La Planète des Singes - Suprématie : Critique presse
La Planète des Singes - Suprématie
Note moyenne
3,7
29 titres de presse
CinemaTeaser
Franceinfo Culture
Paris Match
Télé 2 semaines
Closer
Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Mad Movies
Ouest France
Positif
Première
Public
Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
Voici
aVoir-aLire.com
L'Express
L'Obs
La Voix du Nord
Le Monde
Télérama
Cahiers du Cinéma
Libération
Critikat.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
La trilogie prequel de "La Planète des singes" se conclut en apothéose, avec violence, passion et une faim de cinéma folle.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Une science-fiction adulte, spectaculaire et ambitieuse, digne des plus grands titres du genre. Epoustouflant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Paris Match
par Yannick Vely
Pas besoin d’être cinéphile pour apprécier le spectacle. Un grand souffle d’aventure balaie le futur froid imaginé par Mark Bomback et Matt Reeves et la première heure est une véritable leçon de cinéma épique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 2 semaines
par Emilie Leoni
Matt Reeves clôt la trilogie en une sorte d’"Apocalypse Now" version primates, puissant, désespéré et viscéral. Un sommet d’émotion et de maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Closer
par La Rédaction
Un vrai blockbuster, parfait en cette période estivale.
Ecran Large
par Simon Riaux
Hybridant Apocalypse Now et L'Ancien Testament, ce troisième volet de La Planète des Singes s'impose comme le sommet de cette relecture soignée et cinéphile.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
La qualité du scénario, qui leste d’une densité de réflexion l’histoire racontée, s’enrichit des nuances que les progrès de l’animation numérique et des effets spéciaux, d’une exceptionnelle facture, apportent à une action de bout en bout haletante, et où, dans cette atmosphère d’apocalypse, passe l’ombre des dictatures militaires et des camps d’extermination.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le troisième et ultime volet de la saga mêle habilement spectaculaire et émotion. Un bel hommage à la légende de Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Malgré les effets spéciaux, "Suprématie" s’impose comme un grand classique hollywoodien, dans son souffle épique et sa mythologie. La métaphore de notre société saute aux yeux, avec un manque d’empathie et une peur de l’autre qui conduisent à la fin de l’humanité.
Le Parisien
par La Rédaction
Très sombre, inquiétant par moments et bourré de suspense, ce nouveau volet de "La Planète des Singes" offre, sur le fond, une belle réflexion sur la notion de différence et dresse d'étonnantes passerelles avec la saga d'origine des années 1970.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Matt Reeves enrichit la structure de ce film d’action classique mais rigoureusement construit d’un sous-texte allégorique puissant.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Avec ce troisième épisode, "La Planète des singes" s’affirme, haut la main, comme la meilleure franchise américaine des années 2010.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Fausto Fasulo
Matt Reeves retient le meilleur de Spielberg et signe le (seul ?) bon blockbuster de l'été (l'année ?).
Ouest France
par Sylvestre Picard
Un film de guerre brutal, doublé d'un triomphe technique - les singes sont encore plus hallucinants de réalisme qu'avant.
Positif
par Grégory Valens
Blockbuster le plus sage et le plus économe en termes d'effets visuels qu'il nous ait été donné de voir depuis longtemps - en dépit des prouesses de la performance capture - "Suprématie" nous tend un miroir montrant les tensions et les contrdictions de nos sociétés développées.
Première
par Sylvestre Picard
Avec son leader mystique au crâne rasé dirigeant des soldats dingos aux treillis bardés de slogans comme "un bon singe est un singe mort", l'appropriation d'"Apocalypse Now" et "Full Metal Jacket" par "La Planète des singes - Suprématie" est beaucoup plus satisfaisante que celle, superficielle et toc, de "Kong : Skull Island" au printemps dernier.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Florence Roman
Dans ce volet final de la trilogie, le singe leader infiniment humain nous touche comme jamais, grâce au talent d'Andy Serkis, l'acteur qui se cache sous le costume de ce héros pas comme les autres.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Une trilogie qui se conclut en beauté. Matt Reeves fait montre d'une réelle ambition pour ne pas réduire cet affrontement final entre singes et hommes à un festival d'effets spéciaux bruyants.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
par Aurélien Gaucher
Avec "Suprématie", La Planète des Singes conclut idéalement une trilogie spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Voici
par La Rédaction
Une saga de qualité qui se clôt en beauté. Un Oscar pour César ?
