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    Whiplash
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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 janvier 2018
    Un grand moment de cinéma où l'on y voit grandir un batteur. Damiens Chazelles à su parfaitement transmettre cette rage , l'angoisse , l'embition et tous les autres sentiments du film au spectateur.
    Whiplash vous ferra suer et vous y viverait vraiment !
    Premix
    Premix

    14 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2017
    Ce film m'a laissé extrêmement perplexe et me fait encore me pauser des tas de questions aujourd'hui. Je ne sais même pas comment le noter ni même qu'en dire. Déjà je précise que je ne suis pas très sensible (voire pas du tout) au jazz mais ça ne m'a pas empêché d'apprécier le film et d'avoir été bluffé par ce final. Mais ce qui m'a vraiment marqué c'est les questions qu'il soulève "Jusqu'où aller pour vivre de sa passion ?" "Doit-on impérativement rechercher l'excellence?" "A quel prix?"... Et c'est précisément ce point qui m'a fait aimer ce film. Porté par un excellent jeu d'acteur, le film nous montre jusqu'où un chef d'orchestre et un batteur sont prêts à aller pour atteindre l'excellence, et ils semblent justement n'avoir aucune limite. Les personnages sont très bien traités entre ce chef d'orchestre si dur, si impassible voire diabolique et ce batteur prêt à risquer sa vie pour devenir le meilleur, et puis le paradoxe qui est fait entre le monde "réel", "normal" et cet autre monde si différent où il faut traverser l'enfer pour arriver à atteindre la perfection, c'est juste excellent. On passe du stress, de l'angoisse quand il joue de la batterie, au calme et à la sérénité quand il sort un peu de cet univers. Le réalisateur a parfaitement su nous faire ressentir les émotions du batteur, un grand bravo. Rien à dire de plus, je pense que c'est un sans faute.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 février 2017
    excellent, un des très rare films ayant pour vocation la musique, le jazz pur et brute qui vaut le détour. on découvre cette univers impitoyable de la musique à au niveau et où du jour au lendemain on peut se retrouver sans rien si l'on est pas une pointure ou alors très célèbre. les solo de batterie sont envoutants et excellents
    dragoyo
    dragoyo

    114 abonnés 777 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2017
    4/5 excellent. Très bon film, qui passe très vite, très prenant, scénario qui tient la route et nous réserve une scène de fin mémorable. Le jeu d'acteur est très bon.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 février 2017
    Un film puissant, on ressent tout le stress et la pression d'un jeune en devenir face à son maître. un film prennant et dérangeant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 février 2017
    Un petit film captivant et inattendu sur le dépassement de soi, l'excellence, le repli et la toxicité des relations soumises à ces impératifs de réussite. Le génie du réalisateur Damien Chazelle est de transformer un sujet d'apparence rébarbative en un thriller oppressant et haletant. On apprécie un scénario très fluide et intelligent qui donne la part belle aux deux personnages principaux. Surtout JK Simmons, terrifiant en professeur implacable et sadique. L'habilité du récit est de ne pas figer les personnages dans une posture ou une relation, tout reste ouvert aux interprétations après le morceau de bravoure final. La mise en scène est rythmée et rigoureuse, confinée dans des intérieurs jaunâtres pesants. Les thèmes que l'on retrouvera dans "La La Land" sont déjà bien en place: la musique jazz, la poursuite de ses rêves et son impact sur les relations. Un auteur à suivre!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 février 2017
    Mais punaise de bon sang ! Pourquoi je ne l'ai pas vu plus tôt ? C'est un chef d'oeuvre ! Il existe pas 36 chemins, c'est une tuerie ce film.
    L'histoire d'Andrew, passionné de musique, qui intègre l'orchestre de M. Fletcher est un peu plus simple. Mais là n'est pas la force de ce film. Ce dernier, est porté par ce duo magistral. En effet, JK Simmons va incarner un professeur tyrannique tant par la parole que physiquement. Il va pousser ses élèves à aller au-delà d'eux-mêmes. A la limite de la torture, de l'harcèlement, ce film dérange. On en devient gêner de regarder ces scènes de violences verbales qui auront un réel impact sur la vie d'Andrew. Et qui de mieux pour incarner ce professeur que JK Simmons ? Bravo, son oscar est amplement mérité !
    Le rapport de force entre les deux protagonistes est accrocheur à tel point que je ne me suis pas ennuyée une seule minute. Je n'osais pas même cligner des yeux pour ne pas perdre une miette de la tension que transmet ce film. Pourtant, ce n'est pas en grande fan de jazz que j'y allais, je n'y connais strictement rien, mais peu importe, c'est l'ascension de l'Everest en émotion. Un début qui emballe direct, qui nous laisse l'eau à la bouche, on veut en savoir plus. Une intrigue magnifiquement bien ficelé, qui nous maintient en haleine de par ce duo, et une fin comme on en voit rarement. On pleure une fin de film aussi dingue. On veut en voir plus, ça ne peut pas s'arrêter comme ça ! Et pourtant, aucune autre fin n'aurait mieux convenu.
    Un chef d'oeuvre ! Pas d'autres mots. Bravo et merci, ce film manquait au cinéma.
    L'Otaku Sensei
    L'Otaku Sensei

