Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Sans fioritures, mais avec une intense humanité, le réalisateur de "La Régate" (2008) plonge dans cette histoire de femmes dont il analyse l'évolution dans une situation tragique. Il révèle deux comédiennes brillantes, Lucie Debay (...) et Rachael Blake (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Paris Match
par Alain Spira
Passant du drame au mélodrame, le film échappe de peu à la tragédie trop appuyée grâce à son ton réaliste, à sa dimension sociale et, surtout, au charisme de Lucy Debay et Rachael Blake, deux actrices très porteuses d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Un sublime hymne à la femme, à l’enfant, à la vie tout simplement. Magnifique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Sur un sujet social, un film qui prend une dimension intime très forte, porté par deux superbes actrices.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
(...) A travers le destin de ces deux héroïnes en mal de mère, d’une orpheline en quête d’affection maternelle et d’une quadragénaire en manque de filiation. Leur apprivoisement mutuel débouche sur une relation à fleur de peau, faites d’élans de tendresse et d’affrontements rageurs.
Le Parisien
par Hubert Lizé
Ce film à l'image et aux décors superbes, incarné par deux actrices sur le fil de la sensibilité, fait constamment les montagnes russes entre bouffées de joie et mauvaises vibrations. Hommes ou femmes, son atmosphère sous tension nous prend au ventre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par La Rédaction
Subtil et intelligent, ce film confronte deux sujets très actuels avec une certaine poésie.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Abordant frontalement le sujet de la GPA, ce mélo explore la relation de ces deux femmes, entre complicité et affrontements. Un film qui remue.
Voici
par La Rédaction
Direct mais pas didactique, ni militant ni angélique, délicat, et profondément humain, avec deux belles actrices.
Première
par Bernard Achour
Sans trop verser dans le sermon social, le scénario et la mise en scène installent un suspense digne d’un mélo policier, et on peut ressentir dans la fascination du cinéaste pour ses actrices l’influence du Bergman de "Persona" (toutes proportions gardées). Le genre "exercice de style" en bride hélas sensiblement la portée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
La gestation pour autrui : thème délicat, polémique, que Bernard Bellefroid aborde sans détour (...) Il évite tous les écueils du film « qui questionne » et, contre toute attente, dérive vers le romanesque, installant même un léger suspense au fil des doutes des deux femmes quant à leurs décisions respectives. Filmées au plus près, les deux actrices restent dans la note juste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Benoît Smith
Bellefroid applique une conception très scolaire du cinéma : des principes de mise en scène appliqués mais académiques en guise de point de vue, et un scénario dont les rouages corsètent les possibilités du film d’explorer son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Noémie Luciani
La détermination de Bernard Bellefroid à ne pas juger ses personnages est louable, mais donne l'impression que le film esquive son brûlant sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Clémentine Gallot
Par angélisme ou irrésolution, le seul moteur de ce scénario tenté par le romanesque se dilue dans ses révélations successives (...) lesquelles neutralisent in fine un propos étayé du bout des lèvres, «sans juger», pris dans d’improbables retournements de situations.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eric Derobert
Après quelques premiers plans très posés et très esthétiques, Bernard Bellefroid recourt ensuite à une caméra portée empathique et chaleureuse sur ces mondes si différents. Mais en isolant, à partir du début de la grossesse de Melody, les deux protagonistes dans un huis clos abstrait en bord de mer, le film se fait oublieux de son ancrage social initial, et se perd dans le psychodrame.
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Un pénible et putassier festival de grimaces.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Sans fioritures, mais avec une intense humanité, le réalisateur de "La Régate" (2008) plonge dans cette histoire de femmes dont il analyse l'évolution dans une situation tragique. Il révèle deux comédiennes brillantes, Lucie Debay (...) et Rachael Blake (...).
Paris Match
Passant du drame au mélodrame, le film échappe de peu à la tragédie trop appuyée grâce à son ton réaliste, à sa dimension sociale et, surtout, au charisme de Lucy Debay et Rachael Blake, deux actrices très porteuses d’émotion.
aVoir-aLire.com
Un sublime hymne à la femme, à l’enfant, à la vie tout simplement. Magnifique.
Le Dauphiné Libéré
Sur un sujet social, un film qui prend une dimension intime très forte, porté par deux superbes actrices.
Le Journal du Dimanche
(...) A travers le destin de ces deux héroïnes en mal de mère, d’une orpheline en quête d’affection maternelle et d’une quadragénaire en manque de filiation. Leur apprivoisement mutuel débouche sur une relation à fleur de peau, faites d’élans de tendresse et d’affrontements rageurs.
Le Parisien
Ce film à l'image et aux décors superbes, incarné par deux actrices sur le fil de la sensibilité, fait constamment les montagnes russes entre bouffées de joie et mauvaises vibrations. Hommes ou femmes, son atmosphère sous tension nous prend au ventre.
Les Fiches du Cinéma
Subtil et intelligent, ce film confronte deux sujets très actuels avec une certaine poésie.
Studio Ciné Live
Abordant frontalement le sujet de la GPA, ce mélo explore la relation de ces deux femmes, entre complicité et affrontements. Un film qui remue.
Voici
Direct mais pas didactique, ni militant ni angélique, délicat, et profondément humain, avec deux belles actrices.
Première
Sans trop verser dans le sermon social, le scénario et la mise en scène installent un suspense digne d’un mélo policier, et on peut ressentir dans la fascination du cinéaste pour ses actrices l’influence du Bergman de "Persona" (toutes proportions gardées). Le genre "exercice de style" en bride hélas sensiblement la portée.
Télérama
La gestation pour autrui : thème délicat, polémique, que Bernard Bellefroid aborde sans détour (...) Il évite tous les écueils du film « qui questionne » et, contre toute attente, dérive vers le romanesque, installant même un léger suspense au fil des doutes des deux femmes quant à leurs décisions respectives. Filmées au plus près, les deux actrices restent dans la note juste.
Critikat.com
Bellefroid applique une conception très scolaire du cinéma : des principes de mise en scène appliqués mais académiques en guise de point de vue, et un scénario dont les rouages corsètent les possibilités du film d’explorer son sujet.
Le Monde
La détermination de Bernard Bellefroid à ne pas juger ses personnages est louable, mais donne l'impression que le film esquive son brûlant sujet.
Libération
Par angélisme ou irrésolution, le seul moteur de ce scénario tenté par le romanesque se dilue dans ses révélations successives (...) lesquelles neutralisent in fine un propos étayé du bout des lèvres, «sans juger», pris dans d’improbables retournements de situations.
Positif
Après quelques premiers plans très posés et très esthétiques, Bernard Bellefroid recourt ensuite à une caméra portée empathique et chaleureuse sur ces mondes si différents. Mais en isolant, à partir du début de la grossesse de Melody, les deux protagonistes dans un huis clos abstrait en bord de mer, le film se fait oublieux de son ancrage social initial, et se perd dans le psychodrame.
Les Inrockuptibles
Un pénible et putassier festival de grimaces.