Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Critikat.com
par Julien Marsa
Le film se charge ici d’une sorte de romantisme échevelé plutôt surprenant, qui marque le juste écart des tourments ressentis par les personnages.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
par Caroline Vié
"Les amants électriques" est le meilleur long métrage de Plympton.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
L’érotisation provocatrice de l’Amérique est l’un des enjeux d’une mise en scène qui donne corps aux métamorphoses les plus folles. Les délires du scénario ne sont pourtant que secondaires : en filmant d’où l’on ne filme pas, Plympton mêle art d’aimer et art d’animer.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ici, c’est le dessin qui prime, le crayon, la gouache et l’aquarelle, de vraies matières. Et c’est beau, très beau ; drôle, très drôle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par David Caviglioli
Le film, émouvante variation shakespearienne sur l'amour et l'infidélité, est plus narratif que les précédents.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Une histoire volontairement simple, que transcende le génie visuel de Bill Plympton. Jamais l'éternel enfant terrible de l'animation n'aura poussé le vertige aussi loin.
Positif
par Bernard Génin
Pympton reste fidèle à son goût pour la vivacité du crayonné. Face aux géants Disney-Pixar, Dreamworks ou Blue Sky (...) il se confirme comme l'auteur complet le plus libre de l'animation américain.
Première
par Gérard Delorme
Avec ce nouveau long métrage, le réalisateur surprend par de nouvelles audaces et rassure par sa capacité à séduire en secouant le spectateur.
Transfuge
par Louis Séguin
Le film, polarisé autour de cette entité que forment les amants, s'épanouit dans une foule de détails quotidiens rendus extraordinaires et loufoques par l'inventivité du trait, donnant à ces "Amants électriques" le souffle des plus belles histoires d'amour.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Son humour, toujours grivois et caricaturiste, revisite sans dialogues et avec gourmandise les clichés de la série B, du polar et du fantastique des années 1950 au service cette fois d’un opéra fantaisiste où l’humour et l’émotion sont enfin à égalité.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Cécile Mury
[...] le film se révèle, comme toujours chez Bill Plympton, un délirant happening graphique. [...] Cette danse du crayon fou, sur la belle musique de Nicole Renaud, semble hésiter entre burlesque et lyrisme. [...] Romantisme, désir, manque, fureur : l'aspect le plus étonnant de ce film, c'est qu'il parle vraiment de l'amour et de ses blessures.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Yal Sadat
"Les Amants électriques", bien que rarement fantastique et abracadabrant, finit alors par ressembler à un beau cauchemar débridé sur les rapports hommes-femmes, dont la morale est aussi limpide et universelle que celle du "Facteur sonne toujours deux fois" : le plus bel amour n'est fait que de jalousie, de paranoïa et de désirs meurtriers.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Ecran Fantastique
par Sébastien Soclas
C'est à la fois drôle et émouvant, cartoonesque et inquiétant, capable de donner le sentiment que ça art dans tous les sens tout en étant soigneusement maîtrisé. Bill Plympton illustre son scénario avec une richesse visuelle étonnante (...).
Mad Movies
par Laurent Duroche
Si cette réflexion sur les liens entre haine et amour au sein du couple ne se montre pas aussi trépidante et délirante que les oeuvres les plus marquantes de Plympton, l'art graphique du maître est intact (...).
aVoir-aLire.com
par Maxime Lachaud
C’est donc un Plympton en pleine forme qu’on retrouve ici, fidèle à lui même, fantasque et anti réaliste, et peut être aussi plus accessible que d’habitude, de par l’aspect plus "romantique", voire suranné et grand public de l’intrigue.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
Le film se charge ici d’une sorte de romantisme échevelé plutôt surprenant, qui marque le juste écart des tourments ressentis par les personnages.
20 Minutes
"Les amants électriques" est le meilleur long métrage de Plympton.
Cahiers du Cinéma
L’érotisation provocatrice de l’Amérique est l’un des enjeux d’une mise en scène qui donne corps aux métamorphoses les plus folles. Les délires du scénario ne sont pourtant que secondaires : en filmant d’où l’on ne filme pas, Plympton mêle art d’aimer et art d’animer.
Franceinfo Culture
Ici, c’est le dessin qui prime, le crayon, la gouache et l’aquarelle, de vraies matières. Et c’est beau, très beau ; drôle, très drôle.
L'Obs
Le film, émouvante variation shakespearienne sur l'amour et l'infidélité, est plus narratif que les précédents.
Les Fiches du Cinéma
Une histoire volontairement simple, que transcende le génie visuel de Bill Plympton. Jamais l'éternel enfant terrible de l'animation n'aura poussé le vertige aussi loin.
Positif
Pympton reste fidèle à son goût pour la vivacité du crayonné. Face aux géants Disney-Pixar, Dreamworks ou Blue Sky (...) il se confirme comme l'auteur complet le plus libre de l'animation américain.
Première
Avec ce nouveau long métrage, le réalisateur surprend par de nouvelles audaces et rassure par sa capacité à séduire en secouant le spectateur.
Transfuge
Le film, polarisé autour de cette entité que forment les amants, s'épanouit dans une foule de détails quotidiens rendus extraordinaires et loufoques par l'inventivité du trait, donnant à ces "Amants électriques" le souffle des plus belles histoires d'amour.
TéléCinéObs
Son humour, toujours grivois et caricaturiste, revisite sans dialogues et avec gourmandise les clichés de la série B, du polar et du fantastique des années 1950 au service cette fois d’un opéra fantaisiste où l’humour et l’émotion sont enfin à égalité.
Télérama
[...] le film se révèle, comme toujours chez Bill Plympton, un délirant happening graphique. [...] Cette danse du crayon fou, sur la belle musique de Nicole Renaud, semble hésiter entre burlesque et lyrisme. [...] Romantisme, désir, manque, fureur : l'aspect le plus étonnant de ce film, c'est qu'il parle vraiment de l'amour et de ses blessures.
Chronic'art.com
"Les Amants électriques", bien que rarement fantastique et abracadabrant, finit alors par ressembler à un beau cauchemar débridé sur les rapports hommes-femmes, dont la morale est aussi limpide et universelle que celle du "Facteur sonne toujours deux fois" : le plus bel amour n'est fait que de jalousie, de paranoïa et de désirs meurtriers.
L'Ecran Fantastique
C'est à la fois drôle et émouvant, cartoonesque et inquiétant, capable de donner le sentiment que ça art dans tous les sens tout en étant soigneusement maîtrisé. Bill Plympton illustre son scénario avec une richesse visuelle étonnante (...).
Mad Movies
Si cette réflexion sur les liens entre haine et amour au sein du couple ne se montre pas aussi trépidante et délirante que les oeuvres les plus marquantes de Plympton, l'art graphique du maître est intact (...).
aVoir-aLire.com
C’est donc un Plympton en pleine forme qu’on retrouve ici, fidèle à lui même, fantasque et anti réaliste, et peut être aussi plus accessible que d’habitude, de par l’aspect plus "romantique", voire suranné et grand public de l’intrigue.