    320 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 février 2017
    Etant donné que son nouveau film, La La Land cartonne avec des critiques internationales unanimement très positives (et un succès commercial inattendu qui se précise de plus en plus, en témoigne les 300 millions de dollars rapportés pour un budget initial de 30 millions de dollars seulement^^), impossible de passer à côté de la hype du moment générée par le comédie musicale avec Emma Stone Ryan Gosling !
    Pour ne pas être en dehors de la hype du moment, je me devais de me rattraper en me lançant dans le visionnage de "Whiplash", lui aussi gros succès critique cinématographique de l'année 2014.
    Très curieux de découvrir ce nouveau jeune prodige qu'est Damien Chazelle, ce jeune réalisateur à la trentaine, je me suis lancé dans le visionnage de ce drame musical, ce "duel inoubliable" vanté par les médias !
    Whiplash, premier long métrage de Damien Chazelle et sa deuxième production, reprend le court métrage éponyme réalisé par le même réalisateur un an plus tôt et nous raconte l'histoire d'Andrew Neiman. Etudiant de 19 ans au conservatoire Shaffer de New York, la plus prestigieuse école de musique du pays, Andrew, passionné par la batterie, rêve de devenir quelqu'un dans le milieu mais hélas, le jeune homme se retrouve sous le joug de Terence Fletcher, professeur et chef d'orchestre terriblement tyrannique et élitiste, poussant ses élèves au bout de leurs limites aussi bien sur le plan physique que mental. Mais galvanisé par sa passion, Andrew est bien décidé à ne pas plier devant lui et à repousser toutes ses limites pour décrocher sa place de batteur dans l'orchestre. Voilà pour le pitch global.
    Qu'en est-il ? Une baffe mais quelle baffe ! En voilà un film qui n'a pas usurpé son succès critique et dont les éloges sont parfaitement justifiées !
    A l'image de Charlie Parker dans la légende du Jazz dont le professeur lui a lancé une cymbale dans la figure à cause de fausses notes, c'est une claque cinématographique à l'image métaphoriquement d'une cymbale dans en pleine poire que j'ai pris !
    Whiplash est un véritable coup de maître qui laisse bouche-bée le spectateur tant l'expérience est prenante et laisse sa marque dans nos esprit même plusieurs heures après la fin du film !
    A travers une histoire qui paraît un rabachage de dépassement de sois en premier abord, Damien Chazelle nous à pondu là un véritable remake de "Rocky" dans la musique d'une profondeur et d'une intensité époustouflante aussi bien au niveau de la maîtrise de la caméra que du propos ou du jeu d'acteur !
    L'histoire de Whiplash est ingénieusement ficelée de bout en bout, le rythme et le ton qui ne cesse de monter crescendo sont parfaitement donnés dès l'ouverture spoiler: avec un noir total puis le sont des baguettes qui cognent sur les cymbales qui monte de plus en plus pour enfin laisser place à un plan dans l'axe du couloir menant au studio et un travelling avant donnant à la caméra une fonction presque intrusive (le point de vue de Terence Fletcher peut être bien ? ^^) dans la bulle qu'Andrew, déjà soumis à l'autorité oppressante de son professeur, tente désespérément de se créer.

