Timbuktu
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479 critiques spectateurs

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anonyme
Un visiteur
1,5
Publiée le 11 janvier 2016
Complète déception pour ce film dont j'attendais beaucoup. Ce film ne mérite pas d'être autant encensé ! Le sujet est traité de façon beaucoup trop légère, de façon presque onirique ! Le film est en dehors de la réalité. Presque à côté de la plaque !
kibruk
kibruk

156 abonnés 2 597 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 5 janvier 2016
Il est des films qui bénéficient de critiques formidables, et quand on les voit, on se demande bien ce qui peut justifier de telles éloges. "Timbuktu" est de ceux-ci, et pour moi la seule explication est qu'il s'intègre à son époque. Mais comment le regarderons-nous dans quelques dizaines d'années, quand il sera sorti (espérons-le) de son contexte historique ? Pour moi "Timbuktu" c'est un peu comme "L'homme de fer" de Wajda, palme d'or de 1981 aujourd'hui oubliée, qui n'a dû sa reconnaissance qu'à son message politique et non pas à ses réelles qualités cinématographiques. Je suis très frustré après la vision de "Timbuktu", car j'aurais voulu aimer ce film... mais hélas, si la volonté de montrer cette dictature infâme et débile est présente, le résultat n'est pas très satisfaisant. On peut bien sûr retenir quelques excellentes scènes (celle du match de foot, la danse du djihadiste français, ...), mais le scénario ne creuse pas les motivations des personnages, il se contente de montrer des frustrations. Il est dommage de ne pas se focaliser sur le français (personnage ambigu qui semble souffrir des règles de vie qu'il cherche à s'imposer et à imposer aux autres) et de diluer l'histoire avec ce qui constituera finalement la trame principale du film, à savoir celle de la famille du berger, Ce choix est d'autant plus discutable qu'il détourne le thème du film vers quelque chose d'intemporel (un conflit de voisinage) qui n'a finalement pas grand chose à voir avec l'histoire que l'on veut nous raconter. Pour moi "Timbuktu" est un film qui sent l'amateurisme, qui est décousu et plutôt ennuyeux malgré quelques fulgurances remarquables.
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 7 décembre 2015
« Timbuktu » signé par le réalisateur mauritanien Abderhammane Sissako, est un pur bijou d’émotion et de justesse cinématographique. Comment parler autrement d’un film, qui épouse parfaitement son sujet, en l’occurrence l’occupation militaire des terroristes fondamentalistes musulmans à Tombouktou, à travers une mise en scène tout en langueur et en douceur ? L’absence d’artifices ou d’effets stylistes ne s’accompagne pas d’un réalisme sec et sans saveur, mais laisse planer un mystère, un souffle qui évoque un univers digne d’un conte, notamment à travers l’histoire déchirante de Kédane, éleveur de bétail qui vit à l’écart du village avec son angélique fille, et sa femme, impressionnante de flegme, de courage et de force spirituelle.
Le film épate par l’attention porté aux visages, chaque visage à son histoire, sa géographie, sa science affective, le faciès apparait comme le paysage du cœur des personnages. On est coi devant tant de beauté, beautés subtiles, beautés subsahariennes, beautés nobles, dont la noblesse est paradoxalement renforcée par l’humilité de la mise en scène, qui laisse aux visages la possibilité de développer leurs propres langages métalinguistique.
Le propos du film est consensuel, établissant bien la distinction entre un islam modéré, moderne, tolérant, le « vrai », incarné par l’immam de la ville qui sermonne les djihadistes à plusieurs reprises au cours du film. Ces derniers sont dépeints avec justesse, sans caricature : même pas comme des lâches, tout simplement par des ignares, des pions, des soumis, des aveugles, de jeunes brebis égarées, perdues dans la confusion la plus obscure (leurs visages recouverts font écho à l’obscurité dans laquelle sont plongées leurs esprits ou du moins ce qu’il en reste). La scène où le jeune homme noir, ex-rappeur doit témoigner devant la caméra de ses motivations et de son parcours comme djihadiste, en est l’incontestable démonstration.
Mais cette dimension consensuelle n’est le reflet que de l’unité face à tant de barbarie mais surtout de profonde stupidité. Rien n’aurait pu être plus écoeurant et presque aussi stupide que les djihadistes, que de tenter de vouloir se démarquer du consensus, de l’unité, dans l’unique but d’affirmer une orgueilleuse singularité, une différence censée mettre en valeur l’auteur, lui permettre de mieux surplomber l’unité. Ecueil dont il est manifeste qu’il n’a pas menacé l’auteur une seule fois au cours du film.
La musique est le sel du film, en parfaite adéquation avec la culture exposée, elle se fait, comme souvent, mais là avec un brio plus que notable, célébration de la vie, de la joie, chant face à l’infini (la scène sublime de la jeune chanteuse fouettée et opposant son chant à la violence des coups de fouets).
Timbuktu est un vent de chaleur sur nos cœurs apeurées et dégoûtées par l’abomination du fanatisme (sous toutes ses formes), une ode au courage, à la force d’esprit, à la famille, un conte moral, politique, artistique. Un film complet en somme, qui vaut tous les détours du monde.
Glouyie
Glouyie

