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    La Ruée vers l'or
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    Gablivildo62
    Gablivildo62

    4 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 août 2021
    Chef d’œuvre du muet et du cinéma en général, réalisé en 1925. "La Ruée vers l'Or" restera mémorable notamment par la danse des petits pains accomplie par Chaplin. À voir et à revoir. Je ne m'en lasse pas.
    Thomas B
    Thomas B

    1 abonné 205 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 août 2021
    Chef d'oeuvre du 7ème art, la ruée vers l'or est clairement l'un des meilleurs film de Charlie Chaplin. L'histoire est vraiment très sympa, la mise en scène comporte quelques moments d'anthologie (notamment celle où l'on voit Charlot faire la danse des petits pains), la musique composé par chaplin lui-même est particulièrement entraînante et le casting est brillant. Une comédie irrésistible à voir et à revoir sans modération.
    Hemisphere
    Hemisphere

    8 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 avril 2021
    Un film agréable à regarder malgré certaines longueurs. Sans être décevant, il est sans éclats, sans surprises. Il offre des scènes savoureuses et un scénario simple et charmant.
    kibruk
    kibruk

    145 abonnés 2 547 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 mars 2021
    "La ruée vers l'or" accumule les scènes mémorables d'une inventivité folle qui sont entrées dans l'histoire du cinéma et alterne avec perfection les moments de pure comédie et d'émotion. A voir et à revoir sans modération. 
    Agnes L.
    Agnes L.

    166 abonnés 1 629 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 janvier 2021
    Indémodable et rafraichissant. Revoir ce film de mon enfance a été un plaisir. Chaplin réussit ce prodige de nous émouvoir en même temps qu'il nous fait rire. La scène où il danse dans le cabaret avec son pantalon qui descend est tellement burlesque et celle où il attend vainement les quatre belles femmes pour le réveillon tellement poignante. Sans oublier toute la poésie de la danse des deux fourchettes plantées dans deux petits pains. Avec quelques acteurs, le gentil, le méchant, la belle, le play boy et bien sûr le vagabond, il parvient à son but de rendre le cinéma sans paroles vraiment divertissant et visible par tous.
    Flōrens PAB
    Flōrens PAB

    82 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 septembre 2020
    De la poésie et de l'humour, un cocktail efficace normalement. Mais là j'ai trouvé le temps long, et portant le film ne dure qu'une heure. Il y a bien quelques passages amusants et délirants, comme sait si bien le faire Charlie Chaplin, mais ce n'est pas suffisant selon moi. De plus j'ai trouvé l'histoire beaucoup trop décousue pour être intéressante.
    Alain D.
    Alain D.

    586 abonnés 3 282 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2020
    Aventure et humour dominent ce long-métrage Muet et N&B, réalisé en 1925. Une comédie, jouée, scénarisée, et produite par Charles Chaplin, dans laquelle Charlot est prospecteur solitaire d'or en Alaska.
    Le film révèle une qualité technique impressionnante, avec des effets visuels de bonne facture. Il nous offre de belles anecdotes, des séquences émouvantes et d'excellents gags, comme la scène du chien au saloon ou Charlot danse avec la belle Georgia.
    Un grand coup de chapeau à l'extraordinaire cinéaste qu'est Mr Chaplin ; il réalise comme toujours une très belle prestation de comédien et compose également pour ce film une bonne musique romantique.
    JCADAM
    JCADAM

    4 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mai 2020
    Les trouvailles visuelles sont excellentes, le film est assez spectaculaire et les gags sont pour la plupart amusant. Cependant l'ensemble ne raconte pas grand chose, c'est juste un ensemble de sketchs dont certains resteront cultes comme celui dans la cabane, mimé de main de maître par Charlie Chapin.
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mai 2020
    Même si certains gags et situations ont vieilli, qui renierait à Chaplin son sens aigu des comiques théâtraux et du timing? A cet humour s'ajoutent une dose d'émotion et une once de poésie qui rendent le ton du film si reconnaissable et permettent à certaines séquences d'être devenues cultes (le dîner de la chaussure ou le rêve de la danse des petits pains). Et au-delà des aventures rocambolesques, le dessin lucide et paradoxal d'une période, d'une société, d'un cœur. Génial.
    Jack G
    Jack G

