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    Whiplash
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    1 174 critiques spectateurs

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    Clémentine K.
    Clémentine K.

    199 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 avril 2019
    Je l’ai vu car on me l’a conseillé et tout le monde autour de moi, fans de musique, n’en dit que du bien. J’ai trouvé ce film agréable à voir et avec une histoire surprenante sans être époustouflante et dont la fin m’a surprise.
    g0urAngA
    g0urAngA

    85 abonnés 1 735 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 janvier 2016
    Whiplash offre tout d'abord un duo de comédiens révélant une étonnante alchimie, puissante et presque sado masochiste.

    Whiplash est avant la montée en puissance d'un duel au sommet, emmené par des comédiens qui électrisent l'écran. Miles Teller, même si son énergie et son potentiel ne jaillit vraiment que quand il est devant sa batterie, J.K. Simmons, lui, complète le duo et compose un antagoniste fascinant et terrifiant.

    Cependant, même si le casting s'avère être à la hauteur, la réalisation ne laisse ni chaud ni froid. Certes, la mise en scène (particulièrement la scène finale) se révèle être efficace, mais sinon, le tout manque clairement d'originalité et de fraîcheur.

    Le film est un savoureux mélange de Full Metal Jacket et Black Swan, mais, on se rend compte rapidement que le métrage n'invente hélas pas grand chose, se contentant avec un certain talent tout de même, de recycler une recette connue...
    Charlotte28
    Charlotte28

    131 abonnés 2 049 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 décembre 2018
    Techniquement irréprochable grâce à une mise en scène nerveuse, un cadrage excellent et un casting parfait, le film manque pourtant d'intérêt dans sa peinture déjà vue d'un face à face entre un mentor et son élève dont la relation malsaine exacerberait le génie du second. Au-delà des scènes de répétition, violentes et marquantes, se détache le moment révélateur de la rupture qui manifeste les sacrifices discutables de celui qui se fantasme artiste jusqu'au-boutiste.
    JoeyTai
    JoeyTai

    20 abonnés 449 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2019
    Du bon boulot, mais on reste un peu en surface. Nous avons droit pendant 106 minutes à un duel psychologique joué par deux excellents acteurs et filmé avec une grande efficacité. C'est clairement le rapport de force entre le maître et l'élève qui intéressait le réalisateur. On voit ainsi l'élève chercher désespérément la reconnaissance du maître qui prend un plaisir évident à le traiter plus bas que terre entre deux furtifs encouragements. C'est bien sûr intéressant mais le réalisateur n'est pas allé au-delà du canevas proposé des les premières minutes : l'alternance carotte/bâton répétée à l'infini. Sur le fond, l'enseignant n'aura pas montré une seule faille durant la totalité du film. Même après qu'un de ses élèves prometteurs se soit donné la mort, qu'un autre ait manqué se tuer dans un accident de voiture dont il est partiellement responsable et qu'il ait été débarqué de son école, il continue de déballer son crédo dans la scène du bar : seule une exigence inhumaine peut lui permettre de révéler un génie parmi ses élèves. J'ai plutôt eu l'impression qu'il cherchait, à travers sa dureté, à créer des génies, ce qui n'est pas la même chose et relève plutôt de la folie... Un grand J.K Simmons mais pas un grand film.
    Santu2b
    Santu2b

    258 abonnés 1 797 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 février 2015
    "Wiplash" ; le sujet avait de quoi effrayer pourtant le film se situe bien loin des platitudes musicales actuelles à la "High School Music Hall" et autres "Glee". Au contraire, Damien Chazelle entreprend une exploration passionnante du monde de la musique, parvenant à restituer la cruauté des conservatoires et l'exigence parfois démesurée de leurs professeurs. De ce côté-là, le film est parfaitement servi par un excellent J. K. Simmons, qui pourrait ainsi prétendre au titre de nouveau sergent instructeur de "Full Metal Jacket". On n'évite pas les raccourcis habituels et quelques grossièretés mais l'ensemble est honorable malgré une conclusion décevante.
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    161 abonnés 1 208 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 décembre 2017
    C'est l'histoire d'un mec qui a toujours rêvé de se la péter dans les restaurants japonais. Alors il s’entraîne dur.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    136 abonnés 2 241 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 janvier 2016
    INVINCIBLE. Le Moby Dick du jazz. Au rythme des toms, de la grosse caisse, du charleston et des cymbales, Damien Chazelle nous entraine dans un face à face tyrannique entre l'élève et le sublime professeur. Le meilleur rôle de J.K.Simmons. Mené à la baguette, l'obstination du batteur face au tempo minutieux du chef d'orchestre. De la sueur et des ampoules.
    kibruk
    kibruk