16 abonnés 296 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 4 décembre 2015
Je m'attendais à beaucoup mieux pour un film qui a gagné 7 Césars.
Un homme qui traverse un fleuve pendant 1min30. Ce plan est parfaitement représentatif de l'action dans ce film. C'est dur à dire mais les seuls passages "intéressants" étaient les plus violents.
Il illustre la vie d'une famille sous occupation terroriste. Le sujet est dur mais tout de même bien représenté.
Le meilleur passage est pour moi celui où des jeunes font du foot sans ballon.
Un bon point par contre, avec de très belles images, et de très beaux plans.
Je l'ai vu une fois, je ne le verrai pas deux. Mais un bon film pour un film français.
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 26 novembre 2015
Tourné en Mauritanie, « Timbuktu » n’est pas un film « martyr » ni un film d’action mais juste un film réaliste. A tel point que l’on a parfois du mal à savoir s’il y a vraiment un scénario ou si le réalisateur n’a pas juste cherché à filmer des moments de vie au quotidien. Les personnages sont tout ce qu’il y a de plus humain, à aucun moment on ne tombe dans la caricature et c’est ce qui fait la force du film. Les horreurs et les absurdités de la terreur islamiste et de la Charia, sont omniprésentes mais ne font jamais l’objet d’une surenchère grotesque et irréaliste.
Viricel L.
Viricel L.

5 abonnés 185 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 26 novembre 2015
Honnêtement c'est pas du tout le genre de film que je regarde et que j'aime. Je pense qu'il faut prendre ce film comme un documentaire, un documentaire qui nous montre les problèmes qui l'y a dans certains pays en Afrique. Ce film est à la fois magnifique et révoltant, magnifique pour ses longs moments de détente avec seulement un paysage et une musique mais c'est suffisant et tellement beau, et révoltant par son histoire, le plus difficile c'est de savoir que tout ça existe vraiment.
Je disais plus haut qu'il faut prendre le film comme un documentaire car pour moi le scénario n'est pas parfait, j'ai l'impression que c'était plusieurs histoires mélangées, un genre de film choral et non pas la vie d'une famille de Tombouctou et ce doit être pour cela que j'ai préféré les moments sans dialogues, avec seulement la musique et la caméra (ex: les enfants jouant au foot sans ballon).
Au final c'est un film bercé par la souffrance et la poésie, parfois bon et parfois mauvais.
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 20 novembre 2015
Malheureusement je regarde ce film à un moment qui n'est pas des plus joyeux mais d'actualité. Ceci est le fruit total du hasard. Je regarde cette fiction qui nous montre la vie d'un village et de ses habitants sous le joug des djihadistes. Ce film est alors assez oppressant mais a l'air tellement vrai qu'il fait peur. Le fond est triste : cet homme qui ne veut rien de mal à personne, qui ne fait (presque) rien de mal et qui bien tristement se voit contraint de croiser ces djihadistes. Je ne mets pas 5 étoiles car je trouve que le film est mal classifié : il devrait être mis dans la catégorie horreur tant il fait froid dans le dos.
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 26 octobre 2015
Très bonne photographie ! Le scénario tient la route, des images fortes. Un grand film.
Bruno TEF
Bruno TEF