    5 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 avril 2020
    « Ce prochain film doit être une épopée ! La plus grande ! ». Par ses propos tenus après la sortie de sa dernière réalisation, L’Opinion publique (1923), Charlie Chaplin annonce son ambition pour son deuxième film de l’ère United Artists.
    Contrarié par l’échec de L’Opinion publique, par un public qui l’a jugé trop sérieux et a regretté l’absence du cinéaste dans la distribution, Chaplin décide de revenir à son genre de prédilection, la comédie burlesque, après avoir été inspiré par une photographie de la ruée vers l’or du Klondike (1898) et du récit de l’expédition Donner (1846-1847).
    En février 1924, le tournage de La ruée vers l’or débute dans la Sierra Nevada. Avec plus de 600 figurants et la construction conséquente du village des prospecteurs, le budget de production frôle le million de dollars et démontre toute l’ambition et le perfectionnement acquis par Chaplin. Le tournage connaît plusieurs problèmes techniques et doit être terminé en studio, pour se terminer après 15 mois de labeurs, en mai 1925.
    Dans cette nouvelle production, Charlot fait son grand retour après sa dernière apparition dans le Kid, 4 ans plus tôt. Cette fois, le vagabond solitaire part dans l’Alaska et participe à la ruée vers l’or du Klondike en 1896/7. Fort de son expérience avec le Kid, Charlie Chaplin renouvelle sa maîtrise dans l’art de mélanger les genres, en offrant un bijou à la fois comique et tragique, un long-métrage poétique et mélancolique mais qui respire aussi l’amour et l’espoir.
    Une première partie du film déroule plusieurs ressorts comiques dans une petite cabane perdue dans la neige et battue par les vents. Dans cet espace clos et restreint, Charlot excelle dans une multitude de gags burlesques qui a fait son succès et qui le confirme encore. Mais parce que le comique exclusif ne suffit plus à Charlie Chaplin, cette partie recèle également une critique sociale caractéristique de l’œuvre du cinéaste et compréhensible au regard de ses origines. A travers la célèbre scène de la dégustation de la chaussure, c’est aussi la dénonciation de la misère et de la faim, que Chaplin a bien connu. Perfectionniste, il n’a pas hésité à réaliser une soixantaine de prises pour obtenir le meilleur résultat possible, au grand dam de l’intestin de Mark Swain, contraint d’avaler autant de réglisse que son personnage n’ingurgite de cuir de chaussure. Ce rapport à la faim, qui est aussi probablement influencé par l’histoire tragique de l’expédition Donner, est essentiel dans La ruée vers l’or, comme le montre l’autre scène la plus connue du film : « la danse des petits pains ».
    Dans une deuxième partie, Charlot retourne à la civilisation et tombe sous le charme d’une danseuse de saloon à la fois charmeuse et sulfureuse : Georgia. Au sujet de ce personnage, il est intéressant de mentionner une anecdote. Alors que Charlie Chaplin avait commencé avec Lita Gray (contraint de l’épouser pendant le tournage car elle était enceinte), il recommença les prises avec Georgia Hale. Ce choix de la dernière minute mérite tout de même d’être salué, la jeune actrice offrant une prestation qui reflète tout le charme et l’élégance de son personnage raffiné.
    Quoiqu’il en soit, bien que Georgia soit initialement inaccessible, le mendiant déploie une énergie colossale pour conquérir le cœur de sa belle et finit par y parvenir au terme d’un épilogue émouvant où le couple se retrouve dans un contexte diamétralement différent. Devenu multimillionnaire, Charlot obtient définitivement les faveurs de Georgia dans un magnifique baiser. Cette conclusion sur la touche du bonheur et de l’espoir préfigure déjà celle des Temps Modernes, 11 ans plus tard.
    A sa sortie au cours de l’été 1925, La ruée vers l’or est un triomphe. Avec 5 millions de dollars de recettes, il devient l’un des plus gros succès de l’histoire du cinéma muet, un honneur qui vient confirmer l’avis du cinéaste selon lequel ce film est le meilleur qu’il ait réalisé jusque-là.
    En 1942, Charlie Chaplin offre une nouvelle version de son chef d’œuvre, qu’il sonorise partiellement en supprimant les intertitres pour les commenter lui-même et en composant une nouvelle musique, nominée à l’Oscar de la meilleure musique de film en 1943. Certaines scènes sont modifiées, dont l’épilogue, où Charlot n’embrasse pas Georgia mais quitte le champ avec sa bien-aimée, main dans la main. Une conclusion plus pudique mais qui enlève le charme de la version originale, dont la poésie, en grande partie due au muet, est inaltérable encore plusieurs décennies plus tard. En 1958, un jury de l’exposition universelle de Bruxelles consacre La ruée vers l’or comme étant le deuxième meilleur film de tous les temps, derrière Le cuirassé Potemkine. En 1992, le film intègre la collection prestigieuse et historique du National Film Registry.
    A la fin de sa vie, Charlie Chaplin déclare qu’il espère qu’on se souvienne de lui pour ce film. Vœu exaucé.
    gabdias
    gabdias