    152 abonnés 2 588 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 octobre 2015
    Une belle réalisation et deux bons acteurs soutiennent un film au scénario assez classique (le professeur tyrannique qui pousse ses élèves au-delà de leurs limites). L'originalité réside essentiellement dans son contexte musical, mais c'est aussi sa faiblesse, puisque de nombreuses scènes en deviennent trop exagérées. Le professeur hurlant et vociférant des grossièreté rappelle fortement l'instructeur de "Full metal jacket", ce qui est parfait dans un film de soldats coince un peu ici, tout comme ces images de mains ensanglantées. Donc voici un film qui manque de finesse et de subtilité et qui est moins bien qu'espéré.
    joelle g
    joelle g

    93 abonnés 880 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2015
    Moins bien que les critiques que j'avais lues , critiques que je trouve donc sur-évaluées .... Le sujet est interessant et bien mené avec un accessit pour l'acteur qui joue le rôle du prof de musique ....parfait dans son rôle d'adjudant de la musique à la quête d'une star .....
    Artriste
    Artriste

    124 abonnés 2 037 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mars 2021
    Avec Whiplash, Damien Chazelle nous offre un drame musical encensé par la critique, un peu trop à mon goût. L'histoire de cet étudiant qui apprend la musique dans la plus prestigieuse école du pays rempli de grandes ambitions qui rencontre un professeur tyrannique est un poil répétitive et n'arrive jamais vraiment à décoller hormis dans sa toute dernière partie. Tout le film repose sur la relation entre Andrew l'étudiant et Terence le professeur. Le premier interprété par Miles Teller manque de profondeur et j'ai trouvé l'acteur très talentueux pour jouer d'un instrument mais beaucoup moins doué pour transmettre de l'émotion même si l'on souffre autant que lui lors de ses répétitions mais je pense avoir plus souffert que lui de la répétitivité des scènes. Le second à savoir le professeur interprété par J.K. Simmons est énormément plus intéressant. L'acteur joue à merveille son rôle de mentor aux méthodes très particulières étant extrêmement autoritaire, violent dans ses propos souvent insultants et dans ses gestes. Il est intransigeant, faisant répéter inlassablement ses élèves et en leur mettant constamment la pression en faisant jouer la concurrence. Malgré cela son personnage est plus touchant que celui d'Andrew car au fond ce n'est pas quelqu'un de mauvais mais un perfectionniste un peu trop névrosé. Car au delà de la passion nous sommes dans l'obsession et le travail ne laisse pas de place au plaisir. Les dialogues sonnent juste mais j'ai un peu été déçu par la b.o. En effet on ne profite pas vraiment des chansons car on en entend presque toujours que des petits extraits et plus globalement je n'ai pas été transporté par cette ambiance jazzy même si c'est fascinant de voir quelqu'un jouer de la musique. Pour ce qui est de la réalisation, elle se veut somme toute assez classique. Elle fait le travail mais elle manque d'identité et d'envergure. Reste vingt dernières minutes plus réussi que le reste même si la fin brutale m'a un peu laissé sur ma faim. Au final, Whiplash donne lieu à une confrontation ou un seul combattant est monté sur le ring et même si c'est un bon film ce n'est clairement pas un indispensable et l'on retiendra ici surtout la performance de J.K. Simmons.
    Philippe C
    Philippe C

