Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Positif
par Pierre Eisenreich
Pour arriver à cette intensité émotionnelle qui vient pallier l'absence de commentaires psychologiques proférés par les personnages, il faut saluer la direction d'acteurs qui a su faire ressortir toutes les particularités ethniques, en oeuvrant avec réalisme, à l'image minutieuse des décors ne souffrant d'aucune invraisemblance.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Alain Choquart dispose d’une distribution équilibrée (Peter Sarsgaard, Jérémie Renier, Emily Mortimer, Claude Rich et Liam Cunningham) dont la qualité d’interprétation s’appuie sur sa mise en scène, solide, poétique, elliptique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Télérama
par Pierre Murat
Tout est précis dans sa mise en scène, chaque geste compte. (...) Le lyrisme, diffus mais permanent, vient de la direction d'acteurs : Peter Sarsgaard, notamment, l'homme aux rosiers fantômes, qui a la virilité douce et blessée d'un héros de John Huston.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Noémie Luciani
S'inspirant de romans d'Hubert Mingarelli, Alain Choquart crée des portraits amers qui trouvent dans leur pudeur un peu raide une beauté certaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
Savamment dirigé, le long-métrage pêche par son manque de passion mais touche grâce à ses intentions.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Benoît Smith
On devine bien que Choquart considère son récit comme un brassage où tout convergerait vers un sens et un discours commun, global. Mais les choses ne sont pas si simples, et "Ladygrey" se disperse au détriment de sa consistance
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Gilles Renault
D’une louable ambition, le film d’Alain Choquart peine cependant à surmonter une symbolique pesante, grevée par une interprétation problématique (cf. Jérémie Renier en idiot du village).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un tableau de société d'Alain Choquart, éparpillé dans une certaine neutralité.
Première
par Damien Leblanc
Choquart tente, comme son modèle Terrence Malick, de capter la puissance de la nature. Mais le sentiment de culpabilité généralisé, lui, ne parvient pas à capter le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Hélas, la réalisation manque d'âme, de vie et de souffle, d'où une absence totale d'intensité.
Positif
Pour arriver à cette intensité émotionnelle qui vient pallier l'absence de commentaires psychologiques proférés par les personnages, il faut saluer la direction d'acteurs qui a su faire ressortir toutes les particularités ethniques, en oeuvrant avec réalisme, à l'image minutieuse des décors ne souffrant d'aucune invraisemblance.
La Croix
Alain Choquart dispose d’une distribution équilibrée (Peter Sarsgaard, Jérémie Renier, Emily Mortimer, Claude Rich et Liam Cunningham) dont la qualité d’interprétation s’appuie sur sa mise en scène, solide, poétique, elliptique.
Télérama
Tout est précis dans sa mise en scène, chaque geste compte. (...) Le lyrisme, diffus mais permanent, vient de la direction d'acteurs : Peter Sarsgaard, notamment, l'homme aux rosiers fantômes, qui a la virilité douce et blessée d'un héros de John Huston.
Le Monde
S'inspirant de romans d'Hubert Mingarelli, Alain Choquart crée des portraits amers qui trouvent dans leur pudeur un peu raide une beauté certaine.
aVoir-aLire.com
Savamment dirigé, le long-métrage pêche par son manque de passion mais touche grâce à ses intentions.
Critikat.com
On devine bien que Choquart considère son récit comme un brassage où tout convergerait vers un sens et un discours commun, global. Mais les choses ne sont pas si simples, et "Ladygrey" se disperse au détriment de sa consistance
Libération
D’une louable ambition, le film d’Alain Choquart peine cependant à surmonter une symbolique pesante, grevée par une interprétation problématique (cf. Jérémie Renier en idiot du village).
Ouest France
Un tableau de société d'Alain Choquart, éparpillé dans une certaine neutralité.
Première
Choquart tente, comme son modèle Terrence Malick, de capter la puissance de la nature. Mais le sentiment de culpabilité généralisé, lui, ne parvient pas à capter le spectateur.
Studio Ciné Live
Hélas, la réalisation manque d'âme, de vie et de souffle, d'où une absence totale d'intensité.