Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Transfuge
par Oriane Jeancourt Galignani
Maria Scharder emprunte à tous les registres, le burlesque de Chaplin, la terreur de "L'Exorciste", ou le sourire sucré d'une cabaretiste de Brecht pour laisser voir cette mécanique qu'est le jeu de tout acteur.
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Dans "Lena", Jan Schomburg déplace les enjeux liés à la perte de la mémoire au cinéma : le modèle de la quête subsiste mais celle-ci ne concerne plus tant la reconquête du passé que l’exploration du corps et des émotions.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Critikat.com
par Benoît Smith
Bancal, dispersé mais attachant par ses touches d’acuité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Plus remarquable par son sujet que par sa mise en scène, Lena est un ovni qu’on n’oublie pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Damien Leblanc
Centrée sur le vide affectif laissé par un tel traumatisme, cette variation autour de la confusion identitaire surprend avant tout par le regard, plein de détresse impériale de son interprète, Maria Schrader.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Thierry Chèze
Le réalisateur allemand Jan Schomburg peine ici à confirmer les espoirs entrevus avec son film précédent (...), "L'amour et rien d'autre" (...). Et ce, malgré la remarquable interprétation de Maria Shräder dans le rôle titre.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Le drame de l’amnésie traité de façon un peu lourdement romanesque à travers un portrait de femme bien décidée à être elle-même.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Lena, essayiste renommée, perd la mémoire. De ce formidable sujet de cinéma, Jan Schomburg semble ne rien tirer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Un thème intéressant, péchant par un scénario dont les clichés surannés peinent à convaincre.
Positif
par Laetitia Mikles
Jan Schomburg signe là un film à thèse dont les questionnements semblent tout droits sortis d'une copie de bac de philo. (...) Il n'ébauche que des pistes théoriques à cette problématique identitaire au détriment parfois de la cohérence de ses personnages. Reste tout de même quelques scènes réussies (...).
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Bien interprétée, cette tentative de reconstruction s'affranchit trop peu du dilemme attendu entre retrouver son identité ou devenir une autre pour changer de vie.
Télérama
par Cécile Mury
D'abord intrigant et poétique, le personnage finit par agacer, tant il s'enferme dans la redondance, regards écarquillés à la Giulietta Masina dans La Strada, mimiques fêlées et autres crises de nerfs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Ces touches de légèreté et de ludisme suggérées par l’interprétation peinent à insuffler une réelle dynamique à un récit rapidement scolaire et bien peu perturbant.
Transfuge
Maria Scharder emprunte à tous les registres, le burlesque de Chaplin, la terreur de "L'Exorciste", ou le sourire sucré d'une cabaretiste de Brecht pour laisser voir cette mécanique qu'est le jeu de tout acteur.
Culturopoing.com
Dans "Lena", Jan Schomburg déplace les enjeux liés à la perte de la mémoire au cinéma : le modèle de la quête subsiste mais celle-ci ne concerne plus tant la reconquête du passé que l’exploration du corps et des émotions.
Critikat.com
Bancal, dispersé mais attachant par ses touches d’acuité.
Le Journal du Dimanche
Plus remarquable par son sujet que par sa mise en scène, Lena est un ovni qu’on n’oublie pas.
Première
Centrée sur le vide affectif laissé par un tel traumatisme, cette variation autour de la confusion identitaire surprend avant tout par le regard, plein de détresse impériale de son interprète, Maria Schrader.
L'Express
Le réalisateur allemand Jan Schomburg peine ici à confirmer les espoirs entrevus avec son film précédent (...), "L'amour et rien d'autre" (...). Et ce, malgré la remarquable interprétation de Maria Shräder dans le rôle titre.
Le Dauphiné Libéré
Le drame de l’amnésie traité de façon un peu lourdement romanesque à travers un portrait de femme bien décidée à être elle-même.
Le Monde
Lena, essayiste renommée, perd la mémoire. De ce formidable sujet de cinéma, Jan Schomburg semble ne rien tirer.
Les Fiches du Cinéma
Un thème intéressant, péchant par un scénario dont les clichés surannés peinent à convaincre.
Positif
Jan Schomburg signe là un film à thèse dont les questionnements semblent tout droits sortis d'une copie de bac de philo. (...) Il n'ébauche que des pistes théoriques à cette problématique identitaire au détriment parfois de la cohérence de ses personnages. Reste tout de même quelques scènes réussies (...).
Studio Ciné Live
Bien interprétée, cette tentative de reconstruction s'affranchit trop peu du dilemme attendu entre retrouver son identité ou devenir une autre pour changer de vie.
Télérama
D'abord intrigant et poétique, le personnage finit par agacer, tant il s'enferme dans la redondance, regards écarquillés à la Giulietta Masina dans La Strada, mimiques fêlées et autres crises de nerfs.
Cahiers du Cinéma
Ces touches de légèreté et de ludisme suggérées par l’interprétation peinent à insuffler une réelle dynamique à un récit rapidement scolaire et bien peu perturbant.