    103 abonnés 1 064 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 janvier 2015
    Non, ce n'est pas un film sur la musique en général ou le jazz en particulier, bien que ce dernier lui serve de cocon, c'est un film sur l'apprentissage et les relations maître-élève quand les deux sont mus par une psychologie qui tourne à la psychopathie : les deux partagent l'obsession de l'excellence, l'élève batteur par narcissisme et ambition, le maître par une forme d'orgueil et de perversité manipulatoire et sadique....
    Dans un final éblouissant l'auteur semble vouloir prouver que ça peut fonctionner, le spectateur lui se demande, si ça vaut vraiment le coup, si le travail acharné peut remplacer le talent et la folie, le génie.
    Bien qu'éclairé par de morceaux musicaux très beaux, ce film est un film dur et violent, qui ne laisse pas insensible et réussir à émouvoir, parfois aux larmes, et on se prend à s'interroger pourquoi, car au fond la relation entre les 2 hommes est malsaine
    liamsi
    liamsi

    19 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 novembre 2017
    Si vous découvrez Damien Chazelle, il vaut mieux commencer par ce film avant de voir Lala Land, Whiplash est certes très plaisant mais il manque le côté fantaisiste et romantique pour compléter la recette.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    162 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 octobre 2017
    « Whiplash » est la matrice de « La La Land », en plus extrême, moins subtil, et pour tout dire moins plaisant. Pour autant on sent un certain talent en devenir, celui du jeune Damien Chazelle qui ne demande qu’à exploser avec le succès que l’on sait. A ce titre, « Whiplash » n’est pour moi ni un chef-d’œuvre précoce, ni un essai raté. Il s’agit plutôt d’un brillant brouillon, canalisant à grand peine l’énergie créatrice du jeune prodige new-yorkais.

    Tout d’abord il aborde la musique sous un angle intéressant : l’envers du décor, à travers le sacrifice mental et physique nécessaire pour devenir un « grand » artiste, ou tout du moins un musicien accompli et reconnu par la profession. Chazelle ne fait pas de mystère sur le côté complètement individualiste et narcissique d’une telle ambition : il ne masque pas les sacrifices que doit faire le héros pour arriver à son but. Et il s’agit de véritables sacrifices, qui ne restent pas sans conséquences, voire qui s’avèrent franchement inquiétants au regard de ce que « gagne » en retour Andrew, qui ambitionne rien que moins que devenir le nouveau Charlie Parker de la batterie ! Mais Chazelle ne veut pas résoudre cette ambiguïté, il ne juge pas le parcours de son jeune héros. Au contraire, il le suit de près et en montre toutes les contradictions, les bons côtés comme les mauvais. Certains prendront cela au premier degré et y verront un éloge de l’individualisme, d’autres un « modèle » d’anti-héros auquel ne surtout pas ressembler.

    Il faut dire que Chazelle se positionne sur la fine crête entre ces deux extrêmes. Il devient même limite complaisant, en esthétisant à outrance cette souffrance (ce sang rouge profond qui émane des ampoules et des mains du batteur) et en insistant très lourdement sur le personnage odieux interprété par J. K. Simmons, au parler outrancier des plus désagréable à la longue… Ce personnage de professeur tortionnaire, s’il s’avère entier, profondément ambivalent, entre ombre et lumière, trouble, manipulateur, n’en est pas moins caricatural par moments, et finit par agacer, après avoir lessivé le spectateur comme ses élèves à force de brutalité et de mépris hurlé à leur face comme la nôtre… A l’image de « La La Land », « Whiplash » est donc un essai sur la réussite et ce qu’elle peut avoir de meilleur comme de pire. Ni entre deux mou, ni tendant vers l’un ou l’autre de ces pôles positif et négatif, il s’agit d’un film plus complexe qu’il en a l’air.