6 abonnés 123 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 22 octobre 2015
Timbuktu est un film qui relate la mainmise des islamistes sur Tombouctou pour y imposer la charia aux habitants paisibles.
Je ne qualifierai pas ce film de chef d’œuvre, car j'estime que son succès est davantage dû au relief que lui donne l'actualité qu'à ses qualités cinématographiques. C'est un film qui m'a surpris car je m'attendais à quelque chose de violent, de terrible, or Timbuktu est filmé sur un rythme lent, frisant même parfois l'ennui, si bien que le film parait plus long qu'il ne l'est réellement et il n'y a pas vraiment de scènes choquantes, du moins rien d'insupportable. L'histoire peut faire penser à un conte traditionnel.
Les personnages sont attachants, jouent bien et l'image, très lumineuse est d'une esthétique indéniable. Rien à redire de ce coté là.
Les islamistes apparaissent comme des tristes sires, pauvres intellectuellement, mais qui du jour au lendemain deviennent des personnages importants en prenant les armes pour faire le djihad. Dès lors, ils peuvent tout se permettre ou presque, mariages contraints, exécutions, persécutions, torture, entrer chaussés et armés dans une mosquée ... tout est bon au nom de Dieu et du djihad.
La population locale plutôt paisible est contrainte du jour au lendemain de se plier aux quatre volontés de ces gens, ignorants pour la plupart de la religion qu'ils pensent défendre armes à la main, imposant des règles et des interdits d'un autre âge.
On voit s'affronter deux visages de l'islam, l'un traditionnel et apaisé, l'autre qui ressemble à une folie collective et aveugle comme beaucoup de peuples et d'époques en ont connue.
Timbuktu c'est aussi l'histoire d'une famille qui a choisi de ne pas fuir devant les djihadistes et dont le père va commettre un crime plus par accident que par une volonté réelle de donner la mort. Cet homme va accepter son destin et la sentence prévue par la charia avec résignation et courage, car islam veut dire soumission à Dieu.
La fin est difficile, mais pouvait-il en être autrement ?
On reste un peu gêné et chamboulé après avoir vu Timbuktu, il y a quelque chose de dérangeant dans ce film, peut être parce que le cinéaste ne juge pas, ne condamne pas, ne prend pas parti, mais ce contente de décrire une situation. Ce film nous montre aussi à quel point ces gens peuvent être éloignés de nous, de notre façon de penser et de notre conception de l'être humain dans la société.
Timbuktu est un film à voir et à méditer pour ses qualités propres, mais aussi pour les questions qu'il suscite en ces temps troublés.
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 9 octobre 2015
On en ressort chamboulé. Le cinéma sert à provoquer des émotions, ce film en est un bel exemple.
J'ai adoré!
shindu77
shindu77

96 abonnés 1 611 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 7 octobre 2015
Après avoir été encensé par la critique, mon appréciation est tout autre. L'histoire est intéressante même si cela n'a rien d'extraordinaire. Il y a certes de la dramaturgie mais rien de révolutionnaire. Cela me semble surnoté selon moi.
Hastur64
Hastur64

232 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 24 septembre 2015
Récompensé au Festival de Cannes et à la cérémonie des Césars, “Timbuktu” a dépassé le cercle restreint des cinéphiles qui regardent des films africains. Il faut dire que son thème est on ne peut plus d'actualité et que même si l'action se déroule au Mali et donc bien loin de l'Europe il fait pourtant écho aux mêmes problèmes que ceux auxquels font face les Européens et Africains : le terrorisme islamiste. Le film constitue un instantané de la situation d’une ville du Mali sous la domination des islamistes qui envahirent tels une vague de barbares ce pays à l'Islam paisible. Interdiction de la musique, du football, aux hommes et aux femmes de se fréquenter s'ils ne sont pas mariés et pour ces dernières de sortir autrement que couvertes de la tête aux pieds et ce au mépris des traditions tolérantes de ce pays. Mais a contrario de ces interdictions obscurantistes (sanctionnés par des peines barbares : exécutions sommaires, coups de fouet, lapidation) on découvre des djihadistes peu respectueux des règles morales et de la sharia qu'ils imposent à la population : ils fument, parlent football, convoitent la femme de leur prochain, forcent au mariage des jeunes filles ou n'hésitent pas à entrer dans une mosquée avec armes et chaussures ! Bref les purs, les moudjahidins sont des hypocrites, ce qui rend leur barbarie encore plus insupportable. Tourné en Mauritanie (pour des raisons de sécurité) avec une majorité d'acteurs amateurs le film suit principalement le destin d'une famille de Touaregs, mais regarde également la vie d'une petite ville sous le joug des islamistes entre résignation et résistance passive face à l'occupant étranger, car il faut le rappeler ces islamistes étaient citoyens d'autres pays et non (hormis une minorité) issus du Mali. Un film essentiel à voir pour constater la régression des droits sous leur férule et la crispation autour d'un Islam totalitaire qui ne correspond pas à la pratique tolérante pluri-centenaire des populations locales. À voir absolument donc.
Kilian Dayer
Kilian Dayer

