Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Portrait de femmes et d’enfants d’une grande puissance émotionnelle, tendant moins au pathos larmoyant qu’à la réalité tragique des émotions, "L’Attrape-rêves" est une jolie boule de neige cinématographique, un vent glacé de liberté, une très belle fable sur le deuil et le pardon.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Claudia Llosa sait raconter son histoire et touche au cœur avec grâce."
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
La mise en scène soignée n’empêche pas le film de sombrer dans le pathos. “L’Attrape-rêves” peut cependant séduire par les valeurs humanistes qu’il prône.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Souvent, on se perd dans le jeu des deux histoires à vingt ans d'intervalle mais, si on n'a pas peur du froid, il y a une atmosphère dans ce drame énigmatique. (...) Et Mélanie Laurent et Cillian Murphy sont plutôt convaincants.
Paris Match
par Alain Spira
Une odyssée intime et dépaysante dont le déroulement chaotique et inéluctable fascine autant que ses interprètes, Cillian Murphy en tête.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Une intrigue desservie par la réalisation maniérée de Claudia Llosa ("Fausta"), malgré le jeu subtil du trio Cillian Murphy-Mélanie Laurent-Jennifer Connelly.
Télé 2 semaines
par D.M.
Un mélo bien joué.
Voici
par La rédaction
Pas très sobre, voire un brin superficiel.
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Autant la première partie, portée par le jeu poignant de Jennifer Connelly, témoigne d’une vraie originalité, autant la seconde manque de souffle et peine à convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Christophe Carrière
Tout cela se déroule aux confins du Grand Nord, avec de belles images mais sur un scénario ampoulé et embrouillé qui coupe toute émotion. C'est dommage. Surtout pour Jennifer Connelly.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
La réalisatrice va et vient entre passé et présent et traque les traumas qu’elle enveloppe dans du papier de soie et des joliesses sentimentales.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une distribution impeccable, mais qui a du mal à dépêtrer le film de son brumeux discours chamanique et à donner un peu de couleur à la blancheur aveuglante de la calotte glaciaire.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Cillian Murphy et Mélanie Laurent sont beaux, comme les paysages, mais ne changent rien à l'ennui qui s'installe et perdure.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Seul Cillian Murphy réussit à briser la glace dans le rôle du fils en quête d’affection.
Le Parisien
par T.D.K.
Difficile de savoir sur quel pied danser avec ce film. Un drame émotionnel ? De la science-fiction ? À voir avec les idées claires.
Première
par Sylvestre Picard
Sujet très fort (...), acteurs impeccables (...), grands paysages sublimes... Mais cela n'accroche jamais, c'est lourd et pâteux, la faute à une symbolique pesante, une photo aveuglante (...), à un rythme neurasthénique et à une conclusion absolument frustrante et insuffisante.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Plus les étendues sont blanches, plus le scénario est noir – il faut imaginer, à l’écran, un mix de "l’Alchimiste", de Paolo Coelho, et de "Dans les forêts de Sibérie", de Sylvain Tesson. On devrait être ému, et on sourit de tant de maladresses. Même le faucon, là-haut, a l’air paumé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Jennifer Connelly, perdue dans le Grand Nord canadien, incarne une mère célibataire devenue guérisseuse. Cillian Murphy et Mélanie Laurent se lancent à sa recherche, mais la brume arctique est trop épaisse pour que le spectateur saisisse les enjeux de cette quête.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
On se demande d’où vient cette histoire surdramatisée baignant dans le pathos et se complaisant dans les clichés sur la marginalité. Sans doute des années 1980, où ce type d’approximation romanesque abondait… Pas vraiment baba ni new age, mais tout de même très toc avec ses prétentions poético-décalées.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Éric Derobert
Problèmes de construction, problèmes de scénario, problèmes de tout.
Télérama
par Frédéric Strauss
Tout en s'assurant que ses personnages ont toujours la larme à l'oeil, la réalisatrice péruvienne de ce film américain, où rien ne prend, prétend faire une oeuvre métaphysique, à la Iñárritu. Mais elle reste à la surface de tout.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
Portrait de femmes et d’enfants d’une grande puissance émotionnelle, tendant moins au pathos larmoyant qu’à la réalité tragique des émotions, "L’Attrape-rêves" est une jolie boule de neige cinématographique, un vent glacé de liberté, une très belle fable sur le deuil et le pardon.