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le film, (…) sait se garnir de scènes impressionnantes par moment, (…) Mais c’est toujours dans l’intimité et la pugnacité des conflits intérieurs qu’il est le plus prenant. Peut-être parce que les singes, notamment César, joué avec excellence par Andy Serkis en motion capture, ne sont jamais apparus aussi humains et aussi proches des préoccupations de notre époque.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Christophe Carrière
(...) toute ressemblance avec "Apocalypse Now" n'est pas fortuite... mais dommageable, car quelque peu hors sujet. Ceci mis à part, le spectacle a autant d'allure que dans les deux premiers films, avec ce supplément d'intelligence et d'humanisme dont sont désormais dépourvues toutes les superprodutions hollywoodiennes estivales.
L'Obs
par François Forestier
Il y a tout ce qu’il faut : du conflit, de la menace, des effets spéciaux, une petite dose de grandiloquence, et un message bien martelé : les animaux sont moins mauvais que les hommes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Éminemment sympathique, cette Planète des singes new-look ! Carrément antimilitariste, dira-t-on ! Voire anti-Trump, via un méchant colonel, dictateur en puissance, esclavagiste convaincu, acharné à construire un mur censé les protéger – lui et son armée de gogols microcéphales dopés au fusil-mitrailleur – des virus étrangers et des peuplades dites primitives.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Mathieu Macheret
Malgré son anthropomorphisme, le troisième volet de la saga impressionne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Frédéric Strauss
Agitant la promesse d'une noirceur audacieuse, "Suprématie" s'en tient à la fantaisie d'un divertissement mouvementé, mais enfantin. C'est la qualité et le défaut de ces singes de cinéma : ils sont bons à tout. (...) Il n'en reste pas moins que son spectacle a du charme et du punch.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
"Suprématie" est une déception après le sombre et shakespearien "Affrontement". (…) Le manque de point de vue et un scénario hésitant, s’ils ne gâchent pas complètement la mise en scène de Matt Reeves et le jeu toujours intense d’Andy Serkis, font de "Suprématie" un épisode de transition.
Libération
par Luc Chessel
A trop vouloir boucler la boucle d’une guerre entre espèces, "La Planète des singes : Suprématie", troisième volet du reboot hollywoodien, se perd en paraboles et démonstrations verbeuses qui cachent mal un manque d’audace scénaristique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Ce triste spectacle, en plus de se détourner de tout ce qui fait l’intérêt de la saga, contient quelque chose de franchement malsain.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
CinemaTeaser
La trilogie prequel de "La Planète des singes" se conclut en apothéose, avec violence, passion et une faim de cinéma folle.
Franceinfo Culture
Une science-fiction adulte, spectaculaire et ambitieuse, digne des plus grands titres du genre. Epoustouflant.
Paris Match
Pas besoin d’être cinéphile pour apprécier le spectacle. Un grand souffle d’aventure balaie le futur froid imaginé par Mark Bomback et Matt Reeves et la première heure est une véritable leçon de cinéma épique.
Télé 2 semaines
Matt Reeves clôt la trilogie en une sorte d’"Apocalypse Now" version primates, puissant, désespéré et viscéral. Un sommet d’émotion et de maîtrise.
Closer
Un vrai blockbuster, parfait en cette période estivale.
Ecran Large
Hybridant Apocalypse Now et L'Ancien Testament, ce troisième volet de La Planète des Singes s'impose comme le sommet de cette relecture soignée et cinéphile.
Le Dauphiné Libéré
La qualité du scénario, qui leste d’une densité de réflexion l’histoire racontée, s’enrichit des nuances que les progrès de l’animation numérique et des effets spéciaux, d’une exceptionnelle facture, apportent à une action de bout en bout haletante, et où, dans cette atmosphère d’apocalypse, passe l’ombre des dictatures militaires et des camps d’extermination.
Le Figaro
Le troisième et ultime volet de la saga mêle habilement spectaculaire et émotion. Un bel hommage à la légende de Hollywood.
Le Journal du Dimanche
Malgré les effets spéciaux, "Suprématie" s’impose comme un grand classique hollywoodien, dans son souffle épique et sa mythologie. La métaphore de notre société saute aux yeux, avec un manque d’empathie et une peur de l’autre qui conduisent à la fin de l’humanité.
Le Parisien
Très sombre, inquiétant par moments et bourré de suspense, ce nouveau volet de "La Planète des Singes" offre, sur le fond, une belle réflexion sur la notion de différence et dresse d'étonnantes passerelles avec la saga d'origine des années 1970.