115 abonnés 838 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 21 septembre 2015
L’Obscurantisme religieux vu par Abderrahmane Sissako aura provoqué, à la suite d’une venue en fanfare sur la Croisette en 2015, un véritable raz-de-marée d’éloges dans les tabloïds de la presse spécialisée. Timbuktu, titre évocateur de par une implantation géographique définie, s’adresse alors à tout un chacun comme un postulat cynique des dérives religieuses qui font la malheureuse actualité contemporaine, sans spectacle pétaradant, sans effet dramatique outrancier, mais avec modestie, humanité et surtout porté avec un regard d’une mélancolie palpable. On ne peut dès lors blâmer le réalisateur de s’être égaré, celui-ci portant un regard d’une grande justesse sur le monde saugrenu qu’il dépeint avec une certaine malice, un monde bouleversé jamais tout noir, jamais tout blanc, dans lequel évolue surtout des foules converties et non indépendantes. Les islamistes radicaux de Timbuktu ne sont donc pas des monstres sanguinaires mais des opportunistes maladroits, des âmes égarées entourloupées par des esprits malingres, des pauvres êtres trouvant dans la loi qu’ils font appliquer sans la comprendre une justification de leur existence.

Le propos est donc très paradoxal, dès lors intéressant sur le plan humain. Le cinéaste ne lésine d’ailleurs pas pour confronter ces bourreaux de la liberté à toutes leurs faiblesses d’humains comme les autres. Alors qu’ils interdisent le football, la musique et requièrent par la force des tenues vestimentaires drastiques, le doute s’installent dans l’esprit des prétendus soldats de Dieu. Abderrahmane Sissako traite ces paradoxes avec beaucoup d’attention, préférant les dialogues moraux aux scènes choc, préférant la dissertation à la violence. Si ce parti pris est noble, il n’empêche, le film s’égare parfois dans les limbes d’une philosophie sirupeuse, comme lorsque le condamné tente d’amadouer son bourreau ou que l’on disserte des valeurs inculquées de force entre imam et soldat. Le monde arabe, africain, oriental est torturé par cet obscurantisme religieux, malmené par des visions divergentes du livre saint mais le cinéaste, ici, préfère nuancer ses propos que d’étaler ouvertement la triste réalité. Une manière de faire que ne me convainc qu’à moitié tant le potentiel dramatique de son film étant imposant.

En revanche, techniquement, le réalisateur ne démérite pas, n’ayant pas à rougir face à la maestria occidentale. Ses cadres sont parfaits, ses paysages sont majestueux et ses jeux de lumières brillants. Le réalisateur et son directeur de la photographie jonglent avec les plans serrés et les plans larges, offrant quelques très beaux moments comme lors de la fin de la confrontation sur ce lac, contour du film, ou de minuscules individus se meurent ou s’enfuie dans un paysage lunaire. Le film est beau, voir même magnifique tant sur le plan des couleurs que sur ses paysages. Cela s’avère qui plus est renforcé par des angles de caméras judicieux et des costumes impeccables.

Si Timbuktu semble avoir réussi à tout conquérir sur son passage, je pense à Cannes, aux nombreux césars récoltés, à sa nomination aux Oscars du meilleur film étranger, il n’en demeure pas moins un film doté à la fois de qualités et de faiblesses, des faiblesses qui plus est suffisamment nombreuses pour que les éloges se la presse soient nuancées. On retiendra le dynamisme technique du metteur en scène, l’immersion garantie en terre malienne, l’authenticité des décors, acteurs et costumes. On retiendra aussi le manque cruel de rythme, le parti-pris gentil-joli du réalisateur et quelques fausses notes dans la réalisation des séquences plus musclées, la bataille entre le paysan et le pêcheur en témoigne. A mon sens, s’il est plutôt bon, Timbiktu est d’abord inégal. Il est surtout un film qui n’intéresse pas en lui-même mais seulement de par l’actualité qui l’entoure. 12/20
SansCrierArt
SansCrierArt

54 abonnés 421 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 30 août 2015
A Tombouctou, la population subit les lois des djihadistes qui ont pris possession de la ville. La musique, le football sont interdits, les femmes doivent être voilées, porter des gants, accepter les maris que les djihadistes leur imposent... A quelques kilomètres de là, dans les dunes, Kitane, sa femme et sa fille vivent heureux et libres.
La beauté des images, mise en scène, lumière, couleurs, nous emportent d'emblée. La grâce de Kitane et sa famille, l'attitude noble, dans des discours posés et sensés, des femmes et hommes qui refusent la charia, leur détresse devant la folie des bourreaux resteront longtemps dans nos esprits.
A voir !
bruno E.
bruno E.

19 abonnés 645 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 16 août 2015
quand le fanatisme religieux entraîne la bêtise, la cruauté, tous les côtés sombres de l'Homme. le réalisateur nous dresse une dénonciation forte sans violence, sans cascade ou trace de sang inutiles. un film puissant dans son message et pur dans sa construction. indispensable.
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