Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Sans prendre de gants, mais sans agressivité non plus, "Dear White People" en dit long sur la place de chacun dans cette fac qui réunit l'élite de la jeunesse américaine. L'intelligence de Justin Simien a été d'éviter tout discours moralisateur, quitte à faire grincer des dents entre deux éclats de rire.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Libération
par Clémentine Gallot
Comédie grinçante et érudite (...) Ce portrait de la communauté estudiantine a le mérite de présenter une définition hétérogène de cette blackness au diapason des questionnements, parfois contradictoires, qui l’animent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Anthony Verdot-Belaval
Pour un premier essai, c'est donc un coup de maître. Preuve s'il le fallait encore que le cinéma indépendant américain est en pleine explosion. Simien a réussi à éviter la critique facile malgré un sujet compliqué. Il s'est joué des préjugés sans jamais tomber dans les clichés.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Ecran Large
par Geoffrey Crété
S'il fallait désigner le digne descendant de Spike Lee, ce serait Justin Simien. En témoigne ce premier film qui déborde de qualités et d'énergie.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Ce film met le doigt là où ça fait mal et écorne l'image d'un écosystème étudiant, où le dogme de la réussite à l'américaine cache des restes idéologiques peu ragoutants.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par La Rédaction
Le ton est acerbe et tout le monde en prend pour son grade, qu'importe la couleur de peau. Et d'un point de vue mise en scène, Simien se débrouille très bien, merci. Encore un peu vampirisé par ses maîtres (...), il sera au top quand il aura affiné son propre style. Et ça risque de faire très mal.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une comédie satirique mordante et grinçante, qui traite non sans malice la question du racisme et de l’identité : chacun y reconnaîtra les siens.
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Une satire grinçante de la génération Obama.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Une vision décomplexée et réaliste de la génération Obama.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Des jeunes acteurs au tempo comique irréprochable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Hubert Lizé
A peine sorti …et déjà culte.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Le cinéaste est brillant, et aime le montrer : ses dialogues claquent, chaque plan est un condensé de bon goût, et les personnages sont parfaitement caractérisés, remplissant une fonction précise dans une machine bien huilée. Trop bien huilée ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
(...) outre sa dimension politique stimulante, "Dear White People" séduit également grâce à son habillage pop : pastilles fun qui installent les personnages, chapitrage moqueur, contrepoint musical…
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Assumant l'héritage de Spike Lee, Justin Simien révèle des qualités de satiriste évoquant Robert Downey Sr. (Putney Swope, 69). Son coup d'essai, brillamment dialogué, laisse promettre le meilleur pour la suite.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Mathilde Blottière
La satire est enlevée, et le style, élégant, prend à contre-pied les clichés souvent associés au cinéma noir américain, forcément naturaliste ou décérébré.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Marianne Renaud
Un projet détonnant dans le paysage du cinéma d’auteur américain, pour un long-métrage réussi et enthousiasmant, à l’humour aussi provocant qu’intelligent.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La rédaction
En dépit de son traitement parfois trop pointu, cette comédie satirique bénéficie de dialogues bien sentis et d’une véritable conscience politique.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Critikat.com
par Marianne Fernandez
Justin Simien fait le choix du rire, se jouant de la culture et des stéréotypes d’une société dont il se moque pour mieux en souligner l’ambivalence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Metro
par Mehdi Omaïs
"Dear White People" de Justin Simien s’est forgé une solide réputation. Et pour cause, son réalisateur de 31 ans, sorte de fils spirituel de Spike Lee et Oprah Winfrey, s’appuie sur la vie d’étudiants noirs dans une fac blanche pour y bâtir une réflexion passionnante sur l’identité et le racisme.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
La mise en boîte est constamment rattrapée par l’esprit de sérieux, pour n’aboutir qu’à une lisse relecture doctorante du cinéma de Spike Lee.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Malgré la pertinence de ses piques contre le néo-oncle-tomisme des Blancs, cette comédie antiraciste au ton alerte ressemble à un long sketch télé.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ni brûlot anti-Blancs, ni appel à une révolte noire, le film ne propose pas de solutions. Affichant ses ambiguïtés et ses contradictions, il désarçonne jusqu’à sa chute.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une comédie satirique trop bavarde.
Positif
par Bernard Génin
On finit par se demander si on ne regarde pas le pilote d'une série où chaque cas pourrait être développé et enfin éclairci. Très bavard, le film s'étire sur deux heures, alignant clichés et stéréotypes sur les Noirs vus par les Blancs, et les Blancs vus par les Noirs.
