés 1 752 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2017
    Ce troisième épisode de la nouvelle série de la planète des singes est une réussite bien que d'une qualité inférieure aux deux premiers. En effet, l'intrigue du film est plus liée à une guerre sous forme de bataille qu'une guerre sous forme de combat de civilisation. Certes, il y a un peu d'écho à une baisse d'intelligence de la race humaine mais ceci est anecdotique. Reste un très bon film dérivé sur l'idée du roman de Pierre Boule et une suite cohérente de deux premiers opus. A voir.
    scrat28
    scrat28

    81 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 septembre 2019
    Un 3ème opus incroyablement maîtrisé, soigné dans tous ses détails. On est bien loin des suites réalisées en pilote automatiques avec pour seul objectif d'amasser un maximum de pognon, ici le spectateur est pris totalement à contre-pied, avec une histoire bien loin de ce qu'on aurait imaginé, et des thèmes durs abordés de manière radicale - très rare dans les blockbusters de nos jours. Visuellement c'est absolument bluffant, et puis la grande force du film vient des émotions transmises au spectateur; c'était pour moi le gros point faible du 2ème opus que j'avais trouvé trop froid, ici il a été corrigé, pour livrer un film qui se rapproche de l'excellence à tout point de vue. Courez-y!
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