    Une fois passée cette analyse sur le fond de ce long métrage, j’en viens à un autre aspect intéressant : son esthétique. Si la photographie et les prises de vues lorgnent parfois vers les clichés Instagram ou Starbucks que dénonce tant le personnage de Simmons, plusieurs plans au montage musical, notamment de New York la nuit, sont remarquables. Les prises de vues jouent avec la luminosité, les couleurs et les cadrages, dans un élégant ballet d’images. On ne peut nier la beauté de cette photographie, pas plus que la réalisation étonnamment maîtrisée de Chazelle, qui impressionne vu son jeune âge à l’époque. Il y a un certain classicisme de bon aloi chez Chazelle. Certes, il manque parfois de tomber dans la copie ou le pastiche malgré lui, mais il conserve ce brin de spontanéité qui n’appartient qu’à lui.

    J’en veux pour preuve un autre aspect remarquable de ce film : le jeu des acteurs. Si J. K. Simmons force le respect mais en fait limite trop, Miles Teller ne démérite pas et tient tête à Simmons. Mais la vraie surprise pour moi est la découverte de Melissa Benoist, au jeu sincère et sobre, plein de vie sans être maniéré. On n’a pas l’impression d’être en face d’une actrice, mais bien d’une personne « réelle » que l’on pourrait croiser dans un café ou dans la rue. Et c’est là toute la force de la direction d’acteur de Chazelle, que l’on évoque « Whiplash » ou « La La Land ». Il a le don de libérer ses acteurs, à la manière des grands d’Hollywood, qui savaient diriger de grands acteurs, eux-mêmes sachant donner vie à des personnages hauts en couleur et particulièrement inoubliables. A sa mesure, Chazelle s’inscrit dans cette veine, et fort heureusement pour lui comme pour nous, il sait rester mesuré, il ne court pas après la « spontanéité » ou pire, « l’authenticité ». Il filme des acteurs et des personnages simples, vivants, humains. Et je ne saurais trop le remercier : un peu de fraicheur dans notre époque gavée d’images factices au possible, voilà qui n’est pas pour me déplaire.

    En résumé, à l’image de la musique tantôt légère et virtuose (l'ouverture), tantôt lourde et forcée (le morceau « Whiplash »), si Chazelle ne passe pas loin de l’exercice de style un peu vain, il parvient avec son talent à donner vie à de vrais personnages, loin des protagonistes en deux dimensions dont nous gratifie souvent le cinéma américain. Il parvient également à mettre sur la table un sujet d’actualité : un individualisme forcené des plus funestes, pas loin d’un narcissisme destructeur, tout en rendant hommage au jazz et à ses plus illustres représentants, en mettant en évidence le côté tragique de leur trajectoire et de leur existence. En somme, tout n’est pas parfait, loin de là, mais ce film possède tout de même d’indéniables qualités. De toute évidence, Chazelle est un réalisateur à suivre !
    Nicolas K
    Nicolas K

    107 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mars 2015
    Il est souvent dit que la musique nous transporte chaque jour à coup de baladeur mp3 ou d'Ipod.
    Ce film est là est, avec ses images, d'une puissance sensorielle impressionnante.
    Un scénario crescendo, de motivation et de passion. Simple, mais efficace.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 janvier 2015
    Un face-à-face entre un étudiant au conservatoire ayant pour ambition de devenir un batteur de classe mondiale, et son professeur intraitable. On assiste à la construction d'un talent, avec ses qualités, persévérence, opiniatreté, et ses défauts, caractère, associabilité, qui contribuent à brosser un portrait très humain d'un personnage pas forcément sympathique. J.K Simmons quant à lui fait le show dans le rôle du mentor poussant ses élèves dans leurs derniers retranchements, doublé d'une reflexion intéressante sur le thème de la pédagogie. Le script s'arrange pour prendre le contrepied du spectateur à plusieurs reprises, et parvient globalement à le placer dans une situation d'inconfort : bon point coté immersion ! La réalisation sobre et sans réel éclat constitue l'une des faiblesses du film (avec la quasi-absence de personnages secondaires), mais la bande-son devrait ravir les amateurs de Jazz. Whiplash est un film bien fait et bien joué, à défaut d'être d'une grande originalité.
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