20 Minutes
Sans prendre de gants, mais sans agressivité non plus, "Dear White People" en dit long sur la place de chacun dans cette fac qui réunit l'élite de la jeunesse américaine. L'intelligence de Justin Simien a été d'éviter tout discours moralisateur, quitte à faire grincer des dents entre deux éclats de rire.
Libération
Comédie grinçante et érudite (...) Ce portrait de la communauté estudiantine a le mérite de présenter une définition hétérogène de cette blackness au diapason des questionnements, parfois contradictoires, qui l’animent.
Paris Match
Pour un premier essai, c'est donc un coup de maître. Preuve s'il le fallait encore que le cinéma indépendant américain est en pleine explosion. Simien a réussi à éviter la critique facile malgré un sujet compliqué. Il s'est joué des préjugés sans jamais tomber dans les clichés.
Ecran Large
S'il fallait désigner le digne descendant de Spike Lee, ce serait Justin Simien. En témoigne ce premier film qui déborde de qualités et d'énergie.
Franceinfo Culture
Ce film met le doigt là où ça fait mal et écorne l'image d'un écosystème étudiant, où le dogme de la réussite à l'américaine cache des restes idéologiques peu ragoutants.
L'Express
Le ton est acerbe et tout le monde en prend pour son grade, qu'importe la couleur de peau. Et d'un point de vue mise en scène, Simien se débrouille très bien, merci. Encore un peu vampirisé par ses maîtres (...), il sera au top quand il aura affiné son propre style. Et ça risque de faire très mal.
Le Dauphiné Libéré
Une comédie satirique mordante et grinçante, qui traite non sans malice la question du racisme et de l’identité : chacun y reconnaîtra les siens.
Le Figaroscope
Une satire grinçante de la génération Obama.
Le Journal du Dimanche
Une vision décomplexée et réaliste de la génération Obama.
Le Monde
Des jeunes acteurs au tempo comique irréprochable.
Le Parisien
A peine sorti …et déjà culte.
Les Inrockuptibles
Le cinéaste est brillant, et aime le montrer : ses dialogues claquent, chaque plan est un condensé de bon goût, et les personnages sont parfaitement caractérisés, remplissant une fonction précise dans une machine bien huilée. Trop bien huilée ?
Première
(...) outre sa dimension politique stimulante, "Dear White People" séduit également grâce à son habillage pop : pastilles fun qui installent les personnages, chapitrage moqueur, contrepoint musical…
TF1 News
Assumant l'héritage de Spike Lee, Justin Simien révèle des qualités de satiriste évoquant Robert Downey Sr. (Putney Swope, 69). Son coup d'essai, brillamment dialogué, laisse promettre le meilleur pour la suite.
Télérama
La satire est enlevée, et le style, élégant, prend à contre-pied les clichés souvent associés au cinéma noir américain, forcément naturaliste ou décérébré.
aVoir-aLire.com
Un projet détonnant dans le paysage du cinéma d’auteur américain, pour un long-métrage réussi et enthousiasmant, à l’humour aussi provocant qu’intelligent.
CNews
En dépit de son traitement parfois trop pointu, cette comédie satirique bénéficie de dialogues bien sentis et d’une véritable conscience politique.
Critikat.com
Justin Simien fait le choix du rire, se jouant de la culture et des stéréotypes d’une société dont il se moque pour mieux en souligner l’ambivalence.
Metro
"Dear White People" de Justin Simien s’est forgé une solide réputation. Et pour cause, son réalisateur de 31 ans, sorte de fils spirituel de Spike Lee et Oprah Winfrey, s’appuie sur la vie d’étudiants noirs dans une fac blanche pour y bâtir une réflexion passionnante sur l’identité et le racisme.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
La mise en boîte est constamment rattrapée par l’esprit de sérieux, pour n’aboutir qu’à une lisse relecture doctorante du cinéma de Spike Lee.
L'Humanité
Malgré la pertinence de ses piques contre le néo-oncle-tomisme des Blancs, cette comédie antiraciste au ton alerte ressemble à un long sketch télé.
La Croix
Ni brûlot anti-Blancs, ni appel à une révolte noire, le film ne propose pas de solutions. Affichant ses ambiguïtés et ses contradictions, il désarçonne jusqu’à sa chute.
Ouest France
Une comédie satirique trop bavarde.
Positif
On finit par se demander si on ne regarde pas le pilote d'une série où chaque cas pourrait être développé et enfin éclairci. Très bavard, le film s'étire sur deux heures, alignant clichés et stéréotypes sur les Noirs vus par les Blancs, et les Blancs vus par les Noirs.