    Par la suite, toute l'intrigue se déroule sans fausse note, Chazelle manie à la perfection chaque partition de cette "tragédie lyrique" dans laquelle on peut presque supposer un tempo autobiographique, en plus de mettre véritablement en valeur le morceau phare d'Hank Levy et d'autres musiques de Jazz.
    Le film rend au Jazz ses lettres d'or ainsi qu'aux légendes Buddy Rich et Charile Parker (sans doute Chazelle s'est inspiré du film "Bird" de Clint Eastwood de 1987).
    Ici, Chazelle transforme un orchestre en véritable régime totalitaire et rend à la musique tout son caractère épique et spectaculaire en rapprochant la manipulation d'un instrument d'une prestation de l'ordre de la prouesse physique !
    Avec son film, Chazelle se place plus du côté du cinéma de personnage plutôt que du cinéma d'intrigue comme à souvent tendance à la prôner le système Hollywoodiens, ce n'est donc pas la trame narratif (qui malgré son classicisme dans le fond reste amplement plus que correcte et non reléguée au second rang) mais les personnages qui sont marquants.
    Le duel entre Andrew et Fletcher et bel et bien inoubliable comme le suggèrent les critiques, un super exemple moderne de la dialectique du maître et de l'esclave (parce qu'à ce stade, Andrew n'est plus élève mais carrément esclave). Qui est le maître de l'orchestre ? Qui imposera son tempo à l'autre ?
    Andrew est esclave du Fletcher dans la mesure ou il est de force à suivre le tempo imposé par son professeur, cependant il est persévérant et continu de s'entraîner quitte à se faire saigner les mains pour gagner sa "liberté de jouer"; à l'inverse, T.Fletcher est au sommet et dirige à la baguette la moindre note, le moindre son qui sort de chaque instrument avec élitisme et injures.
    Toute cette dureté et cette persévérance "inhumaine" d'Andrew, nous la ressentons avec une émotion et une admiration sans borne via d'impeccables mouvements de caméra. spoiler: Damien Chazelle ne cesse de multiplier les gros plans, les inserts, à poser sa caméra au plus près pour nous retranscrire goûte de sueur par goûte de sueur l'acharnement et la souffrance enduré par le héros au pris de sang sur les cymbales et de larmes.

    Encore mieux, le héros n'est pas cliché, il n'est pas forcément sympathique même si bien entendu on éprouve immédiatement de la pitié pour lui, spoiler: Andrew est quand même plutôt égoïste car notons qu'il va jusque à larguer sa copine de peur qu'elle le gêne dans ses rêves de grandeur, sans se soucier de la peine qu'elle éprouve. Plus logique mais tout de même, il finit par devenir agressif avec les autres sans se chercher à se faire des amis.

    Le jeu d'acteur de Miles Teller et surtout J.K Simmons est inoubliable ! Simmons est juste parfait dans le rôle du professeur tyrannique, chacun de ses excès de colère nous donnent envie à nous spectateur de nous lever tant l'injustice est là. Un personnage qu'on déteste immédiatement mais qu'on prend plaisir à détester pour ses méthodes radicales et tant il donne la gnac au héros de vouloir se dépasser. Vraiment, J.K Simmons m'a bluffé !
    Voilà, rien à dire de plus, en définitif, avec ce premier long métrage, le chef d'orchestre Damien Chazelle commence très fort avec un film poignant ! Un duel Maître/Elève au sommet qui résonne comme un coup de baguette sur les cymbales dans le monde du Jazz au cinéma, inoubliable !
    Gabriel J
    Gabriel J

    1 abonné 54 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 septembre 2018
    Des acteurs au sommet une réalisation sans le moindre défaut et une grande originalité au niveau du scénario. Un chef d'oeuvre !!!!!!
    JG92
    JG92