    85 abonnés 1 803 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mars 2020
    Œuvre majeure de la filmographie de Charly Chaplin avec le top du style burlesque muet, le rythme est dense, les gags s’enfilent bien et fonctionnent parfaitement. Tout est travaillé, tout est soigné, de la réflexion philosophique sur l’amour et la solitude. Bref un superbe chef d’œuvre !
    Criticman17
    Criticman17

    5 abonnés 235 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 février 2020
    Chef d'œuvre du cinéma. film intergénérationnel qui traversera bientôt un siècle mais qui reste et restera toujours indémodable. Ce film est authentique et riche en émotions. Charles Chaplin parvient à mettre de l'Humanité dans son film et cela fait du bien, la relation avec Georgia est touchante et il arrive à transformer Georgia grâce à sa gentillesse et son amour. C'est une œuvre avec la la danse des petits pains et les visions hallucinatoires du poulet de Mack Swain de Mack Swain qui marque, film à voir et à revoir.
    moket
    moket

    526 abonnés 4 331 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 janvier 2020
    Du pur Chaplin : simple, émouvant, drôle… bien qu'un peu court. Mais qu'est-ce que c'est que cette version commentée ? Les explications font perdre tout leur charme aux images.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 novembre 2019
    J'ai pu le découvrir en version restaurée avec l'ajout d'une voix off et une version sonorisée par Chaplin lui-même, décidément il est un touche à tout, le souci du détail et de la perfection.

    Si l'ajout de la voix Off désarçonne quelques peu au début on finit lentement par s'y faire, j'aurais sans doute préféré cet ajout mais elle a au moins le mérite de préciser minutieusement les réactions et réflexions des protagonistes qui auraient pu nous échapper.

    Quant à l'histoire c'est du Chaplin dans le texte, avec quelques nouveautés ici et la mais on reprends le même schéma. Son personnage est toujours aussi attachant, il est brave et un grand degré d'humanisme en lui, c'est un homme du peuple et il touche le grand public parce que l' on se reconnaît en lui tout simplement.
    "La Ruée vers l'or" mets l'accent davantage sur l'histoire que sur les gags c'est du moins l'impression que j'ai eu, si on est moins hilare que dans d'autres de ses oeuvres on l'apprécie différemment sans que cela ne dérange outre-mesure.

    J'ai pu contempler les pas de danses, cette fameuse séquence intronisée dans la postérité, elle mêle poésie et humour avec une telle justesse ! A noter également qu'il lui aura fallu 63 prises pour finaliser la scène ou il mange une paire de chaussure avec son acolyte. La semelle était certes fait en réglisse mais ils ont bien tout mangé à chaque fois, ce qui leur a engendré des problèmes de transit intestinaux. Pas facile la vie d'artiste ...
    KristelR
    KristelR

    4 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 octobre 2019
    Entre poésie et magie, Charlot montre une nouvelle fois tout son talent d’artiste à part entière et sa perfection de la mise en scène. Le vagabond au chapeau melon nous offre ici des scènes mythiques à la sauce semelle-clous-lacets avec le repas (exquis et très goûtu), la danse des petits pains (d’une dextérité incroyable), le poulet géant (à dévorer) ou encore la jalousie (à tomber). Tout est mythique et mystique dans les œuvres de Chaplin.
    Les seconds rôles atteignent une dimension rarissime d’exactitude dans cet incontournable récit où les émotions sont l’essence même comme toujours chez Chaplin.
    Inspiré d’un fait divers tragique, « La Ruée vers l’Or » traite bien sûr de la soif de réussite, de fortune mais aussi de la faim, et du cannibalisme ; sans compter tous les sentiments qui leurs sont liés. Il dépeint avec une exactitude impressionnante les réactions de chacun tout ça avec un parfait contrôle des éléments qui est d'une extraordinaire créativité et réflexion sous des traits burlesques. C'est fin, c'est drôle, c'est poignant, ça prend les tripes, ça fait voyager, ça distrait, ça met des étoiles dans les yeux... tout y est ! Une pépite du cinéma à voir absolument. Préférez tout de même la version originale de 1925 sans trop d’effets modernes sonores qui rend l’interprétation plus subtile et profonde. Du très grand cinéma. Un énorme 5/5 qui mériterait bien plus !
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