Franceinfo Culture
Claudia Llosa sait raconter son histoire et touche au cœur avec grâce."
Les Fiches du Cinéma
La mise en scène soignée n’empêche pas le film de sombrer dans le pathos. “L’Attrape-rêves” peut cependant séduire par les valeurs humanistes qu’il prône.
Ouest France
Souvent, on se perd dans le jeu des deux histoires à vingt ans d'intervalle mais, si on n'a pas peur du froid, il y a une atmosphère dans ce drame énigmatique. (...) Et Mélanie Laurent et Cillian Murphy sont plutôt convaincants.
Paris Match
Une odyssée intime et dépaysante dont le déroulement chaotique et inéluctable fascine autant que ses interprètes, Cillian Murphy en tête.
Studio Ciné Live
Une intrigue desservie par la réalisation maniérée de Claudia Llosa ("Fausta"), malgré le jeu subtil du trio Cillian Murphy-Mélanie Laurent-Jennifer Connelly.
Télé 2 semaines
Un mélo bien joué.
Voici
Pas très sobre, voire un brin superficiel.
Culturopoing.com
Autant la première partie, portée par le jeu poignant de Jennifer Connelly, témoigne d’une vraie originalité, autant la seconde manque de souffle et peine à convaincre.
L'Express
Tout cela se déroule aux confins du Grand Nord, avec de belles images mais sur un scénario ampoulé et embrouillé qui coupe toute émotion. C'est dommage. Surtout pour Jennifer Connelly.
La Voix du Nord
La réalisatrice va et vient entre passé et présent et traque les traumas qu’elle enveloppe dans du papier de soie et des joliesses sentimentales.
Le Dauphiné Libéré
Une distribution impeccable, mais qui a du mal à dépêtrer le film de son brumeux discours chamanique et à donner un peu de couleur à la blancheur aveuglante de la calotte glaciaire.
Le Figaro
Cillian Murphy et Mélanie Laurent sont beaux, comme les paysages, mais ne changent rien à l'ennui qui s'installe et perdure.
Le Journal du Dimanche
Seul Cillian Murphy réussit à briser la glace dans le rôle du fils en quête d’affection.
Le Parisien
Difficile de savoir sur quel pied danser avec ce film. Un drame émotionnel ? De la science-fiction ? À voir avec les idées claires.
Première
Sujet très fort (...), acteurs impeccables (...), grands paysages sublimes... Mais cela n'accroche jamais, c'est lourd et pâteux, la faute à une symbolique pesante, une photo aveuglante (...), à un rythme neurasthénique et à une conclusion absolument frustrante et insuffisante.
L'Obs
Plus les étendues sont blanches, plus le scénario est noir – il faut imaginer, à l’écran, un mix de "l’Alchimiste", de Paolo Coelho, et de "Dans les forêts de Sibérie", de Sylvain Tesson. On devrait être ému, et on sourit de tant de maladresses. Même le faucon, là-haut, a l’air paumé.
Le Monde
Jennifer Connelly, perdue dans le Grand Nord canadien, incarne une mère célibataire devenue guérisseuse. Cillian Murphy et Mélanie Laurent se lancent à sa recherche, mais la brume arctique est trop épaisse pour que le spectateur saisisse les enjeux de cette quête.
Les Inrockuptibles
On se demande d’où vient cette histoire surdramatisée baignant dans le pathos et se complaisant dans les clichés sur la marginalité. Sans doute des années 1980, où ce type d’approximation romanesque abondait… Pas vraiment baba ni new age, mais tout de même très toc avec ses prétentions poético-décalées.
Positif
Problèmes de construction, problèmes de scénario, problèmes de tout.
Télérama
Tout en s'assurant que ses personnages ont toujours la larme à l'oeil, la réalisatrice péruvienne de ce film américain, où rien ne prend, prétend faire une oeuvre métaphysique, à la Iñárritu. Mais elle reste à la surface de tout.