    18 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 février 2017
    Full Metal Jacket dans l'univers du jazz! JK Simmons joue parfaitement le chef d'orchestre tyrannique qui n'hésites pas a ridiculiser sa sectio. rythmique en publique. La tension va creshendo, on souffre pour le jeune bateur à l'image de ses doigts meurtris et de la sueur qui perle son front.
    un film qui ne laisse pas indifferent.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 février 2017
    Un film qui prend aux tripes. Formidable. J'aurais pu mettre un 5 mais hélas une petite partie, au milieu du film, n'est pas à la hauteur du reste.
    Charlotte A
    Charlotte A

    3 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 février 2017
    La pression psychologique est très prenante. La prestation de Miles Teller est à couper le souffle ! J'ai beaucoup aimé ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 mars 2017
    Un véritable chef d’œuvre, hors du commun, le film ne peut être classé dans aucun genre. Il est certes particulier, mais non moins totalement génial par les émotions qu'il transmet. Lorsqu'on se surprend à sursauter ou à sourire pendant le visionnage d'un film, on peut être sûrs que celui-ci nous touche.

    Dans son scénario, Whiplash est en fin de compte plutôt classique : c'est l'histoire d'un jeune musicien. Assez basique, si on ne prend pas en compte le fait que le film n'est pas une histoire vraie. On réalise alors que toute cette vie et ces personnages ont été inventés, et le film n'en devient que plus magique.

    Mais le cœur du film réside dans ses personnages, et en particulier celui de Fletcher, plein de contradictions. Incarné par J.K. Simmons, le personnage est tyrannique et difficile, mais son comportement s'explique à la fin et qu'on arrive à comprendre malgré nous. Simmons est excellent, il se montre à la hauteur du personnage et on croirait l'avoir dans son salon, vous hurlant dessus parce que vous n'avez pas le bon tempo... Magnifique, dérangeant, ahurissant, révoltant, il s'oppose au personnage du jeune Neyman, interprété par Miles Teller. L'acteur surprend agréablement et parvient à dépeindre toute la souffrance, la passion et la détermination du personnage. spoiler: Cette opposition se muera finalement en alliance invincible à la fin du film, une fin rythmée, triomphale et meilleure que le film entier (et ce n'est pas peu dire!).


    Chazelle est particulièrement bon à la réalisation, les mouvements de caméra sont efficaces et bien utilisés, ils subliment le film de bout en bout. Quant à la musique, elle rythme le film de bout en bout, parfois discrètement, parfois haut et fort. Elle est si expressive qu'elle se suffit à elle seule. Pour ceux qui pensent que le thème, le jazz donc, ne va pas leur parler, je tiens à préciser qu'il n'est qu'une toile de fond à la présentation et l'évolution des personnages. Lorsque le jazz est présent, il est passionnant. les morceaux vous trottent dans la tête un petit moment et rappellent le ton du film et son rythme endiablé.

    Un film à part donc, mais qui m'a beaucoup plu par ses images, sa musique, ses personnages etc... Jubilatoire, plein d'émotions, excellent film.
    gabrielle29
    gabrielle29

    17 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 janvier 2017
    Film virtuose. Comment on peut faire un excellent film avec un budget minime. Les deux acteurs principaux jouent leur partition à la perfection. Du plaisir à l'état pur.
    Arnaud K
    Arnaud K

    19 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 janvier 2017
    Pour ce premier long métrage de Damien Chazelle, c'est une copie quasi-parfaite.
    La confrontation finale entre Miles Teller (Adrew) et J.K Simmons (Fletcher) est à couper le souffle, Miles Teller nous offre une performance pleine d'énergie, de passion, complétée par le charisme incroyable de J.K Simmons dans son rôle de professeur sadique et passionné.
    Le film en lui même est d'une rare intensité, le scénario est prenant, et tend à nous donner une sorte de morale sur les sacrifices liés à la passion. Le seul bémol pourrait se trouver dans la fin de ce film. Je dis bien pourrait dans le sens où l'on peut considérer cette fin comme un véritable coup de génie de la part de Damien Chazelle, ou alors on peut rester sur notre faim car cette fin laisse l'interrogation de l'histoire entre Andrew et Nicole, pour ma part, j'ai été surpris par une telle fin mais ce film reste une œuvre complète, haletante, marqué par le charisme de J.K Simmons et le talent inconventionnel de Damien Chazelle.
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