Les Fiches du Cinéma
Matt Reeves enrichit la structure de ce film d’action classique mais rigoureusement construit d’un sous-texte allégorique puissant.
Les Inrockuptibles
Avec ce troisième épisode, "La Planète des singes" s’affirme, haut la main, comme la meilleure franchise américaine des années 2010.
Mad Movies
Matt Reeves retient le meilleur de Spielberg et signe le (seul ?) bon blockbuster de l'été (l'année ?).
Ouest France
Un film de guerre brutal, doublé d'un triomphe technique - les singes sont encore plus hallucinants de réalisme qu'avant.
Positif
Blockbuster le plus sage et le plus économe en termes d'effets visuels qu'il nous ait été donné de voir depuis longtemps - en dépit des prouesses de la performance capture - "Suprématie" nous tend un miroir montrant les tensions et les contrdictions de nos sociétés développées.
Première
Avec son leader mystique au crâne rasé dirigeant des soldats dingos aux treillis bardés de slogans comme "un bon singe est un singe mort", l'appropriation d'"Apocalypse Now" et "Full Metal Jacket" par "La Planète des singes - Suprématie" est beaucoup plus satisfaisante que celle, superficielle et toc, de "Kong : Skull Island" au printemps dernier.
Public
Dans ce volet final de la trilogie, le singe leader infiniment humain nous touche comme jamais, grâce au talent d'Andy Serkis, l'acteur qui se cache sous le costume de ce héros pas comme les autres.
Studio Ciné Live
Une trilogie qui se conclut en beauté. Matt Reeves fait montre d'une réelle ambition pour ne pas réduire cet affrontement final entre singes et hommes à un festival d'effets spéciaux bruyants.
Télé 7 Jours
Avec "Suprématie", La Planète des Singes conclut idéalement une trilogie spectaculaire.
Voici
Une saga de qualité qui se clôt en beauté. Un Oscar pour César ?
aVoir-aLire.com
Le film, (…) sait se garnir de scènes impressionnantes par moment, (…) Mais c’est toujours dans l’intimité et la pugnacité des conflits intérieurs qu’il est le plus prenant. Peut-être parce que les singes, notamment César, joué avec excellence par Andy Serkis en motion capture, ne sont jamais apparus aussi humains et aussi proches des préoccupations de notre époque.
L'Express
(...) toute ressemblance avec "Apocalypse Now" n'est pas fortuite... mais dommageable, car quelque peu hors sujet. Ceci mis à part, le spectacle a autant d'allure que dans les deux premiers films, avec ce supplément d'intelligence et d'humanisme dont sont désormais dépourvues toutes les superprodutions hollywoodiennes estivales.
L'Obs
Il y a tout ce qu’il faut : du conflit, de la menace, des effets spéciaux, une petite dose de grandiloquence, et un message bien martelé : les animaux sont moins mauvais que les hommes.
La Voix du Nord
Éminemment sympathique, cette Planète des singes new-look ! Carrément antimilitariste, dira-t-on ! Voire anti-Trump, via un méchant colonel, dictateur en puissance, esclavagiste convaincu, acharné à construire un mur censé les protéger – lui et son armée de gogols microcéphales dopés au fusil-mitrailleur – des virus étrangers et des peuplades dites primitives.
Le Monde
Malgré son anthropomorphisme, le troisième volet de la saga impressionne.
Télérama
Agitant la promesse d'une noirceur audacieuse, "Suprématie" s'en tient à la fantaisie d'un divertissement mouvementé, mais enfantin. C'est la qualité et le défaut de ces singes de cinéma : ils sont bons à tout. (...) Il n'en reste pas moins que son spectacle a du charme et du punch.
Cahiers du Cinéma
"Suprématie" est une déception après le sombre et shakespearien "Affrontement". (…) Le manque de point de vue et un scénario hésitant, s’ils ne gâchent pas complètement la mise en scène de Matt Reeves et le jeu toujours intense d’Andy Serkis, font de "Suprématie" un épisode de transition.
Libération
A trop vouloir boucler la boucle d’une guerre entre espèces, "La Planète des singes : Suprématie", troisième volet du reboot hollywoodien, se perd en paraboles et démonstrations verbeuses qui cachent mal un manque d’audace scénaristique.
Critikat.com
Ce triste spectacle, en plus de se détourner de tout ce qui fait l’intérêt de la saga, contient quelque chose